En attendant les foudres qui s'abattront dessus de ma tête, et les maux de tête des bleus. Et si le fonds de réserve " réserve s...
En attendant les foudres qui s'abattront dessus de ma tête, et les maux de tête des bleus. Et si le fonds de réserve "réserve statutaire", attendait le cyclone. Et s’il n’a pas été destiné à des fins inutiles, n’a pas été gâché vicieusement ? Et si le fonds de réserve attendait le moment propice pour son utilisation ?
La catastrophe naturelle, dont le cyclone Kenneth, qui a dévasté l’archipel, était aussi un signe... Même pas quatre du galvaudage de cette "réserve statutaire" de la Banque centrale comorienne, et qui l’a bien asséchée et même trouée à la déficit, le cataclysme puissant, s’est invité sans rendez-vous et c’est à sa suite que le fonds de réserve devrait être retiré de la banque centrale.
"Un affamé luxueux"
Depuis Ahmed Abdallah Abderemane, jusqu’Ikililou, ce fonds de réserve n’a jamais été touché par aucune de ces pouvoirs car son utilisation ne se fait qu’en cas de catastrophe naturelle, ou d’une crise menant un pays à sa fin de vie. Plus de cinq milliards de fc, retirés de la banque centrale des Comores... pour consolider les racines du pouvoir de mal.
Les caisses de l'État sont vides. La dette intérieure explose. Un déguisement de fonds propres a tout mis à plat. C’est bien la "réserve statutaire" de la Banque Centrale des Comores qui est mise à niveau zéro par pouvoir de Colonel Azali, quelques mois avant l’œuvre vicieuse du méchant ouragan « Keneth ». Pourtant c’est à ce moment que ce fonds devrait être retiré de la banque pour secourir les sinistrés, selon les lois de cette institution.
Les caisses de l'État sont vides. La dette intérieure explose. Un déguisement de fonds propres a tout mis à plat. C’est bien la "réserve statutaire" de la Banque Centrale des Comores qui est mise à niveau zéro par pouvoir de Colonel Azali, quelques mois avant l’œuvre vicieuse du méchant ouragan « Keneth ». Pourtant c’est à ce moment que ce fonds devrait être retiré de la banque pour secourir les sinistrés, selon les lois de cette institution.
" Une dette qui ne sera jamais honorée"
Le fonds de réserve dont la Réserve statutaire, sont des accords entre la Banque de France et l'Etat Comorien. Ceux-là autorisent à utiliser un certain montant sous forme d'un prêt d'argent en attendant de trouver un moyen de rembourser. C’est une équivalence de découverte en « langage de banque normale ». Et n’étant pas en mesure d’honorer cette dette, les Comores sont dans l’obligation de payer des intérêts… et pourtant le fonds est utilisé. Si ce fonds attendait son temps, le 10% ôtés de salaire zéro des fonctionnaires sinistrés ne serait pas demandé, car c'est là où son utilité se reposerait.
Par Said Yassine Said Ahmed
COMMENTAIRES