Azali Assoumani est disqualifié pour organiser une élection aux Comores ! En 2019, lors de la parodie d’élection présidentielle illégale orchestrée p
Azali Assoumani est disqualifié pour organiser une élection aux Comores !
En 2018, Azali a délibérément tripatouillé et violé la Constitution populaire du 23 décembre 2001, commettant ainsi un crime. Il est impératif qu'il quitte immédiatement et sans condition le pouvoir qu'il occupe illégitimement. Il n'est pas qualifié pour organiser une quelconque élection dans ce pays.
En 2019, lors de la parodie d’élection présidentielle illégale orchestrée par ce despote Azali, un certain nombre de politiciens de Ngazidja-Comore, ont participé à cette mascarade, légitimant ainsi une élection dépourvue de toute légitimité. Douze personnalités, parmi lesquelles des leaders de grands partis, se sont précipitées pour déposer leur candidature, se pliant ainsi à leur adage populaire « mbe kayili mbe ». Leur implication active a permis de donner une légitimité à cette farce électorale, allant à l’encontre des droits constitutionnels des Anjouanais ainsi que des principes démocratiques.
Afin d'illustrer qu'il ne faut pas compter sur ces politiciens véreux pour mettre un terme aux agissements du despote sanguinaire Azali, il est essentiel de rappeler leur comportement lors de l'élection présidentielle de 2019. Ce rappel met en évidence qu'il revient plutôt aux peuples de toutes les îles, unis sous la bannière de la société civile, de se lever contre ce despote sanguinaire Azali et de mettre un terme à sa lancée mégalomaniaque.
Parmi ces hypocrites opportunistes et félons politiciens, Mouigni Baraka Saïd Soilihi, s’est déjà prononcée en faveur du despote Azali, le reconnaissant ainsi comme président, bien qu’il ne le soit que de facto et par usurpation. Dès sa sortie après sa génuflexion au palais présidentiel de Beit-Salam, il a publiquement annoncé sa candidature pour l’élection présidentielle prévue en 2024. Cette décision précipitée et compromettante met en évidence la complicité de ces politicailleurs, rappelant ainsi leur trahison de 2019.
Il est à craindre que bon nombre de ces politiciens véreux et hypocrites de Ngazidja-Comore, n’emboîtent le pas à Mouigni Baraka Saïd Soilihi et se précipitent telle une nuée de mouches attirées par une plaie purulente pour enregistrer leur candidature lors de cette prétendue élection présidentielle de 2024, déjà qualifiée d’illégale. En effet, Azali, l’organisateur de cette élection, occupe illégalement le pouvoir de l’Union, n’étant qu’un président de fait et un putschiste récidiviste, usurpateur et violeur de Constitution !!!
Le mépris total de ces « politiques » de Ngazidja-Comore envers les Anjouanais et la Constitution du 23 décembre 2001 ne fait aucun doute. Il est également à craindre qu’elles ne proposent aucun projet de développement socioéconomique global, révélant ainsi leur manque de vision et d’engagement. Leur trahison envers les peuples et leurs compromis avec le despote Azali ont révélé leur véritable nature !
Il est important de rappeler que le despote Azali, incarne la trahison et est complice d'un crime odieux : la déportation des Anjouanais de Mayotte vers Anjouan. Cet acte abominable constitue une HAUTE TRAHISON envers la nation sur la question mahoraise et un CRIME CONTRE L'HUMANITE. Azali, agissant sous l'influence de puissances étrangères, a trahi les intérêts des peuples pour servir ses maîtres étrangers et préserver ses propres intérêts. Il ne fait qu'obéir servilement aux intérêts de ses maîtres !
De surcroît, il convient de souligner que les actes de violence perpétrés sous les dictées d’Azali, tels que les assassinats ciblés, repressions et persécutions d’opposants politiques, témoignent de sa nature tyrannique et sanguinaire. Un despote tel que lui ne serait jamais enclin à organiser une élection présidentielle dans le but de la perdre. Son objectif ultime est de se maintenir au pouvoir par tous les moyens nécessaires.
Seule la démission d’Azali ou son renversement permettrait d’ouvrir la voie à des nouvelles assises inclusives, à une table ronde pour une nouvelle réconciliation nationale supervisée par les Nations Unies. Au cours de ce processus, les insulaires pourront réinventer leur Constitution et leurs institutions en adoptant un système confédéral adapté à la réalité insulaire du pays. Cette démarche démocratique garantirait une représentation équitable de toutes les îles et restaurerait la confiance.
Il est également crucial de rappeler de nouveau un fait déjà avéré et indéniable : aucun dictateur n’organise une élection dans le but de la perdre. Azali ne fait pas exception à cette règle. Son désir de se maintenir au pouvoir indéfiniment, ad vitam æternam, est certain, et ses actions passées témoignent de sa volonté de tout mettre en œuvre pour atteindre cet objectif.
Devant cette réalité incontestable et face aux agissements du despote sanguinaire Azali, ainsi qu'en observant le comportement de ces politicards de Ngazidja-Comore, il est difficile de ne pas considérer ceux-ci avec une certaine perplexité. Leur attitude ne peut être interprétée que de deux façons : soit ils sont frappés d'amnésie et de cécité, incapables de voir les conséquences néfastes de leurs actions, soit ils se révèlent être de vils opportunistes arrivistes, motivées uniquement par l'appât du gain et du pouvoir. Quelle que soit leur véritable intention, une chose est claire : ils ne sont pas animés par l'intérêt des peuples, mais plutôt par leurs propres intérêts égoïstes.
Il est impératif que tous les insulaires des trois îles, sans exception, se mobilisent pour renverser ce tyran suprémaciste ethnocentrique qu'est Azali et l'empêcher de perpétrer une fois de plus sa farce d'élection présidentielle prévue en 2024. Azali doit quitter le pouvoir, être évincé comme un malpropre. L'heure est venue de mettre un terme à son règne sanguinaire et de refuser d'être dupés par ses manœuvres trompeuses.
Il est temps de nous unir, au-delà de nos différences et de nos particularités insulaires, pour défendre notre dignité, notre liberté et notre avenir commun.
Ensemble, mobilisons-nous pour mettre fin au péril que représente cette marionnette immorale et maléfique qu'est Azali, vassal de l'étranger, et pour préserver l'avenir de notre archipel.
À bas l’Union maléfique des Comores !
Vive Anjouan dans la plénitude de ses prérogatives !
Anli Yachourtu JAFFAR
16 juin 2023
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