Que c’est facile à comprendre ! Comment peut-on parler de communication sans audience, autrement des récepteurs, si ce n’est pas celle de B...
Que c’est facile à comprendre ! Comment peut-on parler de communication sans audience, autrement des récepteurs, si ce n’est pas celle de Befuni ? Au moment où cette communication biscornue s’use à Beit-salam, elle illustre les impairs médiatiques du chef de l’Etat. Comment veut-on que le président colonel Azali, soit conforme quant à ses sorties publiques et/ou médiatiques, alors que son conseiller en communication, a horreur à la société ?
Said Ali SAID AHMED Conseiller du Président, chargé de la Communication |
Depuis la nomination de notre frère Said Ali Said Ahmed au poste de conseiller en communication du président Azali, son compte facebook a perdu un quart de ses amis. Il devance le vice-président en charge de l’économie dont le compte a perdu la moitié de ses amis… En tout cas, ce choix est à respecter.
Sans prétendre donner cours de communication à qui que ce soit, ici on se permet de dire que les dérapages médiatiques du chef de l’Etat comorien colonel Azali, sont nés de l’absence des conseils, de surveillance et d’adaptation… dans le socle.
Sans prétendre donner cours de communication à qui que ce soit, ici on se permet de dire que les dérapages médiatiques du chef de l’Etat comorien colonel Azali, sont nés de l’absence des conseils, de surveillance et d’adaptation… dans le socle.
L’inefficacité de ses hommes de communication, commençant par son conseiller en communication, passant par le charger de cette tâche, fini par l’attaché de presse, aux allures des néophytes timides du castel. Les deux premiers devraient être les architectes des dires, des faits et des gestes du chef de l’Etat, malgré l’auto-suffisante de mon colonel.
La communication n’est uniquement pas verbale. Elle est aussi habillé et aspect. Elle est aussi relation et comportement. Et si le conseiller en communication, notre frère Said Ali Said Ahmed, était coopératif ? Et s’il se rapprochait de ses proches, frères, sœurs et amis de nos cités, comme sa ville natale, notre glorieuse ville Ntsudjini ? Ne pourrait-il pas absorber le climat qui s’ajoute à ceux… faisant la vulnérabilité de son patron, le chef de l’Etat ? Passons.
Certes, le conseiller en communication du chef de l’Etat n’est pas naturel. Contrairement à la nature qui a horreur du vide, notre frère conseiller en communication du colonel a horreur du lourd, dont le public. Mais comment le chef de l’Etat ne peut-il commettre des scandales médiatiques… en flot ? S’il avait un conseiller digne de ce nom, ou chargé de communication adroit, dirait-il à une chêne de télévision internationale que, l’homme ne devait pas coûter 400 €, prix d’un cabri à Moroni, mais 40000 € ? Il aurait dit au média étranger que, non seulement que j’ai supprimé 3000 emplois, mais il y’aura d’autres suppressions…, il aurait focalisé son discours à l’ONU sur des assises qui ne sont qu’une occupation locale ? Passons.
Rappel : le conseiller en communication à Beit-salam, a horreur au public, ne supporte pas ni les publics, ni les critiques ni même la causerie un peu pointue. Avec une fragilité impressionnante, notre frère, supprime et bloque de son compte facebook, tout ami qui ose s’opposer au pouvoir en place, qui ose lui porter contradiction… et qui fait en sorte d’avoir le dernier mot une fois dans une conversation. Sinon rien n’est étonnant au pays de tout est possible et du pouvoir, de club.
Par Said Yassine Said Ahmed
Par Said Yassine Said Ahmed