Le choix de Mr Hamadi Idarousse comme secrétaire général du gouvernement par le président de la république n’est pas un hasard. Si cet i...
Le choix de Mr Hamadi Idarousse comme secrétaire général du gouvernement par le président de la république n’est pas un hasard. Si cet ingénieur agronome de formation a été sélectionné pour conduire et coordonner l’action gouvernementale, les raisons sont multiples :Il est d’abord bien connu pour son courage et sa rigueur professionnelle avant d’être considéré comme étant l’un des cerveaux du ministère de la production où il a occupé plusieurs fonctions notamment celle de chargé de suivi et évaluation et ancien secrétaire général .
Au sein du parti CRC, il est secrétaire national chargé de l’économie. Depuis plus de 10, il a été au cœur d’un travail titanesque qui consistait à élaborer un projet de société capable de répondre aux besoins réels de notre pays à court et à long terme. Il a su mobilisé les ressources du parti CRC et d’autres porteurs d’idées novatrices afin d’aboutir à la finalisation d’un projet de développement cohérent et adapté. Il suffit de retracer son parcours exceptionnel pour se rendre compte que ses rapports particuliers avec le président ne sont qu’une simple coïncidence.
Je me permets ici d’affirmer que sa nomination a été proposée à l’unanimité par tous les cadres du parti CRC et même de la coalition qui a conduit Azali Assoumani au pouvoir. Idarousse est non seulement un haut cadre crédible mais aussi doté d’une expérience administrative irréprochable de par sa maitrise des rouages de l’administration comorienne et de son côté manager en termes de gestion et de travail en équipe. Il s’agit d’un choix hautement stratégique au-delà de toute autre considération et la tache qui attend ce nouveau patron du gouvernement est loin d’être facile, mais avec l’appui du chef de l’état et de l’ensemble des acteurs du développement, je reste convaincu que de grands changements sont à venir. Je lui souhaite bonne réussite à cette mission lourde qui vient de lui être confiée. Par Youssouf Ben