Les forces françaises présentes en Centrafrique sont accusées de viols selon un rapport de l’ONU. Un responsable des Nations unies a été sus...
Les forces françaises présentes en Centrafrique sont accusées de viols selon un rapport de l’ONU. Un responsable des Nations unies a été suspendu pour avoir transmis le rapport aux autorités françaises, révèle le Guardian.
Des accusations de "viols" et de "sodomie"
Plusieurs militaires sont visés, accusés d’avoir commis des exactions sur des enfants, parfois orphelins, dont certains étaient âgés de neuf ans. Le Guardian évoque « des viols » et « des sodomies » sur ces jeunes enfants placés sous la protection des soldats, déployés dans le cadre de l’opération de maintien de la paix « Minusca ».
Exploités contre de la nourriture et de l'argent
Le rapport révèle que des enfants, interrogés par l’ONU et l’Unicef, ont rapporté des viols commis entre décembre et juin 2014, près de l’aéroport. Certains mineurs auraient été "exploités", contre le "la nourriture" et de "l‘argent". Les enfants ont pu donner "de bonnes descriptions des soldats", explique le Guardian.
Une enquête ouverte
Un responsable de l’ONU, le Suèdois Anders Kompass, a été suspendu pour avoir transmis ce rapport interne aux autorités françaises. Il aurait décidé d’alerter les autorités en raison de « l’incapacité des Nations unies à faire cesser ces abus » indique le Guardian.
La parquet de Paris a ouvert en juillet 2014 une enquête préliminaire sur des abus sexuels imputés à des militaires français, indique le ministère de la Justice.
"Les sanctions les plus fermes" si les faits sont avérés
L'armée française "a pris et prendra toutes les mesures nécessaires pour la manifestation de la vérité" sur les abus sexuels présumés de soldats français en Centrafrique dénoncés par les Nations unies, a déclaré mercredi le ministère de la Défense. "Le ministre de la Défense a pris et prendra toutes les mesures nécessaires pour permettre la manifestation de la vérité. Si les faits étaient avérés, il veillera à ce que les sanctions les plus fermes soient prononcées à l'égard des responsables de ce qui serait une atteinte intolérable aux valeurs du soldat", précise le ministère de la Défense dans un communiqué.
Par M6 Info | M6info
Scandale dans l’armée française. Selon le Guardian,
un rapport confidentiel de l’ONU révèle que les forces françaises
auraient violé des jeunes garçons « affamés » et « sans abri » dans un
centre de réfugiés, situé dans la capitale centrafricaine, Bangui, qui
abrite des déplacés ayant fui les zones de conflit dans le pays.
Plusieurs militaires sont visés, accusés d’avoir commis des exactions sur des enfants, parfois orphelins, dont certains étaient âgés de neuf ans. Le Guardian évoque « des viols » et « des sodomies » sur ces jeunes enfants placés sous la protection des soldats, déployés dans le cadre de l’opération de maintien de la paix « Minusca ».
Exploités contre de la nourriture et de l'argent
Le rapport révèle que des enfants, interrogés par l’ONU et l’Unicef, ont rapporté des viols commis entre décembre et juin 2014, près de l’aéroport. Certains mineurs auraient été "exploités", contre le "la nourriture" et de "l‘argent". Les enfants ont pu donner "de bonnes descriptions des soldats", explique le Guardian.
Une enquête ouverte
Un responsable de l’ONU, le Suèdois Anders Kompass, a été suspendu pour avoir transmis ce rapport interne aux autorités françaises. Il aurait décidé d’alerter les autorités en raison de « l’incapacité des Nations unies à faire cesser ces abus » indique le Guardian.
La parquet de Paris a ouvert en juillet 2014 une enquête préliminaire sur des abus sexuels imputés à des militaires français, indique le ministère de la Justice.
"Les sanctions les plus fermes" si les faits sont avérés
L'armée française "a pris et prendra toutes les mesures nécessaires pour la manifestation de la vérité" sur les abus sexuels présumés de soldats français en Centrafrique dénoncés par les Nations unies, a déclaré mercredi le ministère de la Défense. "Le ministre de la Défense a pris et prendra toutes les mesures nécessaires pour permettre la manifestation de la vérité. Si les faits étaient avérés, il veillera à ce que les sanctions les plus fermes soient prononcées à l'égard des responsables de ce qui serait une atteinte intolérable aux valeurs du soldat", précise le ministère de la Défense dans un communiqué.
Par M6 Info | M6info