LES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES DE 2016 : LE REFUS ET LE REJET DES CANDIDATURES DES IMPLACABLES Le laxisme de la population comorien ne doit ...
LES ÉLECTIONS PRÉSIDENTIELLES DE 2016 : LE REFUS ET LE REJET DES CANDIDATURES DES IMPLACABLES
Le laxisme de la population comorien ne doit pas être éternel, ceci oblige les trois grands partis politiques comoriens de revoir leurs objectifs électoraux pour 2016. Car, les trois grandes tendances politiques comoriennes ont déjà gouverné le pays de 2002 à 2016 et, nous avons su détecter les failles de leurs projets, les limites de leur politique déchue, l’incompétence, l’inexpérience et l’immense défaillance de la politique qu’ils ont incarné.
C’est à partir de ce constant, que nous leurs sollicitons très respectueusement de retirer avec beaucoup d’amabilité, de miséricorde, leurs candidatures pour les élections présidentielles de 2016. Camarade Monsieur le Colonel Assoumani Azali, vous avez fait un septennat au pouvoir, quel est le bilan de 7 ans de règne ? Si ce n’est que corruption, injustices, assassinats, détournement de fonds estimés à plus de quarante millions de dollars soit 17 520 000 000 KMF, favoritisme, abus de pouvoir, abus de confiance, abus de bien sociaux et abus d’influence et plusieurs montants de fric sale faramineux inestimables.
Ce dernier est accusé à forte probabilité d’avoir vendu plusieurs valeurs de notre patrimoine économique, tel que le fameux code indicatif d’appel téléphonique 269, les droits de trafics aériens de notre pays tout comme le pavillon maritime et l'exploitation de nos fonds marins en vue d'extraire en quantité illimitée sans contrôle la faune marine de nos eaux territoriales.
Monsieur le président n’est pas le seul affriolé par l’argent sale dans le rang de son gouvernement, il y a aussi son ministre des finances inculpé et écroué en 2004 pour des actes de favoritisme et un agrément supposé indu à une opération qui s'est révélée être une escroquerie en assurance attribuée à un opérateur comorien, plusieurs malversations financières estimées à plusieurs millions de francs comoriens. Monsieur le Colonel est impliqué encore dans beaucoup d’affaires de corruption non élucidées.
Sur la douane comorienne, on estime à plusieurs millions de KMF détournés tout au long de sa mandature présidentielle par son Directeurs de douane et ami très proche. C’est en quelques lignes, le bilan nocif, négatif économique du président Assoumani Azali en ma possession avant le coup. C’est vraiment hallucinent que certains compatriotes prêtent infiniment allégeance à un monstre en moitié chacal comme lui qui a mis à sac toutes les économies Nationales.
Camarade Monsieur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, vous avez passé un quinquennat et demi à Beit-Salam entant que chef d’état comorien. Pourriez-vous avec déférence nous octroyer sérieusement le bilan de votre règne ? Car, celui que nous citoyens comoriens disposons est amère et macabre. Il laisse apparaître une somme faramineuse de (deux milliard de dollars soit876 000 000 000 KMF) destinés à financer les travaux de plusieurs infrastructures comoriennes par la fondation fatimite de Dubaï en guise de don.
Dans la malheureuse affaire de l’argent des pavillons de la citoyenneté économique qui défie la chronique, les Institutions étatiques, la Banque Centrale des Comores(BCC) continuent à jouer un rôle primordial de premier plan depuis 2008, date à laquelle, les représentants de la Nation ont adopté fort malheureusement la loi controversée de la honte qui permet de délivrer des documents relatifs à la nationalité comorienne à des Bédouins moyennant commission d’un important joli magot estimée à plus de 200 millions de dollars pour une période de 5 ans, soit un montant de 87 600 000 000KMF. Cette affaire continue toujours à faire des heureux au détriment d’une Nation comorienne agenouillée par une crise économique, sociale, politique, éducative et sanitaire.
Sambi vit de 2 millions de francs comoriens de frais de bouche par jour soit: 60 millions de francs comoriens par mois fois 66 mois soit 3 960 millions de KMF. Plus un salaire de 11 millions par mois soient 726 millions KMF durant son mandant. 135 millions KMF de fonds spéciaux par an soient 8 910 millions durant cinq années de sa mandature.
En effet, les autorités comoriennes, en l’occurrence, les ministres des finances qui se sont succédés depuis 2008 à 2013 et qui ont géré honteusement ce magot, donnent chacun sa version des faits et annonce des montants approximatifs en exhibant des documents officiels en provenance de nos institutions. Ce dossier donne des vertiges et des nausées par l’immensité des sommes et la liste exhaustive des personnalités gouvernementales inculpées sur ce dossier très sensible qui va certainement faire couler beaucoup d’ancre.
Ce dossier émerge plusieurs corrupteurs usuraires tels que le nom du président actuel, Monsieur Ikililou Dhoinine, premier ministre Sambiste au moment des faits, Monsieur l’ancien ambassadeur à Abu Dhabi, Zoubeir Ahmed Soufiane le cerveau de l’affaire avec Abdallah Mzembaba et Cheha Ali SÛRETÉ DU TERRITOIRE et Monsieur Abou Achraf, directeur général de la sûreté comorienne.
Ce dernier déclare : Je lance un appel pressant aux citoyens comoriens habitués à applaudir le chef de l'Etat qui ne rate pas une occasion sans parler de lutte contre la corruption de comprendre les discours du président Ikilillou Dhoinine, ne sont que de la poudre aux yeux. La citoyenneté économique rime avec les contrats pétroliers.
Il ne s’agit pas ici des faits hypothétiques, mais, avérés et appuyés par plusieurs preuves écrites, par les journaux nationaux et tous les médias comoriens. Le président actuel Monsieur Ikililou Dhoinine à bénéficié de plusieurs millions de dollars dans l’affaire du don de la société fatimite ainsi que dans l’affaire des pavillons de la citoyenneté.
On peut même dire qu’il fait parti des gros moteurs de tous les détournements des fonds publics des 10 années précédentes. L'histoire est têtue et finalement elle se répète aujourd'hui pour une deuxième fois et se répétera demain sûrement pour une troisième et après demain une énième fois. Mais, que voulez vous chers camarades, c'est l'histoire et personne ne pourra la gommer de notre existence.
Voilà de quelle façon, camarades militants on creuse le déficit de l'Etat ! Voilà pourquoi l'Etat n'a plus d'argent pour effectuer les services publics ! Voilà pourquoi on oblige les hôpitaux à ne pas dépasser un certain montant de dépenses même si cela se traduit par une absence criante de personnel, soignant ou pas ! Voilà pourquoi il n'y a pas d'argent non plus pour l'éducation nationale, mais pour payer aussi les enseignants qui conservent plus de quatre mois d’arriérés ! C’est pour cela que le développement spatial n’est toujours pas d’actualité, c’est pourquoi la pauvreté ne diminue pas et que les inégalités sociales se creusent laissant des milliers de compatriotes dans la précarité.
C’est avec beaucoup de certitude que je vous annonce une fin très difficile pour Monsieur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Monsieur Ikililou Dhoinine et Monsieur le Colonel Assoumani AZali ainsi que leurs équipes car le bilan de leurs mandatures est triste à penser pour une Nation qui vive au jour le jour. Le 26/05/2006, un rédacteur en chef du journal alwatwane à écrit : Avec plus de 31 mois d'arriérés de salaires alors qu'un rapport publié dans Alwatwan avec l'aval du FMI, montre que les recettes de l'Etat sont supérieures aux besoins du peuple, ce qui laisse entendre que ces arriérés de salaire relèvent d'un '' détournement de fonds publics'' qui ne dit pas son nom.
Nous arrivons au terme du mandat de Monsieur Ikililou Dhoinine, un des dirigeants fossoyeurs mafieux qui ont saccagé la finance comorienne. Le bilan de nos trois mousquetaires est plus que chaotique et calamiteux. Ceci nous amène au sujet qui nous intéresse le plus sur cet article.
Voilà, il y a une semaine que les candidatures pour les élections présidentielles de 2016 commencent sérieusement à s’affluer et beaucoup de noms se dégagent. À ce jour, nous distinguons plus de neuf candidats et la liste n’est pas fini, mais, il y a trois candidatures qui posent déjà problème, si vraiment le peuple comorien est conscient des sévices économiques infligés depuis 2002 et 2015 par les gouvernements Azali, Sambi et Ikililou, c’est bien arrivé le moment qu’il faut procéder. Mais, d’après les médias comoriens la candidature de Monsieur Sambi, celle du Colonel sont déjà déclarées, l’un a fait la déclaration au cœur de l’impérialisme liberticide à Paris, l’autre à Foumbouni dans la régions de Mbadjini sud. Le gouvernement actuel n’a pas encore décidé, mais, ce qui est sûr, ce qu’il aura sans perplexité un candidat.
On entend ici et là les partisans de chaque tendance et leur leader organisaient des pré-meetings un peu partout dans le pays et en France sans se rappeler des problèmes économiques que leurs mouvements nous ont provoqués lorsqu’ils étaient au pouvoir.
Je suis persuadé qu’il est de notre intérêt à tous, de rejeter les candidatures de ces trois mouvances dont leurs leaders ont été accusés de malversations, de corruption et de détournements de fonds publics.
Une telle décision est primordiale pour l’avenir de cette nation, car, elle sera certainement dissuasive pour les nouveaux politiques qui leurs succéderont. Mais, si l’on ne commence pas dès maintenant à appliquer des sanctions sérieuses pour toute personne sur laquelle est inculpée une fois au pouvoir dans des malversations, on risque malheureusement de ne jamais sortir de la dépendance de la corruption et des détournements de fonds publics.
S’il vous plaît chers camarades, rangeons les esprits partisans dans la cave, la fraternité suspecte et les soutiens inconditionnels aux dirigeants qui ont monté leurs limites et s’unir ensemble au tour d’une table pour étudier le sort de notre avenir dans cette Nation détruite et privée de développement économique par nos dirigeants. Pour trouver ensuite, la sentence adéquate pour les commanditaires de ces actes de corruption et des sévices qui nous ont infligés pendant plus de dix sept ans aux pouvoir.
En outre la cour constitutionnelle à la grande responsabilité de statuer la recevabilité des ces candidatures. Donc, c’est à lui aujourd’hui de nous monter ce qu’il est capable de faire en matière de justice et de transparence. Son indépendance, son impartialité dans une telle situation compromettante le changement, le renouveau et l’innovation de cette Nation est plus que nécessaire. Le comportement responsable et digne de confiance de la justice comorienne doit s’opérer dans des situations identiques, car, lors des élections législatives, ce n’était du tout le cas. Plusieurs irrégularités et dysfonctionnements ont été distingués dans les domaines tels que la recevabilité des candidatures, les pièces justificatives sollicitées. Plusieurs candidatures que nous tous croyions irrecevables, ont été octroyées par la cour constitutionnel, la CENI, or, on savait très bien que certaines ont été incriminées. Plusieurs bulletins numéros trois ont été invalides, parce qu’ils n’étaient pas vierges mais barrés, simplement parce que le propriétaire est condamné par des faits criminels. Responsables de la CENI, de la cour constitutionnelle étatique, nous ne voulons pas de cela pendant les élections présidentielles, si non vous déclarez avec ces pourritures la picrocholine avec le peuple comorien qui est le roi d’une Nation souveraine et au dessus des lois en vigueur.
Nous renonçons la réélection des dirigeants qui mettent en permanence les lois électoraux sous son autorité ainsi que le suffrage universel et qui imposent des directives politiques contraignantes au peuple.
Nous voulons enfin se débarrasser de ces gouvernements qui dirigent la Nation par le doigt et le bâton. Nous ne voulons pas des autorités politiques dictatoriales encombrantes, qui se situent au dessus de la loi et qui interdisent le convenable pour ordonner le condamnable. Nous en avons marre des dirigeants qui s’enrichissent par les frics de l’état au détriment d’un peuple assailli par 40 ans de décadence.
Nous voulons nous déguerpir à jamais avec des autorités politiques ingrates qui s’enlisent et stagnent sa population. Nous voulons enfin des dirigeants qui pensent un peu à nous population, qui s’en occupent de l’avenir de nos enfants, de la santé publique, du développement spatial, qui s’engagent à réformer les institutions, les instances publiques dupées par un personnel non qualifiant, inexpérimenté, d’un hôpital El-marouf vétuste, délabré, insalubre et qui se mettront au service de l’innovation de toutes les infrastructures en fin de vie qui datent de la période coloniale. Nous voulons tout de même d’un gouvernement qui se battra pour l’émancipation de notre Île de Mayotte arrachée par l’impérialisme féodal et liberticide. Nous n’accepterons qu’un gouvernement qui combattra contre dépendance des aides financiers et alimentaires octroyées par les organismes mondiales (ONU, FMI, OMC, CE, OMS) et d’autres sur cette liste des internationalistes.
C’est par cet article, que sollicite très respectueusement à mes camarades militants de rester très vigilent, de ne pas se rallier à un parti, avant-en-être convaincu qu’il s’agit du bon wagon. N’oubliez pas s’il vous plait les années obscures, les années de tourmentes et de supplices que nous avons vécus auprès sous le règne de ces dirigeants liberticides qui se sont enrichis par le fric issu de notre sueur frontale.
Par Mohamed Abdou Salami
Le laxisme de la population comorien ne doit pas être éternel, ceci oblige les trois grands partis politiques comoriens de revoir leurs objectifs électoraux pour 2016. Car, les trois grandes tendances politiques comoriennes ont déjà gouverné le pays de 2002 à 2016 et, nous avons su détecter les failles de leurs projets, les limites de leur politique déchue, l’incompétence, l’inexpérience et l’immense défaillance de la politique qu’ils ont incarné.
C’est à partir de ce constant, que nous leurs sollicitons très respectueusement de retirer avec beaucoup d’amabilité, de miséricorde, leurs candidatures pour les élections présidentielles de 2016. Camarade Monsieur le Colonel Assoumani Azali, vous avez fait un septennat au pouvoir, quel est le bilan de 7 ans de règne ? Si ce n’est que corruption, injustices, assassinats, détournement de fonds estimés à plus de quarante millions de dollars soit 17 520 000 000 KMF, favoritisme, abus de pouvoir, abus de confiance, abus de bien sociaux et abus d’influence et plusieurs montants de fric sale faramineux inestimables.
Ce dernier est accusé à forte probabilité d’avoir vendu plusieurs valeurs de notre patrimoine économique, tel que le fameux code indicatif d’appel téléphonique 269, les droits de trafics aériens de notre pays tout comme le pavillon maritime et l'exploitation de nos fonds marins en vue d'extraire en quantité illimitée sans contrôle la faune marine de nos eaux territoriales.
Monsieur le président n’est pas le seul affriolé par l’argent sale dans le rang de son gouvernement, il y a aussi son ministre des finances inculpé et écroué en 2004 pour des actes de favoritisme et un agrément supposé indu à une opération qui s'est révélée être une escroquerie en assurance attribuée à un opérateur comorien, plusieurs malversations financières estimées à plusieurs millions de francs comoriens. Monsieur le Colonel est impliqué encore dans beaucoup d’affaires de corruption non élucidées.
Sur la douane comorienne, on estime à plusieurs millions de KMF détournés tout au long de sa mandature présidentielle par son Directeurs de douane et ami très proche. C’est en quelques lignes, le bilan nocif, négatif économique du président Assoumani Azali en ma possession avant le coup. C’est vraiment hallucinent que certains compatriotes prêtent infiniment allégeance à un monstre en moitié chacal comme lui qui a mis à sac toutes les économies Nationales.
Camarade Monsieur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, vous avez passé un quinquennat et demi à Beit-Salam entant que chef d’état comorien. Pourriez-vous avec déférence nous octroyer sérieusement le bilan de votre règne ? Car, celui que nous citoyens comoriens disposons est amère et macabre. Il laisse apparaître une somme faramineuse de (deux milliard de dollars soit876 000 000 000 KMF) destinés à financer les travaux de plusieurs infrastructures comoriennes par la fondation fatimite de Dubaï en guise de don.
Dans la malheureuse affaire de l’argent des pavillons de la citoyenneté économique qui défie la chronique, les Institutions étatiques, la Banque Centrale des Comores(BCC) continuent à jouer un rôle primordial de premier plan depuis 2008, date à laquelle, les représentants de la Nation ont adopté fort malheureusement la loi controversée de la honte qui permet de délivrer des documents relatifs à la nationalité comorienne à des Bédouins moyennant commission d’un important joli magot estimée à plus de 200 millions de dollars pour une période de 5 ans, soit un montant de 87 600 000 000KMF. Cette affaire continue toujours à faire des heureux au détriment d’une Nation comorienne agenouillée par une crise économique, sociale, politique, éducative et sanitaire.
Sambi vit de 2 millions de francs comoriens de frais de bouche par jour soit: 60 millions de francs comoriens par mois fois 66 mois soit 3 960 millions de KMF. Plus un salaire de 11 millions par mois soient 726 millions KMF durant son mandant. 135 millions KMF de fonds spéciaux par an soient 8 910 millions durant cinq années de sa mandature.
En effet, les autorités comoriennes, en l’occurrence, les ministres des finances qui se sont succédés depuis 2008 à 2013 et qui ont géré honteusement ce magot, donnent chacun sa version des faits et annonce des montants approximatifs en exhibant des documents officiels en provenance de nos institutions. Ce dossier donne des vertiges et des nausées par l’immensité des sommes et la liste exhaustive des personnalités gouvernementales inculpées sur ce dossier très sensible qui va certainement faire couler beaucoup d’ancre.
Ce dossier émerge plusieurs corrupteurs usuraires tels que le nom du président actuel, Monsieur Ikililou Dhoinine, premier ministre Sambiste au moment des faits, Monsieur l’ancien ambassadeur à Abu Dhabi, Zoubeir Ahmed Soufiane le cerveau de l’affaire avec Abdallah Mzembaba et Cheha Ali SÛRETÉ DU TERRITOIRE et Monsieur Abou Achraf, directeur général de la sûreté comorienne.
Ce dernier déclare : Je lance un appel pressant aux citoyens comoriens habitués à applaudir le chef de l'Etat qui ne rate pas une occasion sans parler de lutte contre la corruption de comprendre les discours du président Ikilillou Dhoinine, ne sont que de la poudre aux yeux. La citoyenneté économique rime avec les contrats pétroliers.
Il ne s’agit pas ici des faits hypothétiques, mais, avérés et appuyés par plusieurs preuves écrites, par les journaux nationaux et tous les médias comoriens. Le président actuel Monsieur Ikililou Dhoinine à bénéficié de plusieurs millions de dollars dans l’affaire du don de la société fatimite ainsi que dans l’affaire des pavillons de la citoyenneté.
On peut même dire qu’il fait parti des gros moteurs de tous les détournements des fonds publics des 10 années précédentes. L'histoire est têtue et finalement elle se répète aujourd'hui pour une deuxième fois et se répétera demain sûrement pour une troisième et après demain une énième fois. Mais, que voulez vous chers camarades, c'est l'histoire et personne ne pourra la gommer de notre existence.
Voilà de quelle façon, camarades militants on creuse le déficit de l'Etat ! Voilà pourquoi l'Etat n'a plus d'argent pour effectuer les services publics ! Voilà pourquoi on oblige les hôpitaux à ne pas dépasser un certain montant de dépenses même si cela se traduit par une absence criante de personnel, soignant ou pas ! Voilà pourquoi il n'y a pas d'argent non plus pour l'éducation nationale, mais pour payer aussi les enseignants qui conservent plus de quatre mois d’arriérés ! C’est pour cela que le développement spatial n’est toujours pas d’actualité, c’est pourquoi la pauvreté ne diminue pas et que les inégalités sociales se creusent laissant des milliers de compatriotes dans la précarité.
C’est avec beaucoup de certitude que je vous annonce une fin très difficile pour Monsieur Ahmed Abdallah Mohamed Sambi, Monsieur Ikililou Dhoinine et Monsieur le Colonel Assoumani AZali ainsi que leurs équipes car le bilan de leurs mandatures est triste à penser pour une Nation qui vive au jour le jour. Le 26/05/2006, un rédacteur en chef du journal alwatwane à écrit : Avec plus de 31 mois d'arriérés de salaires alors qu'un rapport publié dans Alwatwan avec l'aval du FMI, montre que les recettes de l'Etat sont supérieures aux besoins du peuple, ce qui laisse entendre que ces arriérés de salaire relèvent d'un '' détournement de fonds publics'' qui ne dit pas son nom.
Nous arrivons au terme du mandat de Monsieur Ikililou Dhoinine, un des dirigeants fossoyeurs mafieux qui ont saccagé la finance comorienne. Le bilan de nos trois mousquetaires est plus que chaotique et calamiteux. Ceci nous amène au sujet qui nous intéresse le plus sur cet article.
Voilà, il y a une semaine que les candidatures pour les élections présidentielles de 2016 commencent sérieusement à s’affluer et beaucoup de noms se dégagent. À ce jour, nous distinguons plus de neuf candidats et la liste n’est pas fini, mais, il y a trois candidatures qui posent déjà problème, si vraiment le peuple comorien est conscient des sévices économiques infligés depuis 2002 et 2015 par les gouvernements Azali, Sambi et Ikililou, c’est bien arrivé le moment qu’il faut procéder. Mais, d’après les médias comoriens la candidature de Monsieur Sambi, celle du Colonel sont déjà déclarées, l’un a fait la déclaration au cœur de l’impérialisme liberticide à Paris, l’autre à Foumbouni dans la régions de Mbadjini sud. Le gouvernement actuel n’a pas encore décidé, mais, ce qui est sûr, ce qu’il aura sans perplexité un candidat.
On entend ici et là les partisans de chaque tendance et leur leader organisaient des pré-meetings un peu partout dans le pays et en France sans se rappeler des problèmes économiques que leurs mouvements nous ont provoqués lorsqu’ils étaient au pouvoir.
Je suis persuadé qu’il est de notre intérêt à tous, de rejeter les candidatures de ces trois mouvances dont leurs leaders ont été accusés de malversations, de corruption et de détournements de fonds publics.
Une telle décision est primordiale pour l’avenir de cette nation, car, elle sera certainement dissuasive pour les nouveaux politiques qui leurs succéderont. Mais, si l’on ne commence pas dès maintenant à appliquer des sanctions sérieuses pour toute personne sur laquelle est inculpée une fois au pouvoir dans des malversations, on risque malheureusement de ne jamais sortir de la dépendance de la corruption et des détournements de fonds publics.
S’il vous plaît chers camarades, rangeons les esprits partisans dans la cave, la fraternité suspecte et les soutiens inconditionnels aux dirigeants qui ont monté leurs limites et s’unir ensemble au tour d’une table pour étudier le sort de notre avenir dans cette Nation détruite et privée de développement économique par nos dirigeants. Pour trouver ensuite, la sentence adéquate pour les commanditaires de ces actes de corruption et des sévices qui nous ont infligés pendant plus de dix sept ans aux pouvoir.
En outre la cour constitutionnelle à la grande responsabilité de statuer la recevabilité des ces candidatures. Donc, c’est à lui aujourd’hui de nous monter ce qu’il est capable de faire en matière de justice et de transparence. Son indépendance, son impartialité dans une telle situation compromettante le changement, le renouveau et l’innovation de cette Nation est plus que nécessaire. Le comportement responsable et digne de confiance de la justice comorienne doit s’opérer dans des situations identiques, car, lors des élections législatives, ce n’était du tout le cas. Plusieurs irrégularités et dysfonctionnements ont été distingués dans les domaines tels que la recevabilité des candidatures, les pièces justificatives sollicitées. Plusieurs candidatures que nous tous croyions irrecevables, ont été octroyées par la cour constitutionnel, la CENI, or, on savait très bien que certaines ont été incriminées. Plusieurs bulletins numéros trois ont été invalides, parce qu’ils n’étaient pas vierges mais barrés, simplement parce que le propriétaire est condamné par des faits criminels. Responsables de la CENI, de la cour constitutionnelle étatique, nous ne voulons pas de cela pendant les élections présidentielles, si non vous déclarez avec ces pourritures la picrocholine avec le peuple comorien qui est le roi d’une Nation souveraine et au dessus des lois en vigueur.
Nous renonçons la réélection des dirigeants qui mettent en permanence les lois électoraux sous son autorité ainsi que le suffrage universel et qui imposent des directives politiques contraignantes au peuple.
Nous voulons enfin se débarrasser de ces gouvernements qui dirigent la Nation par le doigt et le bâton. Nous ne voulons pas des autorités politiques dictatoriales encombrantes, qui se situent au dessus de la loi et qui interdisent le convenable pour ordonner le condamnable. Nous en avons marre des dirigeants qui s’enrichissent par les frics de l’état au détriment d’un peuple assailli par 40 ans de décadence.
Nous voulons nous déguerpir à jamais avec des autorités politiques ingrates qui s’enlisent et stagnent sa population. Nous voulons enfin des dirigeants qui pensent un peu à nous population, qui s’en occupent de l’avenir de nos enfants, de la santé publique, du développement spatial, qui s’engagent à réformer les institutions, les instances publiques dupées par un personnel non qualifiant, inexpérimenté, d’un hôpital El-marouf vétuste, délabré, insalubre et qui se mettront au service de l’innovation de toutes les infrastructures en fin de vie qui datent de la période coloniale. Nous voulons tout de même d’un gouvernement qui se battra pour l’émancipation de notre Île de Mayotte arrachée par l’impérialisme féodal et liberticide. Nous n’accepterons qu’un gouvernement qui combattra contre dépendance des aides financiers et alimentaires octroyées par les organismes mondiales (ONU, FMI, OMC, CE, OMS) et d’autres sur cette liste des internationalistes.
C’est par cet article, que sollicite très respectueusement à mes camarades militants de rester très vigilent, de ne pas se rallier à un parti, avant-en-être convaincu qu’il s’agit du bon wagon. N’oubliez pas s’il vous plait les années obscures, les années de tourmentes et de supplices que nous avons vécus auprès sous le règne de ces dirigeants liberticides qui se sont enrichis par le fric issu de notre sueur frontale.
Par Mohamed Abdou Salami