Befuni, où est domiciliée la machine boussole de la brigade de « tonton macoutes » comoriens, devient une auge pondant de gadoue. Ce lieu s’...
Befuni, où est domiciliée la machine boussole de la brigade de « tonton macoutes » comoriens, devient une auge pondant de gadoue. Ce lieu s’appelait Beit-salam. C’était donc la présidence. Mais on ne peut dire que la chambre de réception des dimes et de bouches cousues et décousues par le neveu de son oncle.
Le Secrétaire Général du Gouvernement de la tyrannie, mais un gouvernement quand même, Mr Idaroussi Hamadi. Quand l’arrogance et la frayeur s’épousent dans le fond de l’homme, celui-ci se retire de la scène politique, car là on n’est pas politicien.
Ou bien il faut lutter jusqu’à ce qu’on instaure une royauté. Comme ça, on vivra comme Mohammed ben Salmane de l’Arabie saoudite ou Abdallah II de la Jordanie. Certains hallucinés, ou affriolés, certains religieux de la tune, soulent le peuple avec des mots selon lequel, ce SGG, est un bosseur parce qu’il ne parle pas, parce qu’on n’arrive pas à le cerner… Qu’ils aillent ailleurs car, tout cela signifie que l’argent n’aime pas le bruit. Surtout l’argent tiré de la sueur du peuple. Alors l’affaire député Ali Mhadji et colonel Azali, ne doit pas être un en-cas de Mr le SGG. Idaroussi Hamadi doit prendre les micros, et les plateaux de la chaine que le pouvoir brigadier a usurpée au peuple. C’est-à-dire ORT-CRC, pour réponde à son frère député Ali Mhadji.
« A Beit-salam, une brigade à coup de bâtons du SGG »
Quand est-ce que ces axillaires vont grandir en honneur et en politique ? Quand est-ce qu’ils imiteront ce qui est de bon sens ? Est-ce que ces gens lisent ou vivent la politique et les politiques extra-locaux ? Ont-ils vu Jean Louis Debré le jour où N. Sarkozy a éreinté au président Chirac ? Le SGG qu’il veuille ou non, Ali Mhadji est un député. Un élu et non un nommé par sang ou par connivence. Sur les coussins de Beit-Salam, le SGG, téléguide lequel qui va répondre à leurs émules politiques manquant le colonel Azali, en particulier le député Ali Mhadji.
Le SGG, creuse un trou plus profond que celui qui se creuse pendant cinq ans, à moins que les pays du Golfe ont déjà accepté ou l’éventuelle demande d’asile, pour l’après chute. Le clan brigadier de Befuni, Beit-salam, est parmi ceux qui crachent sur l’Art noble dont la politique. On ne prétend pas être politique ou gouverner… si on est dépourvu du pragmatisme et d’un combat d’idée... La politique, ce n’est pas l’ankylose, ni l’arrogance. La politique ce n’est avoir crainte des mots collés à l’image… La politique c’est avant tout, assumer...
« La politique, c’est oser et assumer »
Si pour répondre au député Ali Mhadji parce qu’il a vilipendé le président du Groupe, colonel Azali, vous utilisez de gants, au lieu de porter fronts à vos adversaires, alors là, politicien, vous n’êtes pas, parce que conviction vous n’en avez pas. Si jeune, je me rappelle d’un grand homme qui s’appelle Hassani Mohamed Djalim. Lors des campagnes électorales conduisant Said Mohamed Djohar à la présidence de la République des Comores en 1990, H.M Djalim a ténu les micros de radio Comores pour répondre à Mohamed Ali Mbalia, candidat du parti Pasoco à ces présidentielles, parce qu’il avait éreinté au candidat Said Mohamed Djohar. Et c’était charmant. Dépréciés par le SGG, les hébergés de Beit-salam, devraient prendre congé du loge. Mais hélas, l’honneur est enfoncé par les frimes dans les bureaux du castel, le dividende mensuel, et les couchers du soleil… de gogos danseuses. Idaroussi a dans ses mains le cœur du manoir.
« Idaroussi Hamadi, et son outils à détruire »
Le SGG choisit qui répond à qui. Mr Hamada Hamadi la plume contre Marie Georges Buffet, car celle-là ne verra rien et la plume contre les ONG qui dénoncent les viols et les agressions sexuels… Mohamed Issimaila, ordonné aussi de vendre de la bière à la mosquée… ou vendre de « wasilati’alshafi à l’église ». Mounir Said, dénigrer et verser ses braises à la ville de Mbeni. Belou pour appeler la mort d’Omar Mouhsine et cracher sur les femmes de Mbadjini. Un orchestre commandé à deux doigts par le neveu de son oncle, donc les cerveaux n’ont pas droit à la rotation.
Dommage… que les choses ne soient pas à leurs tailles… quant à la réponse au député Ali Mhadji. Même répondre à des attaques, le SGG veut avoir le monopole ? Mis à part Said Ali Chayhane et Houmed Msaidié, ayant la manette de la machine broyant Said Mohamed Djibril. Parce que vous ne pouvez pas le faire avec des mains nues, vous préférez tenir ces affaires avec des gants crasseux, au lieu de classer ces affaires là où il faut, notamment celle du député Ali Mhadji et colonel Azali. Idaroussi ne rend pas service à une localité et pourtant l’affaire devrait s’aligner au sommet de l’Etat.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus
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