La véritable identité d'un artiste, c'est son œuvre : Azali avait donné l’exemple parfait d’un dirigent démocrate (2002-2006), c’est...
La véritable identité d'un artiste, c'est son œuvre : Azali avait donné l’exemple parfait d’un dirigent démocrate (2002-2006), c’est ainsi qu’il demande le respect de son œuvre.
Ouvrez les vannes de votre pouvoir et au milieu des vagues et des tempêtes, laissez-lui rendre témoignage comme celui qui, à la dérive, peut encore lever un bras pour prévenir ses compagnons qu’ils vont couler. Il n'y a rien de mal à prévenir aux amis de leurs vulnérabilités. Soyons amis les amis !
Le plus grand plaisir d’un tricheur, c’est de tricher, tricher, et toujours tricher. Ne soyons pas tricheurs. Aux Comores en cette période électorale et si ce qui se trame s’avère vrai, ce que je ne souhaite pas et que je ne peux pas croire jusqu’à preuve du contraire, alors, nous sommes en droit de se demander si on peut s’autoriser à mettre le futur aux enchères. Sinon, qu’est ce qui nous garantit que celui qui triche aujourd’hui pour espérer devenir président, ne trichera pas demain, pour rester éternellement au pouvoir comme un certain Kurunziza ?
L’ancien Président et peut être futur Président Azali Assoumani, se dit avoir donné l’exemple d’un dirigent démocrate et, il réclame non seulement son droit d’auteur, mais aussi le respect de son œuvre. Voici ce qu’avait dit Azali sur ce sujet : « J'ai pensé donner l'exemple mais apparemment ils n’ont rien compris et l’exemple n'est pas suivi. J'avais le pouvoir, j'avais les armes, j'ai fait un coup d'Etat n’est-ce pas ? Pourtant les élections que les instances avaient validées, j'ai accepté. Celles que les instances avaient déclarées perdues, j'ai accepté. […] Mais lorsqu'on ose faire croire qu’on est premier en étant dernier, l’honnêteté perd ses ailes et on ne peut plus parler d'élection démocratique, libre et transparente. Moi, je n'aime pas cette popularité. La popularité que j'aime, c'est si le peuple s'exprime de façon transpa-rente. Et s'il faut le forcer pour se prononcer pour dire après qu'on est populaire, je n'en veux pas ». Disait l’ancien Président Azali dans une interview exclusive qu'il avait accordé au journaliste Ahmed Abdallah Mgueni de La Gazette / HZK-Presse.
Pour rappel, le régime Azali (2002-2006) avait perdu presque toutes les élections en faveur des opposants Mzé Soulé Elback, Ahmed Sambi, entre autres. Pourtant, Azali avait tout simplement accepté la volonté du peuple. Respect s’il vous plait.
Oui, soyons républicains, respectons la République, respectons la démocratie et la volonté du peuple comorien. On ne peut pas se doter les méthodes et les pratiques de Kurunziza, tout en se disant démocrate. Le danger du laisser-faire et du laisser-aller, est que celui qui torpille les règles aujourd’hui, torpillera ces mêmes règles en 2021 et en 2026 pour s’éterniser au pouvoir. Notre choix c’est la démocratie, nous sommes en démocratie et nous restons.
Mrimdu
Ouvrez les vannes de votre pouvoir et au milieu des vagues et des tempêtes, laissez-lui rendre témoignage comme celui qui, à la dérive, peut encore lever un bras pour prévenir ses compagnons qu’ils vont couler. Il n'y a rien de mal à prévenir aux amis de leurs vulnérabilités. Soyons amis les amis !
Le plus grand plaisir d’un tricheur, c’est de tricher, tricher, et toujours tricher. Ne soyons pas tricheurs. Aux Comores en cette période électorale et si ce qui se trame s’avère vrai, ce que je ne souhaite pas et que je ne peux pas croire jusqu’à preuve du contraire, alors, nous sommes en droit de se demander si on peut s’autoriser à mettre le futur aux enchères. Sinon, qu’est ce qui nous garantit que celui qui triche aujourd’hui pour espérer devenir président, ne trichera pas demain, pour rester éternellement au pouvoir comme un certain Kurunziza ?
L’ancien Président et peut être futur Président Azali Assoumani, se dit avoir donné l’exemple d’un dirigent démocrate et, il réclame non seulement son droit d’auteur, mais aussi le respect de son œuvre. Voici ce qu’avait dit Azali sur ce sujet : « J'ai pensé donner l'exemple mais apparemment ils n’ont rien compris et l’exemple n'est pas suivi. J'avais le pouvoir, j'avais les armes, j'ai fait un coup d'Etat n’est-ce pas ? Pourtant les élections que les instances avaient validées, j'ai accepté. Celles que les instances avaient déclarées perdues, j'ai accepté. […] Mais lorsqu'on ose faire croire qu’on est premier en étant dernier, l’honnêteté perd ses ailes et on ne peut plus parler d'élection démocratique, libre et transparente. Moi, je n'aime pas cette popularité. La popularité que j'aime, c'est si le peuple s'exprime de façon transpa-rente. Et s'il faut le forcer pour se prononcer pour dire après qu'on est populaire, je n'en veux pas ». Disait l’ancien Président Azali dans une interview exclusive qu'il avait accordé au journaliste Ahmed Abdallah Mgueni de La Gazette / HZK-Presse.
Pour rappel, le régime Azali (2002-2006) avait perdu presque toutes les élections en faveur des opposants Mzé Soulé Elback, Ahmed Sambi, entre autres. Pourtant, Azali avait tout simplement accepté la volonté du peuple. Respect s’il vous plait.
Oui, soyons républicains, respectons la République, respectons la démocratie et la volonté du peuple comorien. On ne peut pas se doter les méthodes et les pratiques de Kurunziza, tout en se disant démocrate. Le danger du laisser-faire et du laisser-aller, est que celui qui torpille les règles aujourd’hui, torpillera ces mêmes règles en 2021 et en 2026 pour s’éterniser au pouvoir. Notre choix c’est la démocratie, nous sommes en démocratie et nous restons.
Mrimdu