Le silence des intellectuels est le plus grand massacre qu’un pays peut connaître. Les rhétoriciens usent des tropes et non-tropes. ...
Le silence des intellectuels est le plus grand massacre qu’un pays peut connaître.
Les rhétoriciens usent des tropes et non-tropes. Les politiciens, la démagogie et le mensonge. Les opposants, la fourberie, la sournoiserie, la manipulation, la fomentation et le discours subversif.
L’intellectuel conscientise, interpelle, récure et désembourbe les esprits. La théorie de la métaphore est constituée de deux axes : axe syntagmatique et axe paradigmatique. Ainsi est la situation politique aujourd’hui de l’archipel des Comores. A chaque moment d’une phrase sortie, (qu’il s’agisse de parole ou d’écriture) opère un choix parmi tous les vocabulaires qui peuvent s’accorder avec la syntaxe de celle-ci.
A la place des idées, on projette une faucille ou une chaise vide, ou n’importe quel outil à caractère fascinant. On propage des théories subversives ici et là dont leur axe horizontal représente une succession linéaire des mots qui semblent être prononcés ou écrits par Coupeau, personnage crucial de Zola dans L’Assommoir atteint du delirium tremens. Oui, on est atteint de la trisomie 21 ou simplement le syndrome de Down. La déchéance est progressive chez lui mais inéluctable.
L’intellectuel conscientise, interpelle, récure et désembourbe les esprits. La théorie de la métaphore est constituée de deux axes : axe syntagmatique et axe paradigmatique. Ainsi est la situation politique aujourd’hui de l’archipel des Comores. A chaque moment d’une phrase sortie, (qu’il s’agisse de parole ou d’écriture) opère un choix parmi tous les vocabulaires qui peuvent s’accorder avec la syntaxe de celle-ci.
A la place des idées, on projette une faucille ou une chaise vide, ou n’importe quel outil à caractère fascinant. On propage des théories subversives ici et là dont leur axe horizontal représente une succession linéaire des mots qui semblent être prononcés ou écrits par Coupeau, personnage crucial de Zola dans L’Assommoir atteint du delirium tremens. Oui, on est atteint de la trisomie 21 ou simplement le syndrome de Down. La déchéance est progressive chez lui mais inéluctable.
L’axe vertical, lui, met en évidence le fait qu’à chaque moment de son discours, il choisit, dans un stock très large, le vocabulaire qui lui ressemble, qui le définit bien. Incohérence syntaxique, incohérence linguistique, incohérence discursive et incohérence sémantique sont son apanage sans détour. Devons-nous être théoriciens de la langue pour le comprendre ? Non. Car son discours est identifiable : une allégorie à la fois de la mort et de la haine ; de la mort, parce qu’il s’agit d’une mort lente et douloureuse, une mort intérieure, une mort de l’âme, une mort du cœur.
Il ne faudrait pas s’armer d’une artillerie stylistique comme le zeugme, la polysyndète, de l’épithète d’ornement, de l’amphibologie, de l’épiphore, pour déceler cela parce qu’il s’agit d’une dialectique de la prosopopée. On se sert de l’antonomase, de la circonlocution, de l’hendiadys, de l’hyperbate, enfin de la contrepèterie, ce qui traduit la sécheresse de son esprit, de son intelligence. On fait ce que l’on appelle : l’hypallage. Plus pire, de l’hypallage classique du temps des Babyloniens.
Car, tous celles et ceux qui n’adhère pas à sa thèse, qui n’a pas la même visions de chose que lui, qui ne partage pas ses convictions, qui pourrait avoir les mêmes aspirations que lui, qui n’applique pas ses mêmes méthodes…sont chosifiés, animalisés, attaqués, pulvérisés, humiliés, insultés, maltraités hélas ! Voilà son modus operandi. Le connaissez-vous ? Moi, oui. C’est le fameux utilisateur universel de l’énallage intemporelle. L’itinéraire est ubuesque que cauchemardesque. Chère jeunesse, ne le suivez point ! C’est le portrait craché du père Coupeau. Si vous suivez ce chemin qu’il est en train de tracer, votre mère sera Gervaise, héroïne du même roman (L’Assommoir) et vous renaitrez Nana, la fille du père Coupeau et de Gervaise. Vous finirez dans le pichenet et dans le vitriol.
Il ne faudrait pas s’armer d’une artillerie stylistique comme le zeugme, la polysyndète, de l’épithète d’ornement, de l’amphibologie, de l’épiphore, pour déceler cela parce qu’il s’agit d’une dialectique de la prosopopée. On se sert de l’antonomase, de la circonlocution, de l’hendiadys, de l’hyperbate, enfin de la contrepèterie, ce qui traduit la sécheresse de son esprit, de son intelligence. On fait ce que l’on appelle : l’hypallage. Plus pire, de l’hypallage classique du temps des Babyloniens.
Car, tous celles et ceux qui n’adhère pas à sa thèse, qui n’a pas la même visions de chose que lui, qui ne partage pas ses convictions, qui pourrait avoir les mêmes aspirations que lui, qui n’applique pas ses mêmes méthodes…sont chosifiés, animalisés, attaqués, pulvérisés, humiliés, insultés, maltraités hélas ! Voilà son modus operandi. Le connaissez-vous ? Moi, oui. C’est le fameux utilisateur universel de l’énallage intemporelle. L’itinéraire est ubuesque que cauchemardesque. Chère jeunesse, ne le suivez point ! C’est le portrait craché du père Coupeau. Si vous suivez ce chemin qu’il est en train de tracer, votre mère sera Gervaise, héroïne du même roman (L’Assommoir) et vous renaitrez Nana, la fille du père Coupeau et de Gervaise. Vous finirez dans le pichenet et dans le vitriol.
On se ratatine dans une agonie rébarbative puisque le combat qu’on mène contre « la dictature » est la dictature. Une dictature fiévreuse qui déchire son humanité, déclenchant des cris d’animal, grimaces, yeux injectés de sang, danse désordonnée, angoisse épouvantable.
Une dictature qui n’épargne personne sauf celui qui accepte d’être le mouton de Panurge. Pour y échapper, il faut remplacer vos têtes par des coquilles vides. On combat le tyran en tyrannisant les esprits des autres. On ne veut pas le débat parce qu’on ne sait pas débattre mais on sait imposer. Savez-vous l’arme du faible ? Si vous ne le savez pas, je vous le dis, c’est la violence verbale, l’agressivité discursive, la nervosité et la noirceur du cœur. Parce qu’on n’a rien à donner, à proposer, on est en manque d’arguments, on crie, on hurle, on râle, on chiale.
Et en faisant tout cela, on croit finir par se faire entendre. On multiplie les anadiploses, on les fait suivre par les épanadiploses et les concaténations. Or, tout ça n’est qu’euphémisme et oxymore dans l’oreille de l’opprimé. Or cela n’est qu’une antanaclase couverte d’un kakemphaton dans l’oreille de l’oppressé. Oppressé parce qu’il est privé de ses facultés, il n’a pas droit de s’en servir mais de suivre la foule. Cette dictature est nauséabonde que la puanteur d’un taureau décomposé. A strictement parler, il ne peut exister une dictature qui peut combattre une autre. Donc, cette dictature qui refuse la contradiction, la différence de point de vue, la confrontation des idées, la divergence d’opinion n’est qu’un polyptote accusatif. On nous engourdit en disant vouloir nous sauver.
Et en faisant tout cela, on croit finir par se faire entendre. On multiplie les anadiploses, on les fait suivre par les épanadiploses et les concaténations. Or, tout ça n’est qu’euphémisme et oxymore dans l’oreille de l’opprimé. Or cela n’est qu’une antanaclase couverte d’un kakemphaton dans l’oreille de l’oppressé. Oppressé parce qu’il est privé de ses facultés, il n’a pas droit de s’en servir mais de suivre la foule. Cette dictature est nauséabonde que la puanteur d’un taureau décomposé. A strictement parler, il ne peut exister une dictature qui peut combattre une autre. Donc, cette dictature qui refuse la contradiction, la différence de point de vue, la confrontation des idées, la divergence d’opinion n’est qu’un polyptote accusatif. On nous engourdit en disant vouloir nous sauver.
Pourquoi est-on si violent que le cyclone kenneth ?
Doit-on suivre tes instructions à la lettre comme une armée ? Regarde l’horizon ! A cause de cette dictature intellectuelle, psychologique, socio-juvénile, psychique, manipulatrice, il s’enveloppe dans l’ombre. Son teint consonantique, son visage pâle, les assonances de ses discours, les allitérations de ses cris ne sont pas une galvanisation mais plutôt une corrosion interne. Basalte et laves hélas demeurent le frit de ses innombrables paronomases, de ses multiples homéotéleutes incantatoires. On pleure dans toutes les villes de la France.
Combattre la dictature par la dictature n’est-il pas une ironie « filée » ?
Nous nous approchons à la fin du théâtre sans les trois unités. Les masques vont tomber. Les stratagèmes seront connus. La métalepse euphémique sera illustrée. Dès le tout début, on travestit la pensée, on a mis l’astéisme en œuvre, la tautologie transformée en bal masqué dévoilera sa palissade. La banalité des attroupements, le burlesque vestimentaire, les droites carnavalesques, propres à l’amphigouri se briseront en mille morceaux. Nous qui avons résisté à cette dictature, attendons ce moment pour vous parler de la prétérition.
Houssam Hassani
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