Une bonne nouvelle pour les Comores mais qui ne plaît pas à l’opposition comorienne. Depuis près d’un an, le Kenya et les Comores se sont lancés dans
Depuis près d’un an, le Kenya et les Comores se sont lancés dans une bataille diplomatique pour la présidence de l’Union Africaine en 2023. Le poste doit être confié à un pays d’Afrique de l’Est l’année prochaine. Et les événements semblent tourner en faveur du président comorien Azali Assoumani.
Depuis près d’un an, le Kenya et les Comores se sont lancés dans une bataille diplomatique pour la présidence de l’Union Africaine en 2023. Le poste doit être confié à un pays d’Afrique de l’Est l’année prochaine. Et les événements semblent tourner en faveur du président comorien Azali Assoumani avec l’annonce d’un désistement du Kenya.
Lors du sommet États-Unis-Afrique, qui s’est tenu il y a quelques jours à Washington, le président kényan William Ruto a annoncé qu'il retirait sa candidature. Une décision aussitôt saluée par les Comores. Mais qui ne plaît pas à tout le monde notamment l’opposition comorienne qui accuse Azali Assoumani de dérive dictatoriale.
La présidence de l’Union Africaine est une fonction annuelle tournante entre les régions. Après Félix Tshisekedi en 2021 pour l’Afrique centrale, la fonction est actuellement assurée par le Sénégalais Macky Sall pour l’Afrique de l’Ouest. Son successeur sera annoncé en février prochain. Et si les Comores l’emportent, le pays deviendra le premier État insulaire à occuper le poste.
Article de Rédaction Africanews
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