IKILILOU brille par son incompétence avérée sur la gestion de l'Etat, cinq ans de pouvoir d'amateurisme, de fautes politiques. Un...
IKILILOU brille par son incompétence avérée sur la gestion de l'Etat, cinq ans de pouvoir d'amateurisme, de fautes politiques. Un pouvoir qui fait émerger des personnalités qui étaient sensées rester à l'ombre et pour longtemps.
ABDALLAH SAMBI, AZALI ASSOUMANI, MOHAMED BACAR deviennent actuellement les bons dirigeants, sauveur d'un pays qui manque de tout. Un pays qu'ils aiment bien, voire même trop bien.
Pendant que certains défendent une tournante bâtarde de Ngazidza menacée par ABDALLAH SAMBI l'Anjouanais, d'autres prônent la mort d'une fédération pour des États insulaires indépendants ouvrant la voie aux divisions et aux calculs des intérêts liés aux gisements de pétrole et autres gaz de l'archipel.
Deux alternatives s'offrent au pays:
1. Comme d'habitude, le peuple s'endort pour se réveiller dans un brasier à la Somalie où l'intolérance et les injustices accoucheront un fanatisme religieux rampant, la prolifération des armes, de la drogue; des entités mafieux séparatistes et anarchistes. Et c'est la zone de l'océan indien qui est déstabilisée.
2. Une révolution populaire balaie la racaille politicienne, convoque une Assemblée Constituante sur la base d'un profil étudié et proclame la deuxième République. Le peuple prend les décision les plus souveraines, notamment la désignation du Guide ou du collège à la pointe de la révolution.
Je vous renvois à l'histoire récente de notre jeune République qui n'a que quarante ans d'existence et qui semble vieille de mille ans de misère, d'inégalité et d'inaction. Faites un rappel de l'expérience vécue par des pays comme le nôtre ou plus importants que le nôtre. La centaine de candidats qui lorgnent la présidence me font penser à des charognards qui envahissent une zone infestée de cadavres empoisonnés!
BEN ALI.
ABDALLAH SAMBI, AZALI ASSOUMANI, MOHAMED BACAR deviennent actuellement les bons dirigeants, sauveur d'un pays qui manque de tout. Un pays qu'ils aiment bien, voire même trop bien.
Pendant que certains défendent une tournante bâtarde de Ngazidza menacée par ABDALLAH SAMBI l'Anjouanais, d'autres prônent la mort d'une fédération pour des États insulaires indépendants ouvrant la voie aux divisions et aux calculs des intérêts liés aux gisements de pétrole et autres gaz de l'archipel.
Deux alternatives s'offrent au pays:
1. Comme d'habitude, le peuple s'endort pour se réveiller dans un brasier à la Somalie où l'intolérance et les injustices accoucheront un fanatisme religieux rampant, la prolifération des armes, de la drogue; des entités mafieux séparatistes et anarchistes. Et c'est la zone de l'océan indien qui est déstabilisée.
2. Une révolution populaire balaie la racaille politicienne, convoque une Assemblée Constituante sur la base d'un profil étudié et proclame la deuxième République. Le peuple prend les décision les plus souveraines, notamment la désignation du Guide ou du collège à la pointe de la révolution.
Je vous renvois à l'histoire récente de notre jeune République qui n'a que quarante ans d'existence et qui semble vieille de mille ans de misère, d'inégalité et d'inaction. Faites un rappel de l'expérience vécue par des pays comme le nôtre ou plus importants que le nôtre. La centaine de candidats qui lorgnent la présidence me font penser à des charognards qui envahissent une zone infestée de cadavres empoisonnés!
BEN ALI.