Damas / Le porte-parole du ministère des affaires étrangères et des expatriés a réfuté les allégations des terroristes sur l'usag...
Damas / Le
porte-parole du ministère des affaires étrangères et des expatriés a
réfuté les allégations des terroristes sur l'usage par l'armée syrienne
du gaz toxique dans la banlieue de Damas, affirmant que la Syrie a
insisté à plusieurs reprises qu'elle n'utiliserait jamais les armes de
destruction massive, s'elles existaient, contre son peuple.
Les
qualifiant de "dépourvues de tout fondement", le porte-parole a estimé
que ces allégations sont dues à la non satisfaction des terroristes
devant l'accord de coopération entre la Syrie et la commission
internationale chargée d'enquêter sur l'utilisation des armes de
destruction massive dans certaines régions syriennes.
Il
a fait noter que ces allégations, bien connues par la Syrie,
gouvernement et peuple, sont une tentative de dévier ladite commission
de sa mission.
Source
médiatique : Les nouvelles véhiculées par certaines chaînes sur
l'utilisation des armes chimiques à al-Ghouta sont infondées
Une
source médiatique a qualifié "d'infondées" les nouvelles diffusées par
les chaînes d'al-Jazzira, al-Arabiya et de Sky News et d'autres chaînes
partenaires dans l'effusion de sang syrien et le soutien du terrorisme,
sur l'utilisation des armes chimiques à al-Ghouta.
La
source a affirmé que ces nouvelles visent à dévier la commission
internationale chargée d'enquêter sur les armes chimiques de sa mission.
Le ministre de l'information, Omrane
al-Zou'bi, a indiqué qu'une campagne systématique et catégoriquement
mensongère aux niveaux médiatique et politique a été lancée aujourd'hui
par nombre de chaînes arabes et étrangères simultanément avec le 1er
jour de l'action de la commission chargée d'enquêter sur l'usage de
l'arme chimique en Syrie.
Dans un contact
téléphonique avec la TV syrienne, al-Zou'bi a assuré que les allégations
véhiculées dans le cadre de cette campagne sur le recours ce matin à
l'arme chimique sont dénuées de tout fondement.
"Le recours de certains Arabes et de la Ligue arabe à de telles allégations est illogique et non-objectif", a-t-il estimé.
Al-Zou'bi
a ajouté : "Si la Syrie possédait n'importe quelle arme chimique, elle
ne l'utiliserait point pour des raisons morales".
Al-Zou'bi
a précisé que le gouvernement syrien avait appelé directement après
l'incident de Khan al-Assal les Nations Unies à ouvrir une enquête sur
l'usage de l'arme chimique, "car la Syrie dispose beaucoup de preuves
sur le recours des groupes terroristes armés à l'arme chimique à Khan
al-Assal", a-t-il affirmé.
"La Syrie ne
craint rien vis-à-vis des allégations qui avaient tenté de déformer la
mission de l'armée arabe syrienne dans la traque des groupes terroristes
armés", a-t-il dit.
Bulletin français/ Agence sana