Marteaux, micro à la main, Mayotte met ses bottes et crie violence aux dépens de leurs frères comoriens de même sang, de même histoire, d...
Marteaux, micro à la main, Mayotte met ses bottes et crie violence aux dépens de leurs frères comoriens de même sang, de même histoire, de même langue, de même religion avec qui elle partage le même tam-tam, le même dhikr. Cette violence aveugle, cette folie sans nom sur les corps et les biens des Comoriens résidant dans cette l'île la plus ancienne des Comores actuellement nue de la chaleur humaine incarne un bon moyen de la politique de la gauche pour inculquer aux Mahorais une haine qui n'est pas la leur. Attentifs, nos yeux n'ont pas endommagé par cette politique synonyme d'une plaie malvenue.
Ce n'est pas possible, il faut que les Mahorais Sachent que la présence de la France à Mayotte est motivéeuniquement par un intérêt personnel léché notamment par la mer poissonneuse, le lagon beau béat de l'île et l'installation de sa base militaire, et j'en passe et des meilleurs. C'est triste ! Ce n'est pas dans la violence que la police s'en profite pour expulser les victimes. Quel foutoir ! Une telle manœuvre notifie bel et bien que la police française à Mayotte est une police complice qui se réjouit de la chasse des Comoriens par leurs frères mahorais.
Comment serait-il valable qu'une nuée de personnes s'amusent à détruire, aux yeux de la police, les maisons construites sur ce territoire étant uniquement sous le contrôle de la cinquième puissance du monde ? Comment serait-il valable qu'une telle situation, qui multiplie par zéro, qui jette à la poubelle la loi et la démocratie françaises, puisse se produire ? Comment serait-il valable que des propos à connotation racistes tenus par des enseignants et élus mahorais ne fassent l'objet d'un appel à l'ordre ?
Les temps sont durs. En effet, étant dans le brouillard, nos frères mahorais refusent de comprendre et de détecter le vrai danger dont ils sont victimes en continuant de se pavaner dans le bras de cette puissance colonisatrice qui s'apprête à voir les Comores s'assombrir à jamais. Honte à vous, France politique dont liberté, égalité et fraternité ne s'observent pas à Mayotte où un très grand nombre de victimes sont Français.
Là-bas,vous le savez, la résistance est leur seule force !
On sait très bien que la présence des Anjouanais, Moheliens etGrands Comoriens à Mayotte est un petit caillou dans votre chaussure. Cela personne ne peut le nier car le visa Balladur en est une parfaite illustration.
En tout cas pour beaucoup notamment l'ONU, cette présence n'est pas une tare maisplutôt une fierté qui incarne leur attachement à leurs frères diabolisés, brulés en en effigie par une politique dont le favoritisme est mère. Oui, ce qui se passe à Mayotte, où on marche dans la boue, on pèche par regard en fixant les yeux sur ses maisons en terre, en tôle, laisse à confirmer que cette île comorienne livrée à la débauche, il faut le dire, n'est pas prise en charge judiciairement et financièrement par Paris où on n'a jamais vu une personne commettre un crime sans que les autorités compétences interviennent en urgence pour y mettre fin.
Monsieur le Ministre de l'intérieur, il ne suffit pas de condamner verbalement ces actes barbares mais plutôt d'intervenir physiquement car l'heure est grave que l'on n'imagine. S'il vous plait, livrez Mamoudzou à l'archipel des Comores car votre amour pour cette île sœur est loin d'être présent au bénéfice de ceux qu'y habitent. Abdou Djohar
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.