Le collectif des 73 anciens agents de l'hôpital El-Maarouf de Moroni suspendus en août dernier réclament 150 millions de francs comorien...
Le collectif des 73 anciens agents de l'hôpital El-Maarouf de Moroni suspendus en août dernier réclament 150 millions de francs comoriens à l'établissement. Ils comptent saisir la justice pour obtenir leurs droits, après l 'échec des négociations menées jusqu'ici avec leur ancien patron, mais qui se révéleraient sans issue. L'audience initialement prévue le 26 novembre a été ajournée au 31 décembre 2011.
Les 150 millions réclamés portent sur des arriérés de salaires, des indemnités et des primes de garde, des indemnités de licenciement, d'ancienneté et de congé, d'aprés Aboubacar Ibrahim, secrétaire général du collectif. «Nous n'avons même pas perçu nos indemnités de garde de mars à avril, pourtant payés récemment aux agents d'El-Maarouf», a souligné Aboubacar Ibrahim.
Les membres du collectif des agents suspendus d'El-Maarouf se disent encore plus surpris que les nouvelles recrues, pourtant en poste depuis la fin du mois d'août, auraient perçu injustement ces indemnités. Ces 73 agents d'El-Maarouf ont été suspendus pour avoir refusé de subir un concours de recrutement organisé en août, arguant qu'ils n'étaient pas concernés du fait qu'ils avaient été employés par El-Maarouf des années durant.
«Les rencontres avec la direction générale du CHN n'ont abouti à aucune entente, a insisté le leader du collectif. Le ministère de la Santé et le Conseil d'administration d'El-Maarouf n'ont rien proposé jusqu'ici».Albalad
Les 150 millions réclamés portent sur des arriérés de salaires, des indemnités et des primes de garde, des indemnités de licenciement, d'ancienneté et de congé, d'aprés Aboubacar Ibrahim, secrétaire général du collectif. «Nous n'avons même pas perçu nos indemnités de garde de mars à avril, pourtant payés récemment aux agents d'El-Maarouf», a souligné Aboubacar Ibrahim.
Les membres du collectif des agents suspendus d'El-Maarouf se disent encore plus surpris que les nouvelles recrues, pourtant en poste depuis la fin du mois d'août, auraient perçu injustement ces indemnités. Ces 73 agents d'El-Maarouf ont été suspendus pour avoir refusé de subir un concours de recrutement organisé en août, arguant qu'ils n'étaient pas concernés du fait qu'ils avaient été employés par El-Maarouf des années durant.
«Les rencontres avec la direction générale du CHN n'ont abouti à aucune entente, a insisté le leader du collectif. Le ministère de la Santé et le Conseil d'administration d'El-Maarouf n'ont rien proposé jusqu'ici».Albalad
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