Mon pays se nomme com or Et pourtant il ne brille plus ! Mon pays s'appelle les îles de la lune et pourtant il y fait une nuit noire ....
Mon pays se nomme com or
Et pourtant il ne brille plus !
Mon pays s'appelle les îles de la lune et pourtant il y fait une nuit noire ...!?
Mon pays connaît des docteurs et pourtant on y meurt encore d'une simple appendicite.
Les damnées
Mon âme corrompue se pavane avertie.
Dans ce monde qui a rompu avec ses âmes perverties,
Âmes jadis pleines de vertus, une fois au bas de la pyramide.
Sur le chemin de l'ascension nombreux en deviennent avides .
Assoiffée de pouvoir et d'argent
Assoiffée de notoriété pour réconforter leur rang
Une fois au sommet, même l'âme la plus pure en devient perfide
L'Homme est sans aucun doute, un grand enfant stupide !
Homme politique sans morale ni principes
Notables affamés aux portes du pouvoir qui anticipe
Orchestre, leurs allées et venues telles des abeilles avec leur ruche.
Âmes vaniteuses de leurs rangs, les défendant telles des autruches
Au pays des étoiles et de la lune
Règne une obscurité sans pareille
Mais une lumière providentielle
N'éclaire que les plus grandes fortunes
Peuple affamé, peuple assoiffé
Plongé dans une paralysie spirituelle
Obligé d'errer dans un mutisme perpétuel
A la recherche d'un souffle de vie volé
Ma patrie, mon pays, mon peuple comorien
Condamnés par des ogres ne vaut rien
A une mort douce et lente qui montre chaque jour son visage.
Mais paraît-il que la ruée vers le pétrole promet de nouveaux paysages.
Aboubacar Mohamed
Et pourtant il ne brille plus !
Mon pays s'appelle les îles de la lune et pourtant il y fait une nuit noire ...!?
Mon pays connaît des docteurs et pourtant on y meurt encore d'une simple appendicite.
Les damnées
Mon âme corrompue se pavane avertie.
Dans ce monde qui a rompu avec ses âmes perverties,
Âmes jadis pleines de vertus, une fois au bas de la pyramide.
Sur le chemin de l'ascension nombreux en deviennent avides .
Assoiffée de pouvoir et d'argent
Assoiffée de notoriété pour réconforter leur rang
Une fois au sommet, même l'âme la plus pure en devient perfide
L'Homme est sans aucun doute, un grand enfant stupide !
Homme politique sans morale ni principes
Notables affamés aux portes du pouvoir qui anticipe
Orchestre, leurs allées et venues telles des abeilles avec leur ruche.
Âmes vaniteuses de leurs rangs, les défendant telles des autruches
Au pays des étoiles et de la lune
Règne une obscurité sans pareille
Mais une lumière providentielle
N'éclaire que les plus grandes fortunes
Peuple affamé, peuple assoiffé
Plongé dans une paralysie spirituelle
Obligé d'errer dans un mutisme perpétuel
A la recherche d'un souffle de vie volé
Ma patrie, mon pays, mon peuple comorien
Condamnés par des ogres ne vaut rien
A une mort douce et lente qui montre chaque jour son visage.
Mais paraît-il que la ruée vers le pétrole promet de nouveaux paysages.
Aboubacar Mohamed