Le commandant des gardes côtes, colonel Said Hamza, à reçu le directeur de cabinet chargé de la défense, au siège des gardes-cotes. En réali...
Le commandant des gardes côtes, colonel Said Hamza, à reçu le directeur de cabinet chargé de la défense, au siège des gardes-cotes. En réalité, Boléro n'y était pas sollicité. Les matériels d'échafaudage sont loin d'être la vraie raison de sa visite.
Il y a quelques jours, le cabinet du président de la république est au centre de toutes les supputations. Certains ont annoncé l'imminente déchéance dudit Cabinet.
Tandis que d'autres n'avaient pas hésité à juré sur le Qor'an que son directeur, Hamada Madi Boléro, était bel et bien remercié. Ceux qui ont pu, ont pris sa défense. Assurant à l'opinion que Boléro, ce fidèle d'Iki, est bien sur son poste, et qu'aucune menace ne le guette. Des rumeurs qui ont atteint les murs de la présidence, d'où elles sont surgies. Ça a fait mouche, certes. Boléro commença à réaliser que malgré son influence, il est persona non grata auprès d'une poignée d'éminences grises du président de la république.
Pour assurer son existence et surtout et son maintien au poste, pour démentir les rumeurs et défier ses ennemis intimes, le directeur de cabinet chargé de la défense ne s'est pas contenté des légers démentis de amis sur les réseaux sociaux. Une sortie médiatique un peu à la Msaidié (ah, ce prochain Sambiste) pour dire qu'il est toujours le boss du cabinet présidentiel. Sauf que pour détourner l'opinion de son vrai objectif, il a jugé utile de se rapprocher de l'armée, pour ansi dire qu'il detient toujours et encore le portefeuille de la défense. Selon nos informations, le ministre de la défense songeait se rendre à la gendarmerie nationale.
Ses conseillers lui ont fait savoir que là-bas il n'y a rien d'original pour réussir son objectif qui consiste à dire à ses ennemis qu'il respire encore. À peine, mais encore. C'est ainsi qu'il s'est retourné au commandant des gardes-cotes. Le colonel Said Hamza, qui est son enseignant de physique et chimie quand il était en 4ème au collège de Fomboni, ne pouvait qu'ouvrir la porte à un de ses élèves aujourd'hui très reconnaissants.
Là-bas au siège des garde-cotes, il n'y a rien à grignoter à part des tubes métalliques. Mais comme elles ne sont toujours dans le container car fraîchement arrivées, Boléro a jugé que ça doit être une bonne occasion. Et il l'a saisie. Pour garnir sa sortie, il a réquisitionné le chef des états-majors, Youssouf Idjihadi. Une manière aussi de détourner l'attention de ses détracteurs.
En guise de conclusion, le directeur de cabinet du président de l'union ne s'était pas rendu au centre centre des garde-cotes pour que des tubes métalliques, destinées à l'échafaudage du bâtiment de 14 mètres de hauteur en cours de travaux, lui soient présentées. Non c'est trop petit pour se déplacer. Boléro a voulu, et il l'a réussi, passer un message à ceux qui anticipent son départ du poste qu'il occupe actuellement. Oui, il a voulu dire qu'il respire. Et, je le répète, il a réussi son coup.
Par Toufeyli Maecha
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Il y a quelques jours, le cabinet du président de la république est au centre de toutes les supputations. Certains ont annoncé l'imminente déchéance dudit Cabinet.
Tandis que d'autres n'avaient pas hésité à juré sur le Qor'an que son directeur, Hamada Madi Boléro, était bel et bien remercié. Ceux qui ont pu, ont pris sa défense. Assurant à l'opinion que Boléro, ce fidèle d'Iki, est bien sur son poste, et qu'aucune menace ne le guette. Des rumeurs qui ont atteint les murs de la présidence, d'où elles sont surgies. Ça a fait mouche, certes. Boléro commença à réaliser que malgré son influence, il est persona non grata auprès d'une poignée d'éminences grises du président de la république.
Pour assurer son existence et surtout et son maintien au poste, pour démentir les rumeurs et défier ses ennemis intimes, le directeur de cabinet chargé de la défense ne s'est pas contenté des légers démentis de amis sur les réseaux sociaux. Une sortie médiatique un peu à la Msaidié (ah, ce prochain Sambiste) pour dire qu'il est toujours le boss du cabinet présidentiel. Sauf que pour détourner l'opinion de son vrai objectif, il a jugé utile de se rapprocher de l'armée, pour ansi dire qu'il detient toujours et encore le portefeuille de la défense. Selon nos informations, le ministre de la défense songeait se rendre à la gendarmerie nationale.
Ses conseillers lui ont fait savoir que là-bas il n'y a rien d'original pour réussir son objectif qui consiste à dire à ses ennemis qu'il respire encore. À peine, mais encore. C'est ainsi qu'il s'est retourné au commandant des gardes-cotes. Le colonel Said Hamza, qui est son enseignant de physique et chimie quand il était en 4ème au collège de Fomboni, ne pouvait qu'ouvrir la porte à un de ses élèves aujourd'hui très reconnaissants.
Là-bas au siège des garde-cotes, il n'y a rien à grignoter à part des tubes métalliques. Mais comme elles ne sont toujours dans le container car fraîchement arrivées, Boléro a jugé que ça doit être une bonne occasion. Et il l'a saisie. Pour garnir sa sortie, il a réquisitionné le chef des états-majors, Youssouf Idjihadi. Une manière aussi de détourner l'attention de ses détracteurs.
En guise de conclusion, le directeur de cabinet du président de l'union ne s'était pas rendu au centre centre des garde-cotes pour que des tubes métalliques, destinées à l'échafaudage du bâtiment de 14 mètres de hauteur en cours de travaux, lui soient présentées. Non c'est trop petit pour se déplacer. Boléro a voulu, et il l'a réussi, passer un message à ceux qui anticipent son départ du poste qu'il occupe actuellement. Oui, il a voulu dire qu'il respire. Et, je le répète, il a réussi son coup.
Par Toufeyli Maecha
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.