Un appel au Président de la République de Madagascar pour qu'enfin il réalise nos souhaits: travailler, agir et gérer Une des grande...
Un appel au Président de la République de Madagascar pour qu'enfin il réalise nos souhaits: travailler, agir et gérer
Une des grandes figures Malgache, qui me fait l'honneur d'être mon ami, m'a adressé ce jour ce document émanant de Lakroa,hebdomadaire édité par l'Eglise catholique malgache ! Je vous le mets en ligne car il lance un cri, que très souvent je lance et peut-être qu'ensemble le PRM va enfin nous entendre.
La Haute Cour Constitutionnelle faisant office de Haute Cour de Justice a rendu son verdict. En votre faveur Monsieur le Président de la République.
Immédiatement après le verdict prononcé par la Haute de Cour Constitutionnelle vous avez délivré un message à la Nation.
Monsieur le Président ouvrez vos oreilles et regardez la réalité…
Je renouvelle tous les engagements que j'ai pris envers vous" aviez-vous déclaré dans votre message à la Nation. Oui, Monsieur le Président, on voudrait vous croire…
Mais…
Tant que vous ne nous donnez pas de signal fort on ne peut plus vous croire sur parole. 18 mois de belles promesses suffisent amplement. Monsieur le Président lisez le commentaire d'une femme d'un certain âge : "Je ne l'aime pas. Il n'a rien fait pour améliorer notre sort" C'était ce dimanche à Ankadifotsy. Une réalité, Monsieur le Président et non une lubie de la part d'un éditorialiste. Ecoutez les complaintes de cette femme Monsieur le Président. Vous avez cette chance qu'en face de vous aucune alternative claire ne se précise sinon, le Vahoaka auquel vous vous êtes adressé aurait déjà battu les pavés. Une issue qu'on ne souhaite pas à la Nation déjà mal en point.
Vous voulez nous épater Monsieur le Président… On voudrait vous croire. Donnez un signal fort. Lequel ? Diminuez vos dépenses, créez des emplois, des actes et non des paroles. Lesquels ? Si vous me les demandez, c'est que vous n'êtes pas capable de diriger ce pays.
Si vos conseillers n'arrivent pas à trouver des bonnes idées , changez-en. Les conseillers sont faits pour être changés si les résultats ne sont pas bons. Vous vous avez un contrat de 5 ans, on ne veut pas d'une élection présidentielle rapprochée, on veut vivre dans la stabilité. Une stabilité qui ne signifie pas un partage des gâteaux et des sièges.
Clarifiez vos comptes, on n'apprendra pas cela à l'expert-comptable que vous êtes.
Monsieur le Président, regardez la réalité. Sur les chaînes nationales on ne voit que vos thuriféraires, c'est faire comme si les 121 députés signataires étaient tous corrompus en signant cette motion de déchéance. Non, Monsieur le Président. On veut bien vous croire sur parole quand vous dites que vous avez pris des enseignements après ce qui vient de se passer. 48 heures sont déjà passées, aucun appel au dialogue n'a été lancé. Monsieur Le Président, réveillez-vous !
La balle est dans votre camp. On ne veut plus d'un Président cité tout le temps à la barre comme accusé ou comme témoin. Ce n'est pas la place du Président de la République. Pour l'intérêt supérieur de la Nation.
25 JUIN 2015 | PAR PHILIPPE DIVAY
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Une des grandes figures Malgache, qui me fait l'honneur d'être mon ami, m'a adressé ce jour ce document émanant de Lakroa,hebdomadaire édité par l'Eglise catholique malgache ! Je vous le mets en ligne car il lance un cri, que très souvent je lance et peut-être qu'ensemble le PRM va enfin nous entendre.
La Haute Cour Constitutionnelle faisant office de Haute Cour de Justice a rendu son verdict. En votre faveur Monsieur le Président de la République.
Immédiatement après le verdict prononcé par la Haute de Cour Constitutionnelle vous avez délivré un message à la Nation.
Monsieur le Président ouvrez vos oreilles et regardez la réalité…
Je renouvelle tous les engagements que j'ai pris envers vous" aviez-vous déclaré dans votre message à la Nation. Oui, Monsieur le Président, on voudrait vous croire…
Mais…
Tant que vous ne nous donnez pas de signal fort on ne peut plus vous croire sur parole. 18 mois de belles promesses suffisent amplement. Monsieur le Président lisez le commentaire d'une femme d'un certain âge : "Je ne l'aime pas. Il n'a rien fait pour améliorer notre sort" C'était ce dimanche à Ankadifotsy. Une réalité, Monsieur le Président et non une lubie de la part d'un éditorialiste. Ecoutez les complaintes de cette femme Monsieur le Président. Vous avez cette chance qu'en face de vous aucune alternative claire ne se précise sinon, le Vahoaka auquel vous vous êtes adressé aurait déjà battu les pavés. Une issue qu'on ne souhaite pas à la Nation déjà mal en point.
Vous voulez nous épater Monsieur le Président… On voudrait vous croire. Donnez un signal fort. Lequel ? Diminuez vos dépenses, créez des emplois, des actes et non des paroles. Lesquels ? Si vous me les demandez, c'est que vous n'êtes pas capable de diriger ce pays.
Si vos conseillers n'arrivent pas à trouver des bonnes idées , changez-en. Les conseillers sont faits pour être changés si les résultats ne sont pas bons. Vous vous avez un contrat de 5 ans, on ne veut pas d'une élection présidentielle rapprochée, on veut vivre dans la stabilité. Une stabilité qui ne signifie pas un partage des gâteaux et des sièges.
Clarifiez vos comptes, on n'apprendra pas cela à l'expert-comptable que vous êtes.
Monsieur le Président, regardez la réalité. Sur les chaînes nationales on ne voit que vos thuriféraires, c'est faire comme si les 121 députés signataires étaient tous corrompus en signant cette motion de déchéance. Non, Monsieur le Président. On veut bien vous croire sur parole quand vous dites que vous avez pris des enseignements après ce qui vient de se passer. 48 heures sont déjà passées, aucun appel au dialogue n'a été lancé. Monsieur Le Président, réveillez-vous !
La balle est dans votre camp. On ne veut plus d'un Président cité tout le temps à la barre comme accusé ou comme témoin. Ce n'est pas la place du Président de la République. Pour l'intérêt supérieur de la Nation.
25 JUIN 2015 | PAR PHILIPPE DIVAY
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