Versez de l'encre Messieurs les experts en droit sur la validité de la candidature d'un homme accusé de meurtre et dont le procès n...
Versez de l'encre Messieurs les experts en droit sur la validité de la candidature d'un homme accusé de meurtre et dont le procès n'est pas totalement fini et qu'il a été libérer pour vices de procédure!
Sinon dites nous qu'après un élu "Escobar" comme député national, il nous faut un Président Bokassa!
Dans les deux cas, la responsabilité de la Cour Constitutionnelle est immense, celle de la société civile complice. ...
Par respect de la fonction présidentielle, SALIM, soldat de rang élevé devrait se retirer et prouver son innocence dans le crime qui, jusqu'à la preuve du contraire, le place comme le commanditaire et le responsable direct.
Le juge RACHAD était un juge d'instruction, donc assermenté. Il n'avait rien de personnel contre SALIM; pourquoi ce silence de nos faiseurs de droit? Faut-il s'appeler SAMBI pour que l'on sort toute l'armada de nos hommes de droit des grandes écoles?
Ce qui frôle le ridicule, c'est le vent médiatique qui inonde les blogs comoriens présentant SALIM comme le libérateur, le sauveur du droit, "le meilleur de nous tous", comme CHIRAC le disait d'ALAIN Juppé.
SALIM n'a rien fait pour se défendre; en aucun moment, il n'a pleuré son collègue, chef de corps Combo AYOUBA, assassiné comme un chien et enterré sans aucune forme de procès digne.
Je suis persuadé que DIEU ne laisse jamais impuni un meurtre et les criminels seront frappés d’ignominie dans ce monde pour finir dans les supplices de l'enfer. Le peuple aussi n'est pas si naïf que ça et les urnes le sanctionneront.
La candidature de SALIM devrait simplement être invalidé par présentation de son casier judiciaire. Insultez comme vous savez le faire, Messieurs et Mesdames les partisans du Général qui voudrait redorer son image, comme vous savez si bien le faire!
Mais lisez moi le droit, s'il vous plait!
BEN ALI.
NB: le Lieutenant Colonel Combo a été criblé de balle en début de soirée du 13 juin 2010; trois militaires ont été inculpés et ont passé aux aveux, lesquels aveux ont revelé que l'ordre de tuer a été donné par le Général SALIMOU. Ce dernier a même voulu faire une rebellion, vite maîtrisée par l'armée et a été mis en residence surveillée. Un semblant de procès et l'mmobilisation de Hambou pour sauver le soldat de Hambou. Le dossier a fait tué ou fait voyager tous les témoins dont le docteur Assad said omar.