Présidentielles de 2016 aux Comores.Engagement 7 du candidat Ibrahima Hissani Mfoihaya: Environnement et Développement durable
7.1. Changement climatique et développement durable
Notre engagement vise à promouvoir une politique de développement durable prenant en compte les menaces et les risques liés à l’environnement et à l’équilibre des écosystèmes. Nous devrons donc :
45. Mettre en œuvre une politique viable de gestion des déchets et engager des mesures simples et innovantes de protection de l’environnement.
46. Mettre en place les mécanismes et les systèmes qui assureront la croissance durable et le développement vert, résiliant au climat et sobre en émission de carbone et compatible avec les objectifs de conservation de la biodiversité et de gestion durable des ressources naturelles.
47.Veiller à la mise en place avec les partenaires au développement pour accompagner le pays à améliorer ses capacités d’adaptation, à réduire sa vulnérabilité et à renforcer la résilience de son économie et de sa population aux risques climatiques et aux catastrophes naturelles.
7.2. Développement rural intégré
Notre engagement est de faire des communes, le véritable moteur du développement local, un acteur essentiel pour la lutte contre la pauvreté et l’exclusion, un laboratoire de la bonne gouvernance en créant les conditions pour qu’elles disposent des outils et des moyens humains et financiers leur permettant de jouer ce rôle. Pour se faire, il est nécessaire de :
48. Doter le pays d’un plan cadastral et d’une politique foncière .
49. Développer et coordonner la chaîne de valeur agricoles: de la production à la transformation et renforcer les échanges intra-iles et inter régionaux, en vue de la commercialisation des produits.
50. Initier une révolution verte qui augmentera substantiellement la production agricole pour atteindre à moyen terme, une autosuffisance alimentaire par la mise en place d’une politique agricole dynamique résolument orientée vers le bio.
51. Relancer la culture des produits de rente, tout en encourageant la diversification des activités pouvant générer des revenus additionnels, en vue de réduire la vulnérabilité causée par les fluctuations des prix mondiaux et des mauvaises conditions climatiques.
52. Créer et promouvoir un label « Comores » et promouvoir les produits comoriens sur les marchés nationaux, régionaux, européens, américains et des pays arabes. 53. Créer une caisse de stabilisation pour protéger les producteurs en cas de fléchissements des cours mondiaux.
54. Créer un fond d’appui au secteur primaire qui permettra aux producteurs d’accéder au crédit avec des mécanismes de garantie individuelle, collective et de l’état, combiné pour pouvoir offrir des prêts à taux bonifié.
55. Mettre en place des centres d’agrobusiness pour faciliter les formations et satisfaire les besoins en matière d’irrigation, de semences et les installations de stockage (les missions des CRDE seront revues pour répondre à ces exigences).
Par Mohamed Abdou Hassani
Notre engagement vise à promouvoir une politique de développement durable prenant en compte les menaces et les risques liés à l’environnement et à l’équilibre des écosystèmes. Nous devrons donc :
45. Mettre en œuvre une politique viable de gestion des déchets et engager des mesures simples et innovantes de protection de l’environnement.
46. Mettre en place les mécanismes et les systèmes qui assureront la croissance durable et le développement vert, résiliant au climat et sobre en émission de carbone et compatible avec les objectifs de conservation de la biodiversité et de gestion durable des ressources naturelles.
47.Veiller à la mise en place avec les partenaires au développement pour accompagner le pays à améliorer ses capacités d’adaptation, à réduire sa vulnérabilité et à renforcer la résilience de son économie et de sa population aux risques climatiques et aux catastrophes naturelles.
7.2. Développement rural intégré
Notre engagement est de faire des communes, le véritable moteur du développement local, un acteur essentiel pour la lutte contre la pauvreté et l’exclusion, un laboratoire de la bonne gouvernance en créant les conditions pour qu’elles disposent des outils et des moyens humains et financiers leur permettant de jouer ce rôle. Pour se faire, il est nécessaire de :
48. Doter le pays d’un plan cadastral et d’une politique foncière .
49. Développer et coordonner la chaîne de valeur agricoles: de la production à la transformation et renforcer les échanges intra-iles et inter régionaux, en vue de la commercialisation des produits.
50. Initier une révolution verte qui augmentera substantiellement la production agricole pour atteindre à moyen terme, une autosuffisance alimentaire par la mise en place d’une politique agricole dynamique résolument orientée vers le bio.
51. Relancer la culture des produits de rente, tout en encourageant la diversification des activités pouvant générer des revenus additionnels, en vue de réduire la vulnérabilité causée par les fluctuations des prix mondiaux et des mauvaises conditions climatiques.
52. Créer et promouvoir un label « Comores » et promouvoir les produits comoriens sur les marchés nationaux, régionaux, européens, américains et des pays arabes. 53. Créer une caisse de stabilisation pour protéger les producteurs en cas de fléchissements des cours mondiaux.
54. Créer un fond d’appui au secteur primaire qui permettra aux producteurs d’accéder au crédit avec des mécanismes de garantie individuelle, collective et de l’état, combiné pour pouvoir offrir des prêts à taux bonifié.
55. Mettre en place des centres d’agrobusiness pour faciliter les formations et satisfaire les besoins en matière d’irrigation, de semences et les installations de stockage (les missions des CRDE seront revues pour répondre à ces exigences).
Par Mohamed Abdou Hassani