Il est de coutume à chaque membre d’une association de dresser un bilan afin de manifesté sa vision de la gestion de son association. Par c...
Il est de coutume à chaque membre d’une association de dresser un bilan afin de manifesté sa vision de la gestion de son association. Par ce biais, j’ai jugé utile de prendre ma plume virtuelle pour dresser un bilan pour deux raison : d’une part apprécié les promesses tenues par nos responsables et enfin montrer les engagements non tenues dans un angle de critique constructif.
Dresser ce bilan n’a pas pour objectif de critiquer seulement mais il s’agit d’apprécier aussi ce qui est fait. Pour ce faire notre regard de la gestion de notre association se focalisera sur trois points : De prime à bord les promesses électorales, ensuite la gestion managériale et enfin la préparation d’un relais pour assurer la continuité des projets non réalisés l’un des points négligés par l’équipe sortante.
Depuis le mois de mai 2014 au mois de mai 2015, le moins qu’on puisse dire sur la gestion de notre association sous l’égide du président SEDA Ibrahim Biladi, le bilan est satisfaisant.
Tout d’abord, je réitère mes félicitations à l’équipe de monsieur le président d’avoir pu honorer la majorité des engagements prises lors de la période électorale. A mon avis, la stabilité retrouvée entre notre association mère (CECOM) et les autres associations régionales ou des filières, l’atelier sur les textes de la CECOM, le partenariat avec la commune urbaine d’Antananarivo, la réussite du coté financier, les formations des qualités et l’atelier sur la structuration et l’harmonisation des activités sont les points marquants d’un Bilan que je juge satisfaisant. Ces cinq dernières années, nous étions témoins des querelles inutiles entre notre Coordination et les autres associations, ainsi la réussite de l’instauration d’un climat d’apaisement durant ce mandat est un point fort que les Bureaux précédents n’ont jamais réussi.
Dresser ce bilan n’a pas pour objectif de critiquer seulement mais il s’agit d’apprécier aussi ce qui est fait. Pour ce faire notre regard de la gestion de notre association se focalisera sur trois points : De prime à bord les promesses électorales, ensuite la gestion managériale et enfin la préparation d’un relais pour assurer la continuité des projets non réalisés l’un des points négligés par l’équipe sortante.
Depuis le mois de mai 2014 au mois de mai 2015, le moins qu’on puisse dire sur la gestion de notre association sous l’égide du président SEDA Ibrahim Biladi, le bilan est satisfaisant.
Tout d’abord, je réitère mes félicitations à l’équipe de monsieur le président d’avoir pu honorer la majorité des engagements prises lors de la période électorale. A mon avis, la stabilité retrouvée entre notre association mère (CECOM) et les autres associations régionales ou des filières, l’atelier sur les textes de la CECOM, le partenariat avec la commune urbaine d’Antananarivo, la réussite du coté financier, les formations des qualités et l’atelier sur la structuration et l’harmonisation des activités sont les points marquants d’un Bilan que je juge satisfaisant. Ces cinq dernières années, nous étions témoins des querelles inutiles entre notre Coordination et les autres associations, ainsi la réussite de l’instauration d’un climat d’apaisement durant ce mandat est un point fort que les Bureaux précédents n’ont jamais réussi.
Quand aux textes réglementaires de notre Coordination, les modifications faites ne font que garantir la paix et la stabilité de la CECOM même si certains articles nécessitent encore d’être bien étudiés comme : Les postes éligibles qui exigent une représentativité des îles composants l’Union des Comores. Ceci accentue le séparatisme de notre pays. Toutefois, ce qui est fait est encourageant, il appartient aux Bureaux successifs de faire l’amélioration. En ce qui concerne l’atelier de la structuration et l’harmonisation des activités de nos association, le Bureau a réussi le pari d’unir la majorité des associations estudiantines à Antananarivo sur la même table pour trouver une solution, pour la première fois depuis des années que cette question est soulevée, l’équipe de la CECOM dirigée par le Président SEDA Ibrahim Biladi a pu trouver des arguments convaincants et discours que je juge prophétiques car la question n’était pas du tout facile. Finalement sans aucune résistance une solution a été trouvée : les activités se feront au niveau insulaire.
Maintenant, la balle est dans le camp de chaque association pour honorer ses engagements. Malgré ces points forts qui positivent le Bilan de l’équipe sortante, des promesses électorales importantes n’ont pas pu être réalisé comme : mise en place des cellules d’organisation, d’éducation, de la communication, et de Relations. Le nombre des étudiants comoriens à Madagascar en général et à Antananarivo en particulier nécessite la mise en place des cellules pareilles. D’ailleurs la stratégie de les mettre en place était bien réfléchie par le Président et son équipe malheureusement le projet n’est pas réalisé. Ce qui était très urgent dans ce projet, c’est la mise en place d’une cellule de communication car ce dernier est le jalon de développement de notre Coordination. Ensuite, le recensement des étudiants comoriens à Madagascar est aussi une promesse nécessaire et importante non tenue.
Sur cette question, il faut une bonne stratégie et un vrai engagement de chaque association, mais c’est la CECOM en commun accord avec notre Ambassade qui devrait définir une politique commune de ce recensement. Enfin, c’est la réussite et la faisabilité des projets du Conseil d’administration, deux notions amalgamés à plusieurs reprises ce qui a conduit l’échec de pas mal des projets comme : la journée d’intégration. A mon avis, tous ce qui est fait ne pas forcement réussi, et dans un projet c’est la réussite qui compte mais assoiffé de réaliser tous ce qui est écris dans le plan d’action, il y a eu des projets faits et non réussi car la majorité des étudiants n’ont pas pu bénéficier ou bien désorganisation d’une activité en raison d’une mauvaise planification.
Concernant la gestion managériale de notre Coordination, j’ai remarqué le manque du travail en équipe du Bureau. Dans plusieurs questions il y a eu toujours des divergences au niveau du Bureau car des décisions étaient prises d’une manière autoritaire sans concertation des membres de l’équipe dirigeante. Malgré que le Président SEDA a vraiment la capacité d’écoute et parfois une volonté de concertation mais il y avait toujours des décisions préconçues par lui même. Ceci a fragilisé le Bureau de pouvoir mener à bien leurs taches.
Sur cette question, il faut une bonne stratégie et un vrai engagement de chaque association, mais c’est la CECOM en commun accord avec notre Ambassade qui devrait définir une politique commune de ce recensement. Enfin, c’est la réussite et la faisabilité des projets du Conseil d’administration, deux notions amalgamés à plusieurs reprises ce qui a conduit l’échec de pas mal des projets comme : la journée d’intégration. A mon avis, tous ce qui est fait ne pas forcement réussi, et dans un projet c’est la réussite qui compte mais assoiffé de réaliser tous ce qui est écris dans le plan d’action, il y a eu des projets faits et non réussi car la majorité des étudiants n’ont pas pu bénéficier ou bien désorganisation d’une activité en raison d’une mauvaise planification.
Concernant la gestion managériale de notre Coordination, j’ai remarqué le manque du travail en équipe du Bureau. Dans plusieurs questions il y a eu toujours des divergences au niveau du Bureau car des décisions étaient prises d’une manière autoritaire sans concertation des membres de l’équipe dirigeante. Malgré que le Président SEDA a vraiment la capacité d’écoute et parfois une volonté de concertation mais il y avait toujours des décisions préconçues par lui même. Ceci a fragilisé le Bureau de pouvoir mener à bien leurs taches.
Sur ce point de management associatif le président n’a pas pu maitriser convenablement. Car il devrait multiplier tous les efforts nécessaires non seulement pour que la majorité des membres du Bureau reste solidaire dans leurs actions malencontreusement le Conseil d’administration était abandonné aux mains de deux à trois personnes. Je pense que si le Président avait vraiment maitrisé à instaurer le travail en équipe dans le Conseil d’Administration de notre Coordination, j’en suis sur que les résultats seraient très appréciables et très fruités. Mais, le Président était dans l’obligation de s’engager à cent pour cent avec un ou deux membres de son Bureau non seulement pour honorer ses promesses électorales. Pari réussi mais surement il y a des échecs personnels enregistré d’une part auprès du Président et d’autre part auprès d’un ou de deux membres du Bureau qui sont resté fidèle jusqu’à la fin du mandat.
Pour parler du coté financier, le président et son équipe sont réussie. Le prochain président va avoir une somme colossale dans les comptes bancaires de la coordination afin de garantir son plan et aussi suivre les projets lancés.
C’est un président qui a pris la coordination avec 3 641 000 franc malgache soit (à peut prêt 145 640franc comorien), et laisser à son tour dans les comptes de la coordination 72 597 400 franc malgache soit (à peut prêt 2 903 896 de franc comorien), première fois dans la coordination qu’une somme pareil reste à la caisse. Les étudiants l’appellent ‘ « M’Aminifou ».
Pour terminer, je peux dire que personne ne peux en aucun cas pouvoir honorer ses promesses surtout électorales intégralement mais on a toujours les stratégies de pouvoir les réaliser. Un an pour redresser une association qui a tant souffert c’est insuffisant, c’est pourquoi que je pense qu’il est était nécessaire pour le Bureau sortant d’avoir préparé l’un de leur qui surement pourrait réaliser et assurer le suivi des projets lancés. Nonobstant, l’équipe sortante n’a pas réfléchi sur cette question même si le président personnellement soutenait le président élu.
Pour parler du coté financier, le président et son équipe sont réussie. Le prochain président va avoir une somme colossale dans les comptes bancaires de la coordination afin de garantir son plan et aussi suivre les projets lancés.
C’est un président qui a pris la coordination avec 3 641 000 franc malgache soit (à peut prêt 145 640franc comorien), et laisser à son tour dans les comptes de la coordination 72 597 400 franc malgache soit (à peut prêt 2 903 896 de franc comorien), première fois dans la coordination qu’une somme pareil reste à la caisse. Les étudiants l’appellent ‘ « M’Aminifou ».
Pour terminer, je peux dire que personne ne peux en aucun cas pouvoir honorer ses promesses surtout électorales intégralement mais on a toujours les stratégies de pouvoir les réaliser. Un an pour redresser une association qui a tant souffert c’est insuffisant, c’est pourquoi que je pense qu’il est était nécessaire pour le Bureau sortant d’avoir préparé l’un de leur qui surement pourrait réaliser et assurer le suivi des projets lancés. Nonobstant, l’équipe sortante n’a pas réfléchi sur cette question même si le président personnellement soutenait le président élu.
Même, elle n’a pu se mettre d’accord à l’unanimité ou en majorité pour soutenir un candidat qui respecterait les projets phares lancés comme la charte d’AMBOHIPO sur la structuration et l’harmonisation des activités. Donc, cela montre combien l’équipe sortante ne tienne pas compte vraiment de leurs réalisations phares qui sont encrés dans l’histoire de la Coordination. Ceci a bien sur des conséquences car rien ne rassure et n’oblige le Conseil d’administration nouvellement élu d’assurer le suivi des projets lancés et en cours de réalisation comme la gestion de la manne financière que le président IKILILOU a offert la Coordination, bien protéger par le bureau du président SEDA. Ainsi donc, je peux conclure que malgré le manque de travail en équipe du Conseil d’Administration et des difficultés d’ordres organisationnelles et de visions le Président SEDA a pu bel et bien amener le bateau à bon port : d’où un bilan satisfaisant mais non positive.
BEL – HAD Hamidou
Duel en lettre françaises et Francophone à L’université d’Akantso.
Actuellement en Diplomatie et Communication
BEL – HAD Hamidou
Duel en lettre françaises et Francophone à L’université d’Akantso.
Actuellement en Diplomatie et Communication