Comores/Anjouan : la farce d'un prétendant imam ! Le despote Azali, dans son inculture, s'enfonce dans les méandres de son incompétence. Incapable de.
Comores/Anjouan : la farce d'un prétendant imam !
Dans les profondeurs de son orgueil, Azali s'auto-proclame guide des prières du vendredi, un rôle qui lui échappe tel un mirage. Mais rappelons-lui, avec conviction et clarté, que cette noble tâche est réservée aux érudits éclairés, à ceux qui ont embrassé le Saint Coran dans toute sa profondeur sacrée.
Le despote Azali, dans son inculture, s'enfonce dans les méandres de son incompétence. Incapable de réciter Sūrat al-Fātiḥah, sans faillir ni commettre d'offense, il se pavane tel un pantin sur une scène trompeuse. Sa supercherie est évidente, sa vanité démesurée ne trompe personne.
Azali, être prétentieux, ose s'approprier les attributs des savants pieux, des Imams. Il se noie dans son ignorance tout en prétendant guider les prières du vendredi, tel un acteur déplacé dans une pièce qui tire à sa fin. Cette comédie grotesque doit prendre fin, elle ne peut perdurer.
La voix du savoir ne lui appartient pas, elle résonne dans les cœurs des véritables érudits, gardiens du divin. Azali s'égare dans les dédales de ses méprises, perdu dans les labyrinthes de son arrogance. Ce qu'il prétend être un privilège se réduit en réalité à se perdre complètement dans son impéritie.
Dans son ignominie, Azali se livre tel un prédateur sanguinaire. Mais que nous disent les versets sacrés du Saint Coran ?
La corruption, il la condamne (Sourate al-Ma'idah, 5:62). Le vol, il l'interdit (Sourate al-Ma'idah, 5:38). La discorde, il nous met en garde (Sourate al-Hujurat, 49:12). Le meurtre, il le proscrit (Sourate al-Nisa', 4:93). Les détournements de fonds et la tricherie, il les interdit (Sourate al-Anfal, 8:58). L'oppression, il la dénonce (Sourate Ibrahim, 14:42). L'espionnage, il nous met en garde à nouveau (Sourate al-Hujurat, 49:12). Aider les oppresseurs, il l'interdit (Sourate al-Ma'idah, 5:2). Les comportements pervers, il les condamne (Sourate al-Ma'idah, 5:47). Le mensonge, il le réprouve (Sourate An-Nahl 16:116).
Comment un être tel qu'Azali, imprégné de ces interdits sacrés, ose-t-il prétendre diriger une prière, et qui plus est, dans une mosquée du vendredi ?
Sa nature corrompue et déviante l'invalide d'office. Ces versets coraniques dénoncent les actes qu'il incarne, révélant ainsi l'absurdité de sa prétention. Azali ne peut revendiquer aucun privilège religieux, car ses actions contredisent les principes fondamentaux de l'Islam.
Les mosquées du vendredi doivent être préservées de toute profanation, et cela implique de s'opposer fermement à la présence d'un individu aussi éloigné des valeurs sacrées. Rappelons-nous ces versets et rejetons fermement cette imposture qui tente de souiller nos lieux de culte !
Ainsi, que ce prédateur sanguinaire Azali se souvienne que le rôle du guide des prières est sacré, et qu'il n'est qu'un pion illégitime, un paria déplacé sur la scène de la spiritualité. Car dans l'univers des véritables érudits, sa place est absente, son incompétence éclate au grand jour, son imposture sanguinaire est flagrante.
Que sa prétention s'évanouisse telles volutes de fumée éphémère, car dans l'ombre de son ignorance, en tant que président de facto et usurpateur de pouvoir, il ne peut que se taire. Le privilège de guide des prières appartient aux gardiens de la connaissance, à ceux qui ont consacré leur vie à la vérité divine. Son rôle illusoire ne peut que sombrer dans l'insignifiance, face à la grandeur de ceux qui méritent cette noble charge.
Comoriens et Anjouanais, ensemble, rejetons cette farce prétentieuse et exigeons que la lumière de la spiritualité soit portée par ceux qui la méritent. Que les érudits véritables guident nos prières, que leurs voix résonnent dans nos cœurs, et que l'ignorance d'Azali sombre dans l'obscurité de l'oubli.
Chers Comoriens, chers Anjouanais, je vous exhorte à vous lever avec une détermination, à barrer l'accès et à interdire catégoriquement à cet individu l'approche sacrilège, et encore moins la profanation, du saint mihrab des mosquées du vendredi chaque fois qu'il ose s'aventurer à les souiller. Que notre unité et notre résistance fassent trembler les fondations de son imposture !
Unis, nous redonnerons à nos prières la solennité et la pureté qu'elles méritent, loin des simulacres de ceux qui s'égarent dans leur vanité.
À bas l’Union maléfique des Comores !
Pour une Anjouan souveraine, debout et déterminée !
Anli Yachourtu JAFFAR
14 juillet 2023
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