Au mieux, il risque d’être assigné en « résidence surveillée » comme l’a été l’ex général Salim ou encore Abou Achrafi Ali Bacar. Ce stat...
Au mieux, il risque d’être assigné en « résidence surveillée » comme l’a été l’ex général Salim ou encore Abou Achrafi Ali Bacar. Ce statut n’existerait pas en droit comorien mais est utilisé pour les prisonniers ultra sensibles.
Au pire, ce serait le mandat de dépôt pour Sambi. L’ancien raïs pourra faire la connaissance de la charmante #ANFIFA et apprendre à conduire la « moto » à la maison d’arrêt de Moroni.
Azali risque quant à lui de perdre le contrôle du pays. Il ne pourra pas protéger les politiciens impliqués dans des affaires qui sont avec lui, Abou Achrafi, Ikililou, Houmed Msaidié, Sitti Kassim, Kiki, Ahmed Hydrocarbures etc. Et enfermer ses principaux opposants.
Sambi a certainement un rôle clé dans l’évasion des fonds du programme citoyenneté mais le régime ne devrait pas transformer une affaire judiciaire qui implique plusieurs personnes en un règlement de compte politique.
Les bédouins ne vont pas se laisser faire. Par Toyb Ahmed