Le candidat de l’étranger, Mohamed Ali Soilihi, avait promis à ses patrons occidentaux qu’il ferait n’importe quoi pour défendre leurs inté...
Le candidat de l’étranger, Mohamed Ali Soilihi, avait promis à ses patrons occidentaux qu’il ferait n’importe quoi pour défendre leurs intérêts, comme il a toujours fait, si ces derniers acceptent de mettre tous les moyens nécessaires pour lui permettre d’accéder au sommet de l’Etat. Alors l’Union Européenne, a réuni toutes les conditions d’une victoire préprogrammée autour de l’homme qui, pendant plus de 38 ans, a ruiné notre pays au profit des puissances occidentales.
Tout au long de sa campagne électorale, le candidat Mohamed Ali Soilihi n’a eu qu’un seul type d’argument : « Notre équipe détient le ticket présidentiel, nous sommes le ticket gagnant, je suis le candidat du pouvoir, c’est nous qui allons gagner ces élections quoi qu’il arrive, parce que nous avons la force et l’appui de l’occident ». Ils ont mis en marche une véritable machine de fraude et un réseau de corruption généralisée de la CENI à la Cour constitutionnelle en passant par le ministère de l’intérieur en charge des élections, de manière à ce que tout soit favorable à falsifications du matériel électoral ainsi que les résultats.
Finalement, ce juge du contentieux électoral n’a pas pu donner un résultat définitif au moment où tout le peuple s’apprêtait à connaitre enfin le nom de son futur président, après 15 jours de patience et de stresse. C’est triste de voir que cette décision de reprise du vote dans 13 bureaux à Anjouan, n’a pas fait l’unanimité au sein de la CC. L’arrêt de la cour constitutionnelle a précisé qu’aucun bureau de vote n’a été annulé. Cela veut dire qu’en dehors de ces bureaux qui font l’objet d’une reprise, tous les autres bureaux de vote enregistrés dans l’ensemble des 3 îles ont été comptabilisés et donnent un écart de plus de 2000 voix entre le candidat déclaré gagnant par la CENI et son principal adversaire. Tous les mathématiciens des différents QG des candidats ont fait le calcul.
Ils savent qu’il est quasiment impossible pour Mamadou de gagner cette élection, même si le vote devait avoir lieu dans son propre quartier. Aujourd’hui les partisans du candidat déclaré vaincu pensent qu’ils vont pouvoir tricher pour inverser le résultat. Ils font semblant d’oublier que s’ils n’ont pas réussi à trafiquer une élection dans plus de 700 bureaux de vote repartis dans l’ensemble du territoire national pour gagner, ce n’est pas maintenant qu’ils vont pouvoir frauder dans 13 bureaux. Il est clair que la victoire d’Azali est irréversible.
Ce qui est beau à voir dans cette histoire, c’est que tous les traitres de cette nation se retrouvent autour de Mohamed Ali Soilihi pour une descente aux enfers lentement et surement. Il ne manquait plus que Mouigni Baraka pour que la caravane pour le cimetière politique de l’UPDC démarre. Il faut dire que ce parti a été crée pour rassembler les ennemis de notre pays dans un mouvement anti-développement et anti-démocratique. Mais il s’est vite transformé en cauchemar puisque tous ceux et celles qui s’en approchent signent leur mort politique.
Merci UPDC. Tu resteras à jamais dans les annales politiques car tu auras été le seul parti qui aura réussi à regrouper tous les politiciens malintentionnés de notre pays, depuis l’indépendance, dans une seule tombe. Par Youssouf Ben, ©habarizacomores.com