Non contents d'avoir confisqué pendant plusieurs années les 250 kmf de la redevance télévisuelle, la MaMwe à sec cherche à tout prix ...
Non contents d'avoir confisqué pendant plusieurs années les 250 kmf de la redevance télévisuelle, la MaMwe à sec cherche à tout prix à racler les fonds de tiroirs pour ne pas dire les fonds de prétendues dettes des vaches à lait que sont les clients Comoriens pour toutes les sociétés d'Etat. Des prétendues dettes cachées dans le fameux Becheo sont déterrées qui datent des années 2007 à nos jours .
Des factures sont édités qui ne contiennent aucune indication sur la quantité d'eau consommée. Normal puisque les agents de la MaMwe ne relevaient plus les indexés des conteurs pendant plusieurs années.
Rappelons pour mémoire qu'avant le fameux Becheo la MaMwe travaillait avec un logiciel qui leur a été vendu très cher par une société Sénégalaise qui détenait les clés des données essentielles et exigeait chaque fois 1million de nos francs pour se déplacer chaque fois que la MaMwe avait besoin d'eux.
Le Becheo donc sort des factures entre 500 000 et 2 millions qu'aucune logique ne peut justifier. En effet comment comprendre qu'une facture d'une période d' à peine 2 mois à raison de 125f le M3 Puisse atteindre 481 000 kmf ???!!! Ahurissant tout simplement . C'est l'équivalent de plusieurs années de consommation pour un foyer de 2 à robinets.
Le comble de l'arbitraire c'est de procéder à une vente liée du genre vous devez de l'eau donc pas d'électricité. Des gens qui ont rechargé leur carte de crédit électrique pendant plusieurs années se voient tout d'un coup obligés d'être dans l'obscurité .
Ce déni de justice à été déjà porté devant les tribunaux et la MaMwe a perdu le procès. Bref ! J'appelle toutes les victimes de cet arbitraire de la MaMwe à se regrouper autour de la Fédération Comorienne des Consommateurs pour porter plainte et dénoncer ces agissements devenus monnaie courante dans notre pays où contrairement à l'adafe le client n'est jamais roi mais plutôt vache à lait et esclave.
Par Aboubacar Ben SAID SALIM
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