A Madagascar, les résultats provisoires du premier tour de la présidentielle seront connus le 8 novembre, selon la Commission électorale...
Beaucoup d'électeurs se sont plaints de ne pas être inscrits alors qu'ils avaient été recensés. Ils n'ont donc pas pu voter. Après plusieurs jours de flottement, la Cénit et le gouvernement se sont réunis mercredi 30 octobre et ils ont finalement décidé de ne pas toucher à la liste actuelle. Il n'y aura pas de modification des textes : «On ne va pas dévier du cadre légal», explique le ministre de la Communication, Harry Laurent Rahajason. La loi en effet interdit de toucher à la liste définitive, arrêtée le 9 octobre dernier. Le gouvernement encourage simplement la Commission électorale à distribuer les dernières cartes d'électeurs qui ne sont pas arrivées à destination.
Le gouvernement suggère néanmoins à la Cénit de faire quelques «améliorations» de la liste. Quel genre d'amélioration ? Il revient à l'assemblée générale de la Cénit d'en décider, elle se réunit ce jeudi 31 octobre.
Des recours auprès de la justice pourraient être possibles mais le délai est court d'ici le deuxième tour. L'opération pourrait être coûteuse. Et le principe même est problématique.
Selon un cadre de la Cénit «il faut éviter d'ouvrir une brèche» qui conduirait à des irrégularités plus massives, et des contestations légitimes après les élections.
La Commission électorale procède actuellement à un audit de son système informatique, notamment du système d'inscription sur la liste électorale. Les premiers éléments devraient être présentés ce jeudi lors de l'assemblée générale. Par RFI
Le gouvernement suggère néanmoins à la Cénit de faire quelques «améliorations» de la liste. Quel genre d'amélioration ? Il revient à l'assemblée générale de la Cénit d'en décider, elle se réunit ce jeudi 31 octobre.
Des recours auprès de la justice pourraient être possibles mais le délai est court d'ici le deuxième tour. L'opération pourrait être coûteuse. Et le principe même est problématique.
Selon un cadre de la Cénit «il faut éviter d'ouvrir une brèche» qui conduirait à des irrégularités plus massives, et des contestations légitimes après les élections.
La Commission électorale procède actuellement à un audit de son système informatique, notamment du système d'inscription sur la liste électorale. Les premiers éléments devraient être présentés ce jeudi lors de l'assemblée générale. Par RFI
HabarizaComores.com | أخبار من جزر القمر.
Le journal de la diaspora comorienne en France et dans le monde : Information et actualité en temps réel 24h/24 et 7j/7.