Meeting de l'"opposition" à Paris ce samedi 16 mai Quatre heures de discours... Bilan nada... Quatre heures de discours, t...
Meeting de l'"opposition" à Paris ce samedi 16 mai
Quatre heures de discours...
Bilan nada...
Quatre heures de discours, trois ténors de la vie politique comorienne ( Fahmi SAID IBRAHIM du P.E.C, Saïd LARIFOU de Ridja, Idi NADHOIM) qui expliquent les raisons de leurs ralliements à la candidature "naturelle" du meilleur d'entre eux (SAMBI) avec pour soutien à la tribune d'anciens ministres comme Ahmed DJAFFAR ou Djaffar EL MANSOIB et un auditoire poli qui ne ratait pas une occasion d’applaudir.
Quatre heures de discours mais pour ce qui est du bilan de celui qui veut se représenter devant nos suffrages il n'en aura pas été question.
Ce soir c'était Constitution, Constitutionnalité et Cour constitutionnelle.... Cette question est essentielle et devra être tranchée par la Cour Constitutionnelle pour trancher sur la validité de la candidature de l'ex Rais qui a annoncé ce jour sa candidature. Sur cette question Rilamha demande le respect de la Constitution. Le respect de sa lettre et de son esprit.((Nous ne voulons surtout pas d'un BURUNDI).
RILAMHA en une délégation d'une quinzaine de personnes a tenu à rappeler, pancartes à la main, tout le long du discours de l'ex président l'essentiel de la vie d'un pays. C'est à dire l'eau, l'électricité, l'éducation et la santé sans oublier le devoir de bilan des dix années SAMBI IKILILOU ( souvenez vous du "Relai qui rassure")
Comoriens! de Mouigni Baraka à Sambi en passant par Fahmi et Msaïdié nous essayons, sans parti pris, de rappeler à nos dirigeants leurs devoirs les plus élémentaires. Car les problèmes sont structurels ce n'est pas koffia blanc ou blanc koffia qui changeront ce pays si les structures du népotisme, de la corruption, du détournement d'argent public organisé demeure.
Avec la politesse due à notre culture nous le leur rappelons selon nos disponibilités.
S'ils n'y prennent pas garde, un jour d'autres qui ont faim et soif et pas d'avenir risquent de le leur dire avec plus de véhémence. Ce jour là CONSTITUTION ne les sauvera pas.
Nous exprimons notre gratitude aux citoyens qui sont venus nous rejoindre pour exprimer leur ras le bol en brandissant avec nous ces petits A4. Ce combat vous appartient à tous. Le combat de la dénonciation et du désaccord contre la direction que prend notre pays.
Désormais , nos hommes politiques doivent comprendre que nous ne nous tairons plus et qu'ils doivent cesser avec cette politique palabre pour parler des vrais soucis du quotidien des Comoriens: emploi , eau, électricité , routes , santé.
Bien à vous
Par Rilamha
Quatre heures de discours...
Bilan nada...
Quatre heures de discours, trois ténors de la vie politique comorienne ( Fahmi SAID IBRAHIM du P.E.C, Saïd LARIFOU de Ridja, Idi NADHOIM) qui expliquent les raisons de leurs ralliements à la candidature "naturelle" du meilleur d'entre eux (SAMBI) avec pour soutien à la tribune d'anciens ministres comme Ahmed DJAFFAR ou Djaffar EL MANSOIB et un auditoire poli qui ne ratait pas une occasion d’applaudir.
Quatre heures de discours mais pour ce qui est du bilan de celui qui veut se représenter devant nos suffrages il n'en aura pas été question.
Ce soir c'était Constitution, Constitutionnalité et Cour constitutionnelle.... Cette question est essentielle et devra être tranchée par la Cour Constitutionnelle pour trancher sur la validité de la candidature de l'ex Rais qui a annoncé ce jour sa candidature. Sur cette question Rilamha demande le respect de la Constitution. Le respect de sa lettre et de son esprit.((Nous ne voulons surtout pas d'un BURUNDI).
RILAMHA en une délégation d'une quinzaine de personnes a tenu à rappeler, pancartes à la main, tout le long du discours de l'ex président l'essentiel de la vie d'un pays. C'est à dire l'eau, l'électricité, l'éducation et la santé sans oublier le devoir de bilan des dix années SAMBI IKILILOU ( souvenez vous du "Relai qui rassure")
Comoriens! de Mouigni Baraka à Sambi en passant par Fahmi et Msaïdié nous essayons, sans parti pris, de rappeler à nos dirigeants leurs devoirs les plus élémentaires. Car les problèmes sont structurels ce n'est pas koffia blanc ou blanc koffia qui changeront ce pays si les structures du népotisme, de la corruption, du détournement d'argent public organisé demeure.
Avec la politesse due à notre culture nous le leur rappelons selon nos disponibilités.
S'ils n'y prennent pas garde, un jour d'autres qui ont faim et soif et pas d'avenir risquent de le leur dire avec plus de véhémence. Ce jour là CONSTITUTION ne les sauvera pas.
Nous exprimons notre gratitude aux citoyens qui sont venus nous rejoindre pour exprimer leur ras le bol en brandissant avec nous ces petits A4. Ce combat vous appartient à tous. Le combat de la dénonciation et du désaccord contre la direction que prend notre pays.
Désormais , nos hommes politiques doivent comprendre que nous ne nous tairons plus et qu'ils doivent cesser avec cette politique palabre pour parler des vrais soucis du quotidien des Comoriens: emploi , eau, électricité , routes , santé.
Bien à vous
Par Rilamha