La famille d'un des deux hommes tués mercredi après-midi à Marseille d'une rafale de Kalachnikov, au cours d'un règlement de co...
La famille d'un des deux hommes tués mercredi après-midi à Marseille d'une rafale de Kalachnikov, au cours d'un règlement de comptes sur fond de trafic de drogue, a déposé plainte pour "homicide volontaire", a-t-on appris samedi auprès de son avocat.
Résidant en banlieue lyonnaise, la famille d'Assoumani Kari, né en 1987 à La Réunion et d'origine comorienne, s'est portée partie civile dans cette affaire après avoir récupéré le corps vendredi, a affirmé Me Saïd Larifou, lors d'une conférence de presse à Marseille. "Nous sommes très indignés car aucun indice suspect n'a été relevé dans les vêtements, la voiture ou chez M. Kari", a déclaré l'avocat, en précisant qu'aucune arme n'avait été retrouvée ni sur le corps ni à son domicile, ce qu'a confirmé à l'AFP le parquet de Marseille.
Selon le parquet, le jeune homme, condamné à 30 mois de prison ferme pour trafic de stupéfiants, bénéficiait d'un régime de semi-liberté. "Il avait trouvé un emploi de plombier depuis juin 2010 à Marseille et le soir, il dormait aux Baumettes", a expliqué à l'AFP Me Larifou, ajoutant que le jeune homme devait être libéré vendredi et rentrer à Lyon, selon sa famille.
Interrogé par l'AFP sur les liens unissant Assoumani Kari à l'autre victime du règlement de comptes, Sabri Khemaicia, 33 ans, originaire de Décines (Rhône) et recherché par la police judiciaire depuis 18 mois, l'avocat a répondu que la famille de Kari ne le connaissait pas. La famille a prévu de rapatrier jeudi prochain le corps à la Réunion, avant une inhumation aux Comores.source:le Figaro
Résidant en banlieue lyonnaise, la famille d'Assoumani Kari, né en 1987 à La Réunion et d'origine comorienne, s'est portée partie civile dans cette affaire après avoir récupéré le corps vendredi, a affirmé Me Saïd Larifou, lors d'une conférence de presse à Marseille. "Nous sommes très indignés car aucun indice suspect n'a été relevé dans les vêtements, la voiture ou chez M. Kari", a déclaré l'avocat, en précisant qu'aucune arme n'avait été retrouvée ni sur le corps ni à son domicile, ce qu'a confirmé à l'AFP le parquet de Marseille.
Selon le parquet, le jeune homme, condamné à 30 mois de prison ferme pour trafic de stupéfiants, bénéficiait d'un régime de semi-liberté. "Il avait trouvé un emploi de plombier depuis juin 2010 à Marseille et le soir, il dormait aux Baumettes", a expliqué à l'AFP Me Larifou, ajoutant que le jeune homme devait être libéré vendredi et rentrer à Lyon, selon sa famille.
Interrogé par l'AFP sur les liens unissant Assoumani Kari à l'autre victime du règlement de comptes, Sabri Khemaicia, 33 ans, originaire de Décines (Rhône) et recherché par la police judiciaire depuis 18 mois, l'avocat a répondu que la famille de Kari ne le connaissait pas. La famille a prévu de rapatrier jeudi prochain le corps à la Réunion, avant une inhumation aux Comores.source:le Figaro