L’Idi Amin Dada de la Grande-Comore et des Comores s’est désormais spécialisé en boxe Aux Comores, la transformation du Gouverneur Mouigni ...
L’Idi Amin Dada de la Grande-Comore et des Comores s’est désormais spécialisé en boxe
Aux Comores, la transformation du Gouverneur Mouigni Baraka et de ses mauvais garçons en pugilistes et bagarreurs de banlieues parisiennes fait grand bruit. Ce Député qui ne porte pas le chef de l’exécutif de la Grande-Comore sur son cœur ne décolère pas depuis qu’il a lu notre article sur la bagarre d’Aubervilliers: «Cette fois, nous touchons vraiment le fond. Avant de quitter le pouvoir par la force où il l’a installé de manière incontestablement démocratique, le peuple maudit aujourd’hui Ahmed Abdallah Mohamed Sambi qui a usé de procédés frauduleux et de l’argent de l’État pour nous imposer Mouigni Baraka dit “Mouigni Machaka”, “Mouigni Problèmes”, “Mouigni le Problématique”. Il a volé l’argent des Douanes comoriennes, quand il y sévissait. Il vole tout l’argent du Gouvernorat de la Grande-Comore et finance ses voyages fantaisistes et ses lubies dépensières en France avec l’argent de l’État, et aujourd’hui, il fait passer à tabac nos frères et sœurs en France. Cette honte ne doit pas rester impunie. “Mouigni Machaka”doit payer pour ce crime honteux car il vient de discréditer non seulement sa fonction, mais les Comores dans leur ensemble.
Les autorités françaises doivent être déjà au courant de cette crapulerie et doivent se moquer des “Comoriens sauvages ”. J’ai honte à sa place». En tout état de cause, Irchad Abdallah, «le Pape de Facebook», et ses compagnons «papetiers» d’Aubervilliers ont décidé de faire en sorte que le scandale ne soit pas enterré. En jeunes gens très méticuleux, qui épousent parfaitement leur temps, ils ont filmé avec une maniaquerie sadique toute la scène de la honte. Et qu’ont-ils fait après? Ils se sont rués dans les Commissariats de Police de Paris et Région parisienne, où ils ont déposé des plaintes en bonne et due forme pour coups et blessures. Donc, le Gouverneur Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» n’échappera pas à la mention infâmante de son nom dans les documents de Commissariats de Police de Paris et de la Région parisienne parce qu’il a été l’élément déclencheur du passage à tabac de libres citoyens comoriens, celui par qui est arrivé le scandale de trop, celui qui aurait pu clamer ses groupies et qui n’a strictement rien fait.
Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» a commis une grande erreur, qui a été relevée par tout le monde, celui consistant à ne pas arrêter ses cogneurs et à ne pas présenter des excuses tout de suite après le pugilat. Il a agi comme un petit chef de gang de quartier, et ses troupes ont lancé des injures et des menaces en l’air. Or, les «papetiers» d’Aubervilliers, qui ont déjà déposé des plaintes, ont des dossiers solides, parce qu’ils ont subi des coups et blessures, parce qu’ils ont à leur disposition des vidéos et des photos, et parce que sur ces preuves, on voit tout et on reconnaît tout le monde. Dès lors, il faudra que Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» comprenne que les contestataires qu’il a fait battre ont fait des dossiers médicaux, ont sollicité et obtenu des arrêts de travail pour dommages corporels et pour traumatisme psychologique et moral.
Ces choses se sont quand même déroulées en France, un État de Droit, où un Gouverneur bouffi ne fait pas tabasser les gens uniquement pour assouvir une petite haine personnelle, pour évacuer une petite colère personnelle, pour vider une petite querelle personnelle, pour faire savoir qu’il détient une sorte d’autorité dans une lointaine île tropicale, où on a droit de vie et de mort sur les gens. Aujourd’hui, point par point, Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» ressemble de plus en plus à Mohamed Ali Saïd, Gouverneur sauvage de Mohéli, dont la voiture peut écraser un enfant sans qu’il ne présente des condoléances et des excuses à la famille qui perd un enfant, un «dictateur africain peu fréquentable» qui peut cracher sur n’importe et qui refuse de se rendre à la digue détruite par les vagues à Djoiezi, alors que c’est son «entreprise» qui avait construit la petite chose. Aujourd’hui, une chose est certaine: les îles de Mohéli et de la Grande-Comore sont entre les mains de deux barbares qui croient qu’ils peuvent régler les problèmes du pays à coups de poings. Dans le cas de Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka», il est dans la posture d’Idi Amin Dada, l’ancien dictateur ougandais qui avait un passé de boxeur professionnel et qui demandait à Julius K. Nyerere, alors Président de la Tanzanie et son ennemi personnel, qu’ils devaient régler leurs problèmes politiques et frontaliers à coups de poings sur un ring. Il reste à savoir si ce Mouigni Baraka-là dit «Mouigni Machaka» ne faisait pas partie de la troupe du Capitaine Haddock, à Moroni, troupe au sein de laquelle on retrouvait des boxeurs.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Mardi 16 septembre 2014.
Aux Comores, la transformation du Gouverneur Mouigni Baraka et de ses mauvais garçons en pugilistes et bagarreurs de banlieues parisiennes fait grand bruit. Ce Député qui ne porte pas le chef de l’exécutif de la Grande-Comore sur son cœur ne décolère pas depuis qu’il a lu notre article sur la bagarre d’Aubervilliers: «Cette fois, nous touchons vraiment le fond. Avant de quitter le pouvoir par la force où il l’a installé de manière incontestablement démocratique, le peuple maudit aujourd’hui Ahmed Abdallah Mohamed Sambi qui a usé de procédés frauduleux et de l’argent de l’État pour nous imposer Mouigni Baraka dit “Mouigni Machaka”, “Mouigni Problèmes”, “Mouigni le Problématique”. Il a volé l’argent des Douanes comoriennes, quand il y sévissait. Il vole tout l’argent du Gouvernorat de la Grande-Comore et finance ses voyages fantaisistes et ses lubies dépensières en France avec l’argent de l’État, et aujourd’hui, il fait passer à tabac nos frères et sœurs en France. Cette honte ne doit pas rester impunie. “Mouigni Machaka”doit payer pour ce crime honteux car il vient de discréditer non seulement sa fonction, mais les Comores dans leur ensemble.
Les autorités françaises doivent être déjà au courant de cette crapulerie et doivent se moquer des “Comoriens sauvages ”. J’ai honte à sa place». En tout état de cause, Irchad Abdallah, «le Pape de Facebook», et ses compagnons «papetiers» d’Aubervilliers ont décidé de faire en sorte que le scandale ne soit pas enterré. En jeunes gens très méticuleux, qui épousent parfaitement leur temps, ils ont filmé avec une maniaquerie sadique toute la scène de la honte. Et qu’ont-ils fait après? Ils se sont rués dans les Commissariats de Police de Paris et Région parisienne, où ils ont déposé des plaintes en bonne et due forme pour coups et blessures. Donc, le Gouverneur Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» n’échappera pas à la mention infâmante de son nom dans les documents de Commissariats de Police de Paris et de la Région parisienne parce qu’il a été l’élément déclencheur du passage à tabac de libres citoyens comoriens, celui par qui est arrivé le scandale de trop, celui qui aurait pu clamer ses groupies et qui n’a strictement rien fait.
Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» a commis une grande erreur, qui a été relevée par tout le monde, celui consistant à ne pas arrêter ses cogneurs et à ne pas présenter des excuses tout de suite après le pugilat. Il a agi comme un petit chef de gang de quartier, et ses troupes ont lancé des injures et des menaces en l’air. Or, les «papetiers» d’Aubervilliers, qui ont déjà déposé des plaintes, ont des dossiers solides, parce qu’ils ont subi des coups et blessures, parce qu’ils ont à leur disposition des vidéos et des photos, et parce que sur ces preuves, on voit tout et on reconnaît tout le monde. Dès lors, il faudra que Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» comprenne que les contestataires qu’il a fait battre ont fait des dossiers médicaux, ont sollicité et obtenu des arrêts de travail pour dommages corporels et pour traumatisme psychologique et moral.
Ces choses se sont quand même déroulées en France, un État de Droit, où un Gouverneur bouffi ne fait pas tabasser les gens uniquement pour assouvir une petite haine personnelle, pour évacuer une petite colère personnelle, pour vider une petite querelle personnelle, pour faire savoir qu’il détient une sorte d’autorité dans une lointaine île tropicale, où on a droit de vie et de mort sur les gens. Aujourd’hui, point par point, Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka» ressemble de plus en plus à Mohamed Ali Saïd, Gouverneur sauvage de Mohéli, dont la voiture peut écraser un enfant sans qu’il ne présente des condoléances et des excuses à la famille qui perd un enfant, un «dictateur africain peu fréquentable» qui peut cracher sur n’importe et qui refuse de se rendre à la digue détruite par les vagues à Djoiezi, alors que c’est son «entreprise» qui avait construit la petite chose. Aujourd’hui, une chose est certaine: les îles de Mohéli et de la Grande-Comore sont entre les mains de deux barbares qui croient qu’ils peuvent régler les problèmes du pays à coups de poings. Dans le cas de Mouigni Baraka dit «Mouigni Machaka», il est dans la posture d’Idi Amin Dada, l’ancien dictateur ougandais qui avait un passé de boxeur professionnel et qui demandait à Julius K. Nyerere, alors Président de la Tanzanie et son ennemi personnel, qu’ils devaient régler leurs problèmes politiques et frontaliers à coups de poings sur un ring. Il reste à savoir si ce Mouigni Baraka-là dit «Mouigni Machaka» ne faisait pas partie de la troupe du Capitaine Haddock, à Moroni, troupe au sein de laquelle on retrouvait des boxeurs.
Par ARM
© www.lemohelien.com – Mardi 16 septembre 2014.