Mohamed Ali Soilihi compte s’il est élu en 2016 mettre fin à la politique clientéliste au sein de notre administration. Les agents ou fonc...
Mohamed Ali Soilihi compte s’il est élu en 2016 mettre fin à la politique clientéliste au sein de notre administration.
Les agents ou fonctionnaires de l’Etat ou des sociétés d’Etat ne devraient leur loyauté qu’à l’intérêt général de la nation. Payés par le contribuable, ils doivent se mettre en première ligne de celles et ceux qui agissent dans leur quotidien, dans le cadre de leurs activités professionnelles ou de leurs engagements associatifs pour le développement, la promotion ou la préservation de notre patrimoine (culturel, social, économique, …) et concourir par leur action au service de la patrie.
En lieu d’un service dévoué à la tâche et à l’utilité publique, Nombreux sont les agents du service public, toutes catégories confondues se comportant comme ne devoir loyauté qu’aux personnes qui leur ont permis l’accès à l’emploi dans l’administration. Et comme dans une espèce de jeu de chaises musicales, chaque fois que l’équipe politique dirigeante dans les ministères ou les sociétés d’Etat change, cela s’accompagne de l’éviction des anciens et de l’installation de nouveaux sans tenir compte ni de l’efficacité administrative ni des compétences techniques des uns comme des autres.
Les nominations à des postes ou les évictions, sans réelles motivations basées sur des critères relatifs à l’emploi occupé, mais plutôt sur le clientélisme politique, demeurent une des pratiques néfastes qui gangrènent le fonctionnement de l’administration et la mise en place des politiques au service de la nation. Cela nuit gravement à l’engagement et à la productivité des agents du service public. Dans un entretien accordé à la Jeunesse Mamadou, Mohamed Ali Soilihi compte s’il est élu président de l’union des Comores en 2016, mettre fin à cette politique clientéliste au sein de notre administration.
Mettre la personnalité, l’expérience, les compétences techniques et la formation au premier plan comme étant les critères à soupeser pour l’occupation d’un poste dans la fonction publique, et cela quel que soit le secteur d’activité. Mohamed Ali Soilihi nous appelle à une prise de conscience et à une application systématique de la loi. Cela implique de mettre en place toutes les dispositions juridiques et les moyens nécessaires pour le respect de la loi. Pour qu’aucune sanction contre un agent de l’État ou sa promotion ne puissent être prononcées que sur la base d’un jugement objectif sur la réussite ou le manquement constatés dans l’exercice de ses fonctions.
Indéniablement, l’application d’une telle mesure constituera un grand pas dans la lutte contre la corruption.
Par Said Ismail Said Mouhammad
Les agents ou fonctionnaires de l’Etat ou des sociétés d’Etat ne devraient leur loyauté qu’à l’intérêt général de la nation. Payés par le contribuable, ils doivent se mettre en première ligne de celles et ceux qui agissent dans leur quotidien, dans le cadre de leurs activités professionnelles ou de leurs engagements associatifs pour le développement, la promotion ou la préservation de notre patrimoine (culturel, social, économique, …) et concourir par leur action au service de la patrie.
En lieu d’un service dévoué à la tâche et à l’utilité publique, Nombreux sont les agents du service public, toutes catégories confondues se comportant comme ne devoir loyauté qu’aux personnes qui leur ont permis l’accès à l’emploi dans l’administration. Et comme dans une espèce de jeu de chaises musicales, chaque fois que l’équipe politique dirigeante dans les ministères ou les sociétés d’Etat change, cela s’accompagne de l’éviction des anciens et de l’installation de nouveaux sans tenir compte ni de l’efficacité administrative ni des compétences techniques des uns comme des autres.
Les nominations à des postes ou les évictions, sans réelles motivations basées sur des critères relatifs à l’emploi occupé, mais plutôt sur le clientélisme politique, demeurent une des pratiques néfastes qui gangrènent le fonctionnement de l’administration et la mise en place des politiques au service de la nation. Cela nuit gravement à l’engagement et à la productivité des agents du service public. Dans un entretien accordé à la Jeunesse Mamadou, Mohamed Ali Soilihi compte s’il est élu président de l’union des Comores en 2016, mettre fin à cette politique clientéliste au sein de notre administration.
Mohamed Ali Soilihi nous appelle à une prise de conscience et à une application systématique de la loi.
Mettre la personnalité, l’expérience, les compétences techniques et la formation au premier plan comme étant les critères à soupeser pour l’occupation d’un poste dans la fonction publique, et cela quel que soit le secteur d’activité. Mohamed Ali Soilihi nous appelle à une prise de conscience et à une application systématique de la loi. Cela implique de mettre en place toutes les dispositions juridiques et les moyens nécessaires pour le respect de la loi. Pour qu’aucune sanction contre un agent de l’État ou sa promotion ne puissent être prononcées que sur la base d’un jugement objectif sur la réussite ou le manquement constatés dans l’exercice de ses fonctions.
Indéniablement, l’application d’une telle mesure constituera un grand pas dans la lutte contre la corruption.
Par Said Ismail Said Mouhammad