ANTOY ABDOU, Conseiller à la Cour Constitutionnelle des Comores a touché là où ça fait mal: dénoncer la corruption et les injustices de ceu...
ANTOY ABDOU, Conseiller à la Cour Constitutionnelle des Comores a touché là où ça fait mal: dénoncer la corruption et les injustices de ceux qui étaient sensés faire respecter le droit. Un crime de lèse majesté. J'appelle tous les comoriens soucieux d'un avenir positif de ce pays à lire le livre d'ANTOY ABDOU qui déshabille la dite cour qui n'a rien de constitutionnelle: un tribune de dilapidation de biens public et une machine à frauder les élections. Au lieu de faire profil bas, les Conseillers ont choisi de crier et sortir par la petite porte.
Il est temps de révoquer des telles organisations qui sont loin de produire des hommes intègres mais qui réagissent sous l'ombre des décisions irrévocables de la Cour. Nos conseillers qui se soucient plutôt de leurs poches que la défense des lois prêtent serment au nom de Dieu! Heureusement, cette Cour disparaît dans moins d'un mois et j'interpelle le garant de la constitution AZALI ASSOUMANI sur cette situation prioritaire: garantir la dignité de la Cour Constitutionnelle. Et cela passe par diligenter une enquête en profondeur sur la base des dires et écrits d'un des conseillers.
Un silence du nouveau Chef de l’État serait légitimé l'inadmissible et perpétué un système politico mafieux. J'appelle les parties politiques à dénoncer les manœuvres dolosives de cette Cour agonisante et à demander la poursuite et la condamnation de ces membres si les propos de leur confrère ANTOY ABDOU sont prouvés.
J'appelle la communauté internationale, l'Union Africaine, l'Union Européenne, la Ligue des États Arabes à agir au service de la démocratie piétinée par l'institution la plus haute de la république. J'attire l'attention de Monsieur ANTOY ABDOU sur sa sécurité personnelle, celle de sa famille dans un pays où tout est possible. Lisez ce livre de quelque dizaines de pages résumant la vie de toute une Nation à deux doigts d'un hécatombe. BEN ALI