La société d’électricité des Comores continue sa chute aux enfers. Après son cinéma sur un vol fabriqué de carburant, le directeur généra...
La société d’électricité des Comores continue sa chute aux enfers. Après son cinéma sur un vol fabriqué de carburant, le directeur général par intérim de la SONELEC continue de mépriser la population comorienne.
Après Anjouan et Mohéli, la Grande-comore subit les mépris et les décisions dictatoriales de Moussa Djabir. Comment se fait-il que dans un pays de plus de 800 000 habitants, l’Etat n’arrive pas à trouver un responsable digne pour cette société ?
Depuis qu’il est là, les bras de fer entre les comoriens et ce directeur se multiplient. On se souvient de sa décision il y’a quelques mois de couper l’électricité à plusieurs régions de Ngazidja dont Wachili, Dimani, Hamahamet etc à cause d’un petit malentendu.
Aujourd’hui, une décision unilatérale et injuste de ce DG par intérim risque d’avoir des conséquences. La ville d’Idjinkoundzi dans le Dimani est plongée dans le noir par ce monsieur depuis déjà un mois. La cause, un jeune de cette localité aurait branché un fil de son « Vala » à un poteau électrique. A la SONELEC c’est l’incompréhension totale. Les agents ne comprennent toujours pas une telle décision.
Ces incompétents à la tête des sociétés d’Etat poussent les comoriens à détester de plus en plus le gouvernement.
Par Djamal Saïd - photo©LGC
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