Moi, Hassani Ali, étudiant en sociologie, je décide d’apporter mon soutien au général Salim Mohamed Amir aux élections de 2016. J’appel...
Moi, Hassani Ali, étudiant en sociologie, je décide d’apporter mon soutien au général Salim Mohamed Amir aux élections de 2016. J’appelle ma famille, mes amis (es), mes proches et toute la communauté comorienne à le faire. Mon choix s’oriente à la faveur du candidat qui m’apparait comme étant l’homme de la situation et non l’homme d’un clan ou d’une idéologie qui n’aurait pour seul but que celui de chercher à satisfaire avant tout son propre intérêt. Je me suis accordé volontairement un temps de réflexion pour voir qui pense vraiment au peuple comorien.
Le général Salim Mohamed Amir est, à mes yeux le plus déterminé, placé et le mieux préparé, pour conduire notre pays dans la lumière. Le seul capable à pouvoir instaurer une vraie justice aux Comores, un pays qui est, jusqu’aujourd’hui, émergé dans l’injustice.
Le plus crédible de la situation qui se présente aux Comores actuellement : Un pays sans justice, un pays corrompu et un pays qui vit avec la charité des pays étrangers.
A travers des nombreuses conférences auxquelles moi-même j’ai assisté, le général Salim me parait compétant de faire sortir notre pays dans la crise. Il est bien entrainé à le faire.
Il a une vision courageuse, forte pour un pays qui n’a pas une vraie justice. Car lui-même est victime d’une injustice. Et c’est en ce moment, que le général Salim s’est rendu compte que dans notre pays il n’ya malheureusement pas de justice. Je ne suis pas là pour le blanchir car la justice elle-même l’a déjà fait. Je sais que beaucoup des ennemis de l’intérêt général du pays, le prend pour coupable de meurtre pour des raisons politiciennes. Le prophète Youssouf a été accusé de viole. Quand on est une bonne personne, d’autres cherchent toujours à salir ton image.
Mais essayons de réfléchir un peu. Croyons-nous que si le général Salim, quelqu’un qui dirigeait l’armé comorienne pendant longtemps, s’il est coupable ; est-ce qu’il allait avoir la force de se présenter dans les lieux publique ? Ce que je ne comprends pas, pourquoi l’ancien président s’est-il excusé sur l’affaire de Combo, alors, que personne ne l’a accusé ? Cela, me fait penser à l’expression qui dit que : qui s’excuse s’accuse »
Dans une conférence à Sarcelle (Paris- France), le général Salim développait que : « Pour qu’il ait une vraie justice aux Comores, une justice qui n’a peur de personne, qui travaille avec la loi, il faudrait faire en sorte que les acteurs de la justice se sentent qu’ils ont le niveau de travailler au palais de la justice, mais non pas par -ce qu’ils ont eu leur travaille via une notabilité ou par ce qu’ils soutenaient un parti politique, et que enfin il leur donne des postes comme cadeau. Et pour cela, il faut éviter tout ça en organisant des concours pour pouvoir travailler au sein de la justice comorienne. Par ce que je sais qu’il y a des compétant capable d’appliquer la loi telle qu’elle demande sauf qu’ils n’ont pas la chance d’y travailler par ce qu’ils n’ont pas soutenu le parti politique qu’il est au pouvoir » Voila une personne qui souffre de ce qui se passe dans un pays et qui propose une solution. Ce qui veut dire que le général lui-même ne cherche pas qu’on le soutienne ou non, il cherche de la vari justice. Il cherche qu’on traite tout le monde de la même manière. Les Comores, est un pays musulman. Traiter tout le monde de la même manière au niveau de la justice, c’est ce que l’Islam demande.
Force est de constater qu’il ne s’agit pas de dire uniquement que : « si vous nous donnez votre confiance, nous allons instaurer une bonne justice », il s’agit plutôt de mener une réflexion sur comment peut-on faire pour tuer l’injustice.
Le général Salim Mohamed Amir saura mener demain, une politique innovante et réaliste dans un souci de justice, d’égalité. Il est pour moi, la dernière carte à jouer pour tuer l’injustice qui règne dans notre pays. A mon avis, si on rate cette chance, notre pays continuera à vivre dans l’injustice et dans la corruption.
Aussi, il a la capacité, l’envie de porter ce changement, face à la situation très difficile dans laquelle, se trouve notre pays. Notre Etat ne peut pas avancer économiquement et politiquement, s’il n’y pas une vraie justice. Et c’est sur ce, que je soutiens le général Salim. Etant le mieux qui réfléchit sur la façon dont pouvons-nous faire pour abattre l’inégalité de justice.
« Si tu veux être juste dans un pays où la justice n’existe pas tu es victime d’une illusion » : MICHEL DUPUY.
Ali Hassani, étudiant en sociologie à l’université Paris 8. Professeur d’une école Coranique et arabe à Créteil et membre fondateur de l’Association, Jeunes Comoriens de Créteil. (J.C.C).