Quel type de société voulons-nous au lendemain de cette révolte citoyenne ? Ensemble bâtissons notre avenir et redonnons de l'espoir ...
Quel type de société voulons-nous au lendemain de cette révolte citoyenne ? Ensemble bâtissons notre avenir et redonnons de l'espoir à nos enfants. Il est de notre devoir dés à présent de songer tous au modèle de société que nous voulons inventer loin des ignominies de cette poignée d'arrivistes qui nous gouvernent. Que faire, nous qui les élisons, et qui croyons à leurs discours, et une fois au sommet bouchent leurs oreilles et ce sont leurs propres intérêts qui les préoccupent ?
La solution relève de nous et la contribution de chacune et chacun dans la construction d'un nouveau Etat est la bien venue. Cet Etat que nous allons construire, n'est pas celui où les trois derniers présidents issus de la Constitution de 2001, qui a vu naître la présidence tournante dans les Îles de l'Union des Comores, nous ont construit. Leur Etat est celui de Ben Ali en Tunisie, Kadafi en Lybie, Moubarak en Egypte et pourquoi pas celui de Cessescu. Un Etat voyou, arrogant, corrupteur, voleur et indécent. C'est cet Etat que nous refusons aujourd'hui, et nous invitons ces trois présidents qui ont abusé de notre patience à méditer sur la colère des peuples opprimés dans ces différents pays que nous avons cités ici, et les sanctions peuvent être les mêmes. Ce n'est pas par vengeance car nous sommes un peuple pacifique, mais à un moment donné, on se dit trop c'est trop.
Ces trois présidents qui se sont succédés dans le processus de la tournante nous ont oubliés et ont fait du pouvoir leur chose. Ils nous ont tous trompés et les voir aujourd'hui descendre sur l'arène politique, solliciter pour une seconde fois le suffrage universel, cela relève de l'insulte et ne leur laissons pas le moindre espace pour nous exterminer après toutes les casseroles qu'ils trainent derrière eux. Oui, nous parlons d'Azali, Sambi et Ikililou car rien ne nous assure que demain, Ikililou n'imposera pas sa loi pour briguer un autre mandat. Nous devons rester vigilants pour dénoncer et refuser les manigances de leurs émissaires qui pensent à tort, qu'avec l'argent on peut acheter les consciences.
Cet Etat nouveau que nous sommes entrain d'inventer est celui qui refuse la fatalité, qui redonne de l'espoir aux pessimistes qui continuent à penser que ce qui est fait est fait. Non, les choses changent et nous sommes nombreux à aller dans le sens du changement car les avis des uns et des autres sur ces réseaux sociaux, sont d'une grande contribution dans l'élaboration d'un Etat impartial où tous les enfants de ce pays bénéficieront de ses richesses. Cet Etat que nous construisons aura pour mission jugé publiquement les ennemis de la République que nous avons cités ici, et c'est sans pitié.
Nous sommes victimes de cette culture du non dit que nos gouvernants depuis les temps nous ont imposés. Ils nous ont réduits en mendiants et nous attirent comme des mouches devant eux avec notre argent à nous tous, et pour survivre, on s'approche les larmes aux yeux, leur tendre la main, bouche cousue. Aujourd'hui, les enfants de ce pays se sont réveillés et personne n'arrêtera la machine déjà en marche pour la mise en œuvre d'un Etat digne et respectueux aux yeux du peuple et de nos partenaires.
L'Etat que nous voulons supprimera sans doute et sans débat le rôle de la première dame dont on sait que ce sont les femmes de ces malfaiteurs qui tirent la ficelle. La notion de première dame doit disparaître dans le langage de l'Etat car les conséquences de leur présence aux côtés de leurs maris avec ce statut tirent la République vers le bas. Nous avons vu dans les pays où la révolution citoyenne les terrassés, tous avec leurs femmes ont reçu les mêmes châtiments. Les exemples sont nombreux, malgré le refus de ces indésirables de regarder ce qui est arrivé à leurs semblables et tirer de leçons.
Nous en appelons donc à toutes les révoltes républicaines pour bâtir ensemble cet Etat que nous réclamons tous pour notre bien et celui des générations à venir. Notre pays ne peut pas se résumer à une poignée d'assoiffés de pouvoir dont le seul but est de s'enrichir. Refusons encore une fois cette arrogance qu'ils affichent partout en nous faisant croire qu'ils ont d'autres politiques à nous proposer que celles dont ils ont utilisé pour nous capituler. Leur fortune se compte en milliards de nos francs. Azali a investi à Dar Es Salam dans l'hôtellerie, Sambi dans les Emirats dans le bâtiment, aujourd'hui, Ikililou en Indonésie dans l'ylang-ylang. Et aujourd'hui, ils veulent retourner dans les affaires pour nous vendre. Quel culot!
Mouvement pour la libération des Comores | SOS Démocratie Comores
La solution relève de nous et la contribution de chacune et chacun dans la construction d'un nouveau Etat est la bien venue. Cet Etat que nous allons construire, n'est pas celui où les trois derniers présidents issus de la Constitution de 2001, qui a vu naître la présidence tournante dans les Îles de l'Union des Comores, nous ont construit. Leur Etat est celui de Ben Ali en Tunisie, Kadafi en Lybie, Moubarak en Egypte et pourquoi pas celui de Cessescu. Un Etat voyou, arrogant, corrupteur, voleur et indécent. C'est cet Etat que nous refusons aujourd'hui, et nous invitons ces trois présidents qui ont abusé de notre patience à méditer sur la colère des peuples opprimés dans ces différents pays que nous avons cités ici, et les sanctions peuvent être les mêmes. Ce n'est pas par vengeance car nous sommes un peuple pacifique, mais à un moment donné, on se dit trop c'est trop.
Ces trois présidents qui se sont succédés dans le processus de la tournante nous ont oubliés et ont fait du pouvoir leur chose. Ils nous ont tous trompés et les voir aujourd'hui descendre sur l'arène politique, solliciter pour une seconde fois le suffrage universel, cela relève de l'insulte et ne leur laissons pas le moindre espace pour nous exterminer après toutes les casseroles qu'ils trainent derrière eux. Oui, nous parlons d'Azali, Sambi et Ikililou car rien ne nous assure que demain, Ikililou n'imposera pas sa loi pour briguer un autre mandat. Nous devons rester vigilants pour dénoncer et refuser les manigances de leurs émissaires qui pensent à tort, qu'avec l'argent on peut acheter les consciences.
Cet Etat nouveau que nous sommes entrain d'inventer est celui qui refuse la fatalité, qui redonne de l'espoir aux pessimistes qui continuent à penser que ce qui est fait est fait. Non, les choses changent et nous sommes nombreux à aller dans le sens du changement car les avis des uns et des autres sur ces réseaux sociaux, sont d'une grande contribution dans l'élaboration d'un Etat impartial où tous les enfants de ce pays bénéficieront de ses richesses. Cet Etat que nous construisons aura pour mission jugé publiquement les ennemis de la République que nous avons cités ici, et c'est sans pitié.
Nous sommes victimes de cette culture du non dit que nos gouvernants depuis les temps nous ont imposés. Ils nous ont réduits en mendiants et nous attirent comme des mouches devant eux avec notre argent à nous tous, et pour survivre, on s'approche les larmes aux yeux, leur tendre la main, bouche cousue. Aujourd'hui, les enfants de ce pays se sont réveillés et personne n'arrêtera la machine déjà en marche pour la mise en œuvre d'un Etat digne et respectueux aux yeux du peuple et de nos partenaires.
L'Etat que nous voulons supprimera sans doute et sans débat le rôle de la première dame dont on sait que ce sont les femmes de ces malfaiteurs qui tirent la ficelle. La notion de première dame doit disparaître dans le langage de l'Etat car les conséquences de leur présence aux côtés de leurs maris avec ce statut tirent la République vers le bas. Nous avons vu dans les pays où la révolution citoyenne les terrassés, tous avec leurs femmes ont reçu les mêmes châtiments. Les exemples sont nombreux, malgré le refus de ces indésirables de regarder ce qui est arrivé à leurs semblables et tirer de leçons.
Nous en appelons donc à toutes les révoltes républicaines pour bâtir ensemble cet Etat que nous réclamons tous pour notre bien et celui des générations à venir. Notre pays ne peut pas se résumer à une poignée d'assoiffés de pouvoir dont le seul but est de s'enrichir. Refusons encore une fois cette arrogance qu'ils affichent partout en nous faisant croire qu'ils ont d'autres politiques à nous proposer que celles dont ils ont utilisé pour nous capituler. Leur fortune se compte en milliards de nos francs. Azali a investi à Dar Es Salam dans l'hôtellerie, Sambi dans les Emirats dans le bâtiment, aujourd'hui, Ikililou en Indonésie dans l'ylang-ylang. Et aujourd'hui, ils veulent retourner dans les affaires pour nous vendre. Quel culot!
Mouvement pour la libération des Comores | SOS Démocratie Comores