Une société américaine, la Gxt, a financé, à hauteur de 10 millions de dollars, des travaux de recherche de gaz naturel et de pétrole dans...
Une société américaine, la Gxt, a financé, à hauteur de 10 millions de dollars, des travaux de recherche de gaz naturel et de pétrole dans les eaux territoriales comoriennes. Cette prospection qui a débuté jeudi après midi, est sensée durer vingt jours au cours desquels des relevés sismiques seront faits pour évaluer la présence éventuelle de source d'énergie. Quatre bateaux en tout, sont mobilisés pour mener les études.
Peu avant le départ de la flotte au port de Moroni, le vice-président Idi Nadhoime en charge, entre autres, de l'Energie a précise que c'est au frais de la société Gxt, sans contribution aucune de l'Etat, que ces travaux sont engagés. Une équipe de treize militaires comoriens assure la sécurité. Cinq autres hommes en arme sont restés en réserves sur les cotes et "pourront être appelés en renfort en cas de besoin". Ces hommes "armés d'Ak 47, de Rpg et de RT 67, auront comme mission de dissuader notamment les pirates somaliens, qui sévissent dans la zone, de compromettre le bon déroulement des travaux. "Il s'agit d'une étude préliminaire, les travaux prendront beaucoup de temps et nécessitent la mobilisation de plusieurs moyens", devait préciser Idi Nadhoim.
Selon le vice-président, les attentes comoriennes de trouver des sources d'énergie au large des eaux territoriales comoriennes, dans le bassin "Rovuma" qui se trouve également en Tanzanie et au Mozambique, sont "grandes" et les "espoirs d'autant plus permis qu'en octobre 2010 une firme américaine, Anadarko petroleum, a déjà découvert du gaz naturel et du pétrole dans ce bassin. Dans ces circonstances, "les Comores pourront donc espérer que cette étude soit porteuse de bonne nouvelle", a indiqué Peter Mwasa, membre de l'équipage. Par ailleurs, le vice-président Idi Nadhoime a annoncé qu'une société norvégienne, la "Tgs-nopec" allait venir, "dans les mois à venir" pour mener des études dans d'autres zones de l'archipel.
Toyb Ahmed:alwatwan
Peu avant le départ de la flotte au port de Moroni, le vice-président Idi Nadhoime en charge, entre autres, de l'Energie a précise que c'est au frais de la société Gxt, sans contribution aucune de l'Etat, que ces travaux sont engagés. Une équipe de treize militaires comoriens assure la sécurité. Cinq autres hommes en arme sont restés en réserves sur les cotes et "pourront être appelés en renfort en cas de besoin". Ces hommes "armés d'Ak 47, de Rpg et de RT 67, auront comme mission de dissuader notamment les pirates somaliens, qui sévissent dans la zone, de compromettre le bon déroulement des travaux. "Il s'agit d'une étude préliminaire, les travaux prendront beaucoup de temps et nécessitent la mobilisation de plusieurs moyens", devait préciser Idi Nadhoim.
Selon le vice-président, les attentes comoriennes de trouver des sources d'énergie au large des eaux territoriales comoriennes, dans le bassin "Rovuma" qui se trouve également en Tanzanie et au Mozambique, sont "grandes" et les "espoirs d'autant plus permis qu'en octobre 2010 une firme américaine, Anadarko petroleum, a déjà découvert du gaz naturel et du pétrole dans ce bassin. Dans ces circonstances, "les Comores pourront donc espérer que cette étude soit porteuse de bonne nouvelle", a indiqué Peter Mwasa, membre de l'équipage. Par ailleurs, le vice-président Idi Nadhoime a annoncé qu'une société norvégienne, la "Tgs-nopec" allait venir, "dans les mois à venir" pour mener des études dans d'autres zones de l'archipel.
Toyb Ahmed:alwatwan
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