Réponse aux critiques contre le jeune juriste Rafsandjani Depuis quelques jours, le nom de ce jeune comorien qui se soucie de l'...
Réponse aux critiques contre le jeune juriste Rafsandjani
Depuis quelques jours, le nom de ce jeune comorien qui se soucie de l'avenir de son pays est devenu " le serpent de mer " de tous les dents longues, ces ambitieux de pouvoir aux détriment de la masse. Pensez vous que puisqu'il est jeune il ne peut pas avoir d'analyse pertinent de la situation politique chaotique qui sévit aux Comores?
Pensez vous que puisqu'il est en France il ne peut pas intervenir aux côtés de ces ingénieux et fervents défenseurs de l'Unité Nationale, celle garantie par l'accord cadre de Fomboni de 2001? Pensez vous que la politique est faite uniquement pour être dans les mains des vieux qui ne pensent qu'à s'assurer d'une bonne retraite ? Pourquoi n'arrêtez vous donc pas de prendre le comorien pour un "" Mouton"" ?
Les mentalités changent et nous ne sommes pas à l'époque de Louis 14 où il fallait que pour vouloir critiquer le monarque, Molière devait faire sa comédie. Non grâce à Dieu nous sommes à une époque où même un enfant de 6 ans sait comment se connecter sur facebook et publier quelque chose. La seule vérité que vous messieurs les mangeurs de [next] Riba, l'évidence est que vous ne voulez pas admettre votre défaite. Vous pensez qu'en usant votre démagogie à la Machiavel vous arriverez à faire taire ce peuple souffrant. Critiquer, stigmatiser, enfermer tous ceux que vous pouvez enfermer dans vos geôles mais sachez que nous les jeunes d'aujourd'hui nous sommes l'espoir de demain, nous avons des droits et des devoirs dans ce pays.
Des droits inaliénables pour mieux vivre en paix et en liberté et des devoirs veux de nous battre pour la préservation de la paix, de la stabilité et de l'harmonie Nationale. Si je ne me trompe pas, cela fait parti même des missions d'un État souverain. Aujourd'hui le pire est signalé car on ne sait pas ce que deviendra les Comores au lendemain de ce scrutin référendaire. Rafsandjani n'est pas seul, nous sommes tous Rafsandjani pour dire NON À CE " RÉFÉRENDUM DU SANG."
Des droits inaliénables pour mieux vivre en paix et en liberté et des devoirs veux de nous battre pour la préservation de la paix, de la stabilité et de l'harmonie Nationale. Si je ne me trompe pas, cela fait parti même des missions d'un État souverain. Aujourd'hui le pire est signalé car on ne sait pas ce que deviendra les Comores au lendemain de ce scrutin référendaire. Rafsandjani n'est pas seul, nous sommes tous Rafsandjani pour dire NON À CE " RÉFÉRENDUM DU SANG."
Par Nasrine Binti Nourdine
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