Nul doute, le mouvement de Said Mchangama qui réclame, « l'eau et l'électricité » pour l'intérêt des comoriens et comorienn...
Nul doute, le mouvement de Said Mchangama qui réclame, « l'eau et l'électricité » pour l'intérêt des comoriens et comoriennes, peut voler en éclat, si des partis politiques devaient participer entant que partis politiques. Pour que la lampe à huile de coco ne s'éteigne pas au cœur des ténèbres, cette opposition moribonde doit être écartée.
Vous leaders des partis de l'opposition "sans proposition", ne venez pas perturber la démarche responsable de Said Abdallah Mchangama et son équipe qui réclament l' « EAU » et l''« ÉLECTRICITÉ » pour le peuple. Votre ingérence sera le poison mortel de cette réclamation vitale. Ce mouvement a décidé sans vous (opposition) que « le mercredi 29 octobre sera une journée d'une première action. les habitants des villages démontreront leur indignation et leur refus d'être les victimes de l'incompétence et de la gabegie de la Mamwe et de l' indifférence du gouvernement en s'asseyant au milieu des routes ». C'est une démarche sérieuse jusqu'ici conduite par des hommes et des femmes sérieuses, loin des tâtonnements d'une opposition moribonde.
Si le président Ikililou Dhoinine devait écouter une voix pour satisfaire les préoccupations du peuple, ça serait sans doute la voix de Said Abdallah Mchangama. Lui, dans son quotidien réclame avec brio les préoccupations des citoyens. Rien que ça . Si les chefs et représentants des localités, les conseillers des îles de toutes les couleurs, les représentants des associations de jeunes et des associations socioprofessionnelles, ont répondu à l'appel et apportent leur soutien à ce mouvement conduit par Said Abdallah Mchangama et son équipe de la société civile, c'est tout simplement parce que cet homme partage avec eux les mêmes soucis des questions sociales : étant le premier président de l'association des maires, président de l'association des consommateurs et président de l'association de lutte contre le cancer. Oui, c'est un homme de terrain qui cible toujours les vrais soucis des questions sociales. Loin, très loin de la politique politicienne des partis et Leaders politiques sans boussole. Aujourd'hui le mouvement de ce président de l'association des consommateurs, réclame la fourniture quotidienne de courant électrique, quand les « Nota-Dino-Sa » réclament la tête de Boléro et que d'autres réclament « un gouvernement d'union nationale», comme si la légitimité du président est remise en cause. Ce mouvement conduit par Mchangama réclame l'eau pour les citoyens, quand d'autres réclament « un Conseil législatif de transition » pour pouvoir entrer à l'Assemblée nationale sans la moindre élection, comme si cela était vraiment l'urgence pour les Comoriens qui vivent dans l'obscurité sans eau dans la capitale Moroni.
Être dirigeant c'est un art, qui suppose en premier lieu l'esprit créatif et le désir d'aider son peuple à développer son talent, sa potentialité et son originalité. Reconnaissons-le. Un président des consommateurs, de Mohoro soit-il, connaît mille fois plus les consommateurs et leurs besoins, que ce diplomate qui nous représente malgré nous aux nations unis, ou encore ce bureaucrate ne connaissant pas ce qui se passe en dehors de son palais.
Alors oui, c'est une question de société et d'organisation psychosociale. Je pense sérieusement que le Président Ikililou Dhoinine devait comprendre que ce mouvement de Said Abdallah Mchangama est loin d'être le tapage médiatique sans incident d'un Ahmed Abdllah Sambi qui appelle quotidiennement aux cameras « ntso wu ni filimé camera ! ». Non. C'est du sérieux Monsieur le Président. C'est un travail laborieux sur le terrain mené par des hommes et des femmes de terrain ; loin d'un mouvement habituel d'un leader politique en manque d'imagination.
Personnellement, j'appelle le président de la république à prendre au sérieux ce mouvement de la société civile conduit par Said Abdallah Mchangama. J'appelle le président Ikililou Dhoinine à s'asseoir autant que possible avec les dirigeants de ce mouvement pour trouver une solution rapide et efficace.
A témoin le peuple.
Mrimdu
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Vous leaders des partis de l'opposition "sans proposition", ne venez pas perturber la démarche responsable de Said Abdallah Mchangama et son équipe qui réclament l' « EAU » et l''« ÉLECTRICITÉ » pour le peuple. Votre ingérence sera le poison mortel de cette réclamation vitale. Ce mouvement a décidé sans vous (opposition) que « le mercredi 29 octobre sera une journée d'une première action. les habitants des villages démontreront leur indignation et leur refus d'être les victimes de l'incompétence et de la gabegie de la Mamwe et de l' indifférence du gouvernement en s'asseyant au milieu des routes ». C'est une démarche sérieuse jusqu'ici conduite par des hommes et des femmes sérieuses, loin des tâtonnements d'une opposition moribonde.
Si le président Ikililou Dhoinine devait écouter une voix pour satisfaire les préoccupations du peuple, ça serait sans doute la voix de Said Abdallah Mchangama. Lui, dans son quotidien réclame avec brio les préoccupations des citoyens. Rien que ça . Si les chefs et représentants des localités, les conseillers des îles de toutes les couleurs, les représentants des associations de jeunes et des associations socioprofessionnelles, ont répondu à l'appel et apportent leur soutien à ce mouvement conduit par Said Abdallah Mchangama et son équipe de la société civile, c'est tout simplement parce que cet homme partage avec eux les mêmes soucis des questions sociales : étant le premier président de l'association des maires, président de l'association des consommateurs et président de l'association de lutte contre le cancer. Oui, c'est un homme de terrain qui cible toujours les vrais soucis des questions sociales. Loin, très loin de la politique politicienne des partis et Leaders politiques sans boussole. Aujourd'hui le mouvement de ce président de l'association des consommateurs, réclame la fourniture quotidienne de courant électrique, quand les « Nota-Dino-Sa » réclament la tête de Boléro et que d'autres réclament « un gouvernement d'union nationale», comme si la légitimité du président est remise en cause. Ce mouvement conduit par Mchangama réclame l'eau pour les citoyens, quand d'autres réclament « un Conseil législatif de transition » pour pouvoir entrer à l'Assemblée nationale sans la moindre élection, comme si cela était vraiment l'urgence pour les Comoriens qui vivent dans l'obscurité sans eau dans la capitale Moroni.
Être dirigeant c'est un art, qui suppose en premier lieu l'esprit créatif et le désir d'aider son peuple à développer son talent, sa potentialité et son originalité. Reconnaissons-le. Un président des consommateurs, de Mohoro soit-il, connaît mille fois plus les consommateurs et leurs besoins, que ce diplomate qui nous représente malgré nous aux nations unis, ou encore ce bureaucrate ne connaissant pas ce qui se passe en dehors de son palais.
Alors oui, c'est une question de société et d'organisation psychosociale. Je pense sérieusement que le Président Ikililou Dhoinine devait comprendre que ce mouvement de Said Abdallah Mchangama est loin d'être le tapage médiatique sans incident d'un Ahmed Abdllah Sambi qui appelle quotidiennement aux cameras « ntso wu ni filimé camera ! ». Non. C'est du sérieux Monsieur le Président. C'est un travail laborieux sur le terrain mené par des hommes et des femmes de terrain ; loin d'un mouvement habituel d'un leader politique en manque d'imagination.
Personnellement, j'appelle le président de la république à prendre au sérieux ce mouvement de la société civile conduit par Said Abdallah Mchangama. J'appelle le président Ikililou Dhoinine à s'asseoir autant que possible avec les dirigeants de ce mouvement pour trouver une solution rapide et efficace.
A témoin le peuple.
Mrimdu
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