MONSIEUR LE PRESIDENT, C’EST FAUX C’est faux Mr le président, il n’y a pas de pétrole aux Comores. Je n’aurai pas de cesse de vous le...
MONSIEUR LE PRESIDENT, C’EST FAUX
C’est faux Mr le président, il n’y a pas de pétrole aux Comores. Je n’aurai pas de cesse de vous le dire, malgré le respect que je dois à votre personne. Mais à votre personne.
Finissez votre mandat et partez tranquillement, car vous avez exposé les iliens à un calvaire. Vous leur construisez tous sauf le bonheur et l’espoir. Votre politique de dividendes aux fidèles et au sang collé, est graine du climat néfaste.
Mr lé président, ce peuple a une dent contre vous et vos francs-tireurs. Surtout les conscients de vos procédés dans le cercle de la vie de ce peuple, et qui vous sont perche. L’angoisse des jeunes, l’oisiveté, les farces… sont l’eau que ce peuple boit quotidiennement. Le pays s’éclate en grand « E », et si vous n’êtes pas conscient, et que ceux auxquels vous payez pour ce boulot, ne vous le disent pas, vous devez savoir que nombreux sont ceux qui n’aiment pas votre gouvernance. Passons.
C’est faux, Mr le président, ce ne sont pas tous les comoriens qui croient en vos discours mielleux, dosés d’une dérision au petit peuple avec votre jeu de scène dégarni d’urbanité. Ce ne sont pas tous les iliens qui sont comme des enfants à la crèche, et qui croient en votre « dindon de la farce »… Alors nombreux, sont ceux qui réfléchissent, malgré la famine, donc aisés de pensée. En vingt et huit mois… votre préoccupation est la restriction de liberté citoyenne, atteinte à la valeur humaine… et aussi ce ne sont pas vingt et huit mois uniquement.
Finissez votre mandat et partez tranquillement, car vous avez exposé les iliens à un calvaire. Vous leur construisez tous sauf le bonheur et l’espoir. Votre politique de dividendes aux fidèles et au sang collé, est graine du climat néfaste.
Mr lé président, ce peuple a une dent contre vous et vos francs-tireurs. Surtout les conscients de vos procédés dans le cercle de la vie de ce peuple, et qui vous sont perche. L’angoisse des jeunes, l’oisiveté, les farces… sont l’eau que ce peuple boit quotidiennement. Le pays s’éclate en grand « E », et si vous n’êtes pas conscient, et que ceux auxquels vous payez pour ce boulot, ne vous le disent pas, vous devez savoir que nombreux sont ceux qui n’aiment pas votre gouvernance. Passons.
C’est faux, Mr le président, ce ne sont pas tous les comoriens qui croient en vos discours mielleux, dosés d’une dérision au petit peuple avec votre jeu de scène dégarni d’urbanité. Ce ne sont pas tous les iliens qui sont comme des enfants à la crèche, et qui croient en votre « dindon de la farce »… Alors nombreux, sont ceux qui réfléchissent, malgré la famine, donc aisés de pensée. En vingt et huit mois… votre préoccupation est la restriction de liberté citoyenne, atteinte à la valeur humaine… et aussi ce ne sont pas vingt et huit mois uniquement.
C’est neuf ans de gouvernance. Comment prétend-on offrir la vie meilleure à un peuple… en tuant son éducation, son enseignement, sa santé, sa justice et le miroiter d’une électricité à la pipette, mais toujours en pénurie d’eau ? Bon record en matière de mauvaise gouvernance. Mr le président, vous n’avez jamais de souci au peuple qui vous a élu, mais à la tune. En deux ans et six mois, au lieu de penser à ce peuple, vous pensez à comment s’éterniser au pouvoir… C’est pour cela, qu’aussi vous êtes champion en matière d’ourdis. Avec aussi l’idée de nommer des fugaces à des postes clés pour que vous puissiez tous contrôler, alors que ces derniers, sont des novices qui ne contrôlent rien. Donc tous vous échappent. Passons.
C’est faux Mr le président, des nombreux comoriens parleront de vous, vous loueront, une fois que vous quittez le pouvoir, mais si vous reconnaissez vous aussi les efforts de vos devanciers. Cela est honnête, si. La Maison que vous avez achetée pour loger momentanément Mr SMS, l’ambassadeur du pays à New-York. Pourquoi ne pas dire que par le fond Qatari, le régime de votre prédécesseur a entamé l’achat en versant une partie et par le fond saoudien, vous avez honoré le reste ? Dites aux iliens en paroles d’un prêcheur de mosquée… que les dépendances se multiplient.
Mr le président, si vous avez la difficulté de divulguer cela au peuple, chargez cette tache aux jeunes lourds et charmés, d’envahir les réseaux… même si à courts d’arguments, ils taperont tous ceux qui bougent. Le fonds propres que certains lapis-lazuli nous chantent n’a jamais existé dans ce régime, or le service de douane ne cesse de traire les mamelles des vaches maigres, iliens aussi gueux. Les coulisses du pouvoir regorgent. Il s’y dégage de secrets de polichinelle … mais bon. Passons.
C’est faux Mr le président. Comme si la diplomatie est un concept immobile. Ceux qu’on dit à l’extérieur… qu’on fait tels à l’intérieur, se savent. Et même certains des récepteurs rient avec toutes les dents. Que vous allez écourter votre mandat pour la stabilité du pays… c’est l’ironie car l’instabilité c’est une œuvre vôtre. Vous allez prétexter une vacance… et à un de vos Dauphines, vous allez confier l’intérim sans aucun penché vers la loi. Avec yeux de Moscou, le nominé, serait intégré une puce qui lui rendra peureux de vous. Mr le président, le pays va mal.
Il souffre de l’égoïsme, du clanisme, de l’autoritarisme, du mépris des vôtres aux autres. Sinon, certains souffrent de comment la cour enrichit Pemba pour une longévité au pouvoir en appauvrissant les iliens nôtres. Prière, heij, ramadan… ne s’accommodent pas au pouvoir des astres de Pemba. Dites aux autres de mettre fin à leurs vas et viens vers le sol voisin. C’est faut Mr le président.
Il souffre de l’égoïsme, du clanisme, de l’autoritarisme, du mépris des vôtres aux autres. Sinon, certains souffrent de comment la cour enrichit Pemba pour une longévité au pouvoir en appauvrissant les iliens nôtres. Prière, heij, ramadan… ne s’accommodent pas au pouvoir des astres de Pemba. Dites aux autres de mettre fin à leurs vas et viens vers le sol voisin. C’est faut Mr le président.
Par Said Yassine Said Ahmed
COMMENTAIRES