Il y a une limite à tout. AZALI se prépare à faire vivre le pire à l'île d'Anjouan; croyez moi, si l'on continue à parler, il n...
Il y a une limite à tout. AZALI se prépare à faire vivre le pire à l'île d'Anjouan; croyez moi, si l'on continue à parler, il n'hésitera pas à verser le sang. Et ça, il sait le faire, il va le faire et il peut le faire. Pour le moment, aucune condamnation internationale pour un dictateur qui censure, agresse, agit en hors la loi, et tue les institutions du pays. C'est ce que la Communauté Internationale entend par Non Ingérence des les Affaires internes d'un pays Souverain.
AZALI se sert d'une armée d'inconscients, abrutie, qui agit sous ordre et menace d'un homme.
ANJOUAN est plus que jamais conserné par cette spirale de violences. Ce n'est pas un problème de SALAMI, c'est tout le pays qui s'embrase.
L'heure n'est pas à la complaisance et il est grand temps de distinguer les patriotes des traitres. Certains ont choisi le silence hypocrite comme le secte d'ANISSI CHAMSIDINE, d'autres mettent la tête au dessus des genous comme MOUSTADROINE et sa cohorte.
La question d'un référendum ne doit même pas se poser et toute l'action citoyenne et populaire est de l'empêcher et partout les moyens. Nous devons identifier les militaires qui perpetrent les injustices et je suppose qu'ils ont des familles. Ils ont une vie civile. Nous sommes des musulmans; oui, nous devons nous aimer les uns des autres; mais également, il nous a été prescrite la loi de Talion: Oeil pour Oeil, Dent pour Dent.
A Moroni, nos élus font ce qu'ils peuvent, mais la population hésitent comme si elle ne mesure pas l'enjeu du Azalisme: incohérences, corruption, injustices, volonté de nuire. A mohéli, silence radio et piétinement en sourdine de la population. L'affaire inventée des clous à l'aéroport a échaudé les citoyens sur la vulnérabilité de la population et le non droit.
Je salue l'engagement et le professionalisme de Monsieur le journaliste Ortega et j'espère un passage à l'action des anjouanais suite à la conférence de leur premier magistrat à Paris.
BEN ALI