Kazowoha Horuwa et nos consciences dans tout ça ? Fin d’année arrive, une épidémie annuelle dans sa saison et l’information est repartie et ...
Kazowoha Horuwa et nos consciences dans tout ça ?
Fin d’année arrive, une épidémie annuelle dans sa saison et l’information est repartie et voilà, nous en somme !
Quand on passe de Koussi à Kashakazi avec les fleurissons des mangues et autres fruits de saison, il n’en manque âs chez depuis que les Comores et archipel que des épidémies sans nom ne fait que surigir dans tous les coins du pays, mais hélas, depuis la parution du Covid 19, une fois syndrome, on ne pense immédiatement qu’au Covid 19 sans analyse approfondie de nos autorités de santé et ni un vrai protocole harmonisé du pays et chacun soigne de sa façon jusqu’à nous pousser à ne pas se faire consulter car on sait déjà le remède.
Une dite huitième vague de COVID et les manipulations qui ont présidé à la gestion de cette épidémie perdurent. Brièvement nous retrouvons :
• la gestion politique par une autorité centrale,
• la même tromperie sur une infection, peu grave pour l’immense majorité des personnes, rendue grave par une prise en charge politique nocive, fondée sur la contrainte sociale, la destruction des liens sociaux, l’absence de soins précoces, la vaccination de masse,
• la même confusion avec les tests positifs, assimilés à des cas, assimilés à des malades,
• la même crainte instillée de surcharge des services hospitaliers,
• les mêmes menaces de mesures de coercition sociale, de contrôle des populations,
• la même exclusion des traitements précoces,
• la même mise en avant d’un dit vaccin toujours aussi expérimental, inefficace, plus toxique qu’utile pour beaucoup.
Si le gouvernement prépare la population à une relance, la machine totalitaire covidienne c’est qu’il a ses raisons mais aussi avec la main du capitalisme de connivence qui est la collusion entre les milieux financiers, les milieux d’affaire, les entrepreneurs et l’État. Pour rester dans le cadre de la gestion politique des COVID nous en avons un exemple caricatural avec la vaccination. Rendre obligatoire la vaccination avec un produit expérimental, qui ne protège pas de l’infection, qui n’empêche pas la contamination d’autrui, qui peut aggraver la maladie (Anticorps facilitants), qui a des effets secondaires nombreux et significatifs, seul un État pouvait le faire.
Vacciner en masse contre une maladie provoquée par un virus qui varie, mute, recombine sans cesse, qui donne une maladie peu grave pour l’immense majorité de la population, seul un État pouvait le faire. Prendre le risque d’effets nocifs, (y compris mortels), pour la population sans facteurs de risques chez qui la vaccination a des inconvénients incommensurablement supérieurs à un avantage… qui est nul, seul un État pouvait le faire. Cela s’appelle du mal investissement. Du gaspillage d’argent public pour faire simple.
Dépenser massivement un argent qui ne lui appartient pas pour un tel produit, seul un État pouvait le faire et ce, avec la bénédiction également de la COVID, La guerre en Ukraine et le dit dérèglement climatique. Force est de constater que depuis des années, elles servent de variantes d’ajustement budgétaire. Cela se complique d’une politique de sécurité intérieure (justice) brouillonne, inefficace et détournée de la protection des biens et des personnes, donc injuste. La politique extérieure de soumission et de compromission est déconnectée du terrain.
C’est la politique d’un pays endetté, à l’économie en décrépitude, dépendant de ses créanciers. Sur ce, je vais dire qu’il nous faut une jeunesse puissante qui peut vite agir dans le secteur de la production et réduire notre dépendance d’importation. Il faut une politique d’encadrement et d’accompagnement vers une orientation de croissance productive et une structure juridique bien basée à promouvoir les investissements pour une justice au service des gens, et non d’une idéologie clanique. Ne soyons pas naïfs.
Nous citoyens qui croirons que seuls les gueulards qui nous trouverons la bonne solution de nos maux qui rongent du bas au sommet de ce pays, je dis faux et archi faux. Les faits sont têtus car nos politiciens ne sont attachés que du pouvoir comme des berniques sur un rocher. Ce qui laisse malheureusement présager d’une issue douloureuse.
Fayssoile Moussa
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