FARP ou FARCE? Suite à l'article, Comores : " Plainte Contre Fahmi S. Ibrahim par le FARP ", je voudrais publier la répon...
FARP ou FARCE?
Suite à l'article, Comores : "Plainte Contre Fahmi S. Ibrahim par le FARP", je voudrais publier la réponse suivante (en vous remerciant de votre ouverture d'esprit):
Je suis entièrement d'accord avec la liberté d'opinion le plus souvent gagnée âprement par nos ainés des deux générations passées.
Cette liberté, de conscience d'abord, remonte à des luttes ayant leurs sources dans la "révolution" de 1968. Mais, par l'amour du ciel, arrêtons d'insulter l'intelligence des comoriens avec des radotages pareils!!!
Si la FARCE que vous représentez veut faire le procès de Fahmi SAID IBRAHIM, dites des choses réelles. Si vous voulez faire le procès de Sambi, c'est votre affaire mais arrêtez d'essayer de noyer le poisson avec des arguments qui ne peuvent convaincre personne.
Essayez au moins d'être vous-mêmes convaincus de ce que vous dites, ce qui est de toute évidence loin d'être le cas, sinon vous auriez au moins essayé de trouver des arguments plausibles.
Que peut reprocher votre FARCE séparatiste à Fahmi? Je vais vous le dire: RIEN DU TOUT!!
Contrairement à tous ceux qui se cachent derrière votre FARCE, oh pardon FARP, Fahmi a des valeurs à défendre et un vrai projet de société.
Peut-être que le fait qu'il soit perçu aussi positivement par TOUTES LES COUCHES SOCIALES de la population vous fait déjà peur et vous perdez votre sang-froid??!!
Là-dessous, vous avez raison d'avoir peur de lui car derrière lui, il y a des jeunes qui sont prêts à relever les défis de notre nation, à se battre à ses côtés pour NOTRE pays. Pays auquel certains d'entre vous n'ont jamais voulu donner la moindre chance.
Alors oui, c'est normal que vous perdiez votre sang-froid.
Nous avancerons ensemble avec Fahmi. Nous lutterons ensemble à ses côtés pour notre pays, n'en déplaisent les aigris et les forces négatives qui ne comprennent pas que nous ne lâcherons plus rien.
Alors soyez réalistes: Vous faites déjà partie de notre passé. L'avenir, nous le construisons avec Fahmi SAID IBRAHIM.
Suite à l'article, Comores : "Plainte Contre Fahmi S. Ibrahim par le FARP", je voudrais publier la réponse suivante (en vous remerciant de votre ouverture d'esprit):
Je suis entièrement d'accord avec la liberté d'opinion le plus souvent gagnée âprement par nos ainés des deux générations passées.
Cette liberté, de conscience d'abord, remonte à des luttes ayant leurs sources dans la "révolution" de 1968. Mais, par l'amour du ciel, arrêtons d'insulter l'intelligence des comoriens avec des radotages pareils!!!
Si la FARCE que vous représentez veut faire le procès de Fahmi SAID IBRAHIM, dites des choses réelles. Si vous voulez faire le procès de Sambi, c'est votre affaire mais arrêtez d'essayer de noyer le poisson avec des arguments qui ne peuvent convaincre personne.
Essayez au moins d'être vous-mêmes convaincus de ce que vous dites, ce qui est de toute évidence loin d'être le cas, sinon vous auriez au moins essayé de trouver des arguments plausibles.
Que peut reprocher votre FARCE séparatiste à Fahmi? Je vais vous le dire: RIEN DU TOUT!!
Contrairement à tous ceux qui se cachent derrière votre FARCE, oh pardon FARP, Fahmi a des valeurs à défendre et un vrai projet de société.
Peut-être que le fait qu'il soit perçu aussi positivement par TOUTES LES COUCHES SOCIALES de la population vous fait déjà peur et vous perdez votre sang-froid??!!
Là-dessous, vous avez raison d'avoir peur de lui car derrière lui, il y a des jeunes qui sont prêts à relever les défis de notre nation, à se battre à ses côtés pour NOTRE pays. Pays auquel certains d'entre vous n'ont jamais voulu donner la moindre chance.
Alors oui, c'est normal que vous perdiez votre sang-froid.
Nous avancerons ensemble avec Fahmi. Nous lutterons ensemble à ses côtés pour notre pays, n'en déplaisent les aigris et les forces négatives qui ne comprennent pas que nous ne lâcherons plus rien.
Alors soyez réalistes: Vous faites déjà partie de notre passé. L'avenir, nous le construisons avec Fahmi SAID IBRAHIM.