Il se se moque de nos enfants malades au prétexte d'une rigolade gentillesse dans un contexte de crise...Les blagues d'Azali ne sont pas appropriées !
Yepvanou Domahala yaredjeyi ,ngoutolewa Fatiha Na DIDA. Yemtroume. En tout cas Dida hachindi hamtowa mbahindorou hopochoni. Kajakaziwa Mdayi Hawou Mna Pin's.
Les blagues du Chef de l'État ne sont pas appropriées ni sérieuses. Mais c'est pas la faute de son entourage. Le locataire de Beit-Salam est devenu Boukoumoun, Soumoun ,بكم صم .
Il se se moque de nos enfants malades au prétexte d'une rigolade gentillesse dans un contexte de crise "Y'a UFAKUZI WA TSOHOLE". Même son ministre de l'intérieur était médusé. On voyait la gêne sur son visage. L'homme de Beit-Salam en réalité, il fait beaucoup des écarts de comportement.
Le chef de l'État, le temps des blagues est fini, le peuple s'inquiète, s'interroge, je dirais même, la majorité souhaite votre départ, préférant même le néant que votre présence. La moindre intelligence politique même pour l' intérêt de survie de son régime c'est d'être dans la sobriété politique.
Trop c'est trop, Anjouan s'agite, les autres Îles bouillonnent, le Khartala tremble et il ne trouve rien à faire que ses sorties comiques et ses déplacements astronomiques.
En temps de crise sociale, le Chef de l'État que vous êtes, devrait convoquer un conseil de crise sociale, regroupant tous les acteurs socio-economico-politiques pour examiner toutes les options à la sortie de cette crise et ainsi que les éventualités en cas d'un non contrôle de la situation. La première mission présidentielle en tant que père de la nation, c'est de nourrir la nation et de l'éviter de mourir de faim.
C'est la première fois dans l'histoire des Comores qu'on voit des gens avec force publiquement forcer des camions et de s'introduire dans des magasins pour s'accaparer des biens alimentaires (riz) et tout ça ça n'interpelle pas Monsieur le Chef de l'État.
En tout cas, si ça l' interpelle, sa façon de faire ne donne pas l'impression.
MGOU NAMHAWOULIYE, YAHAWOULIYE HANDRO HAHARAKA YE COMORES, pvoimedja naye Hawou namdraji.
L'essentiel est que le peuple comorien vive bien.
Ibrahim Abdou Said
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