Cette République qui perd les pédalas veut bâtir une émergence des fausses promesses
Nous sommes tous victimes de cette situation socio-économique extrêmement calamiteuse, timiltieuse et complexe. Militaires, policiers, gendarmes, docteurs, douaniers...ainsi d'autres, nous sommes tous conscients et témoins de toutes sortes de fausses promesses pour une émergence économique et sociale qui ne verra plus jamais le jour.
Nous étions tous derrière cet esprit de bien vouloir voir ce pays faire des pas vers l'avant, aujourd'hui comme la ligne est loin d'être droite, il faut le dire avec respect et responsabilité.
Nous vivons dans un monde très dangereux mais qui est en perpétuel évolution et qui recèlent en même temps plein d'opportunités de développement économique, alors nous devons surtout éviter avec fermerté que notre pays sort hors-jeu et hors-la-loi de ce époque.
Et pourtant, le pays est engagé dans une fausse piste, dans une voie erronée qui ne pas celle de la démocratie ni du développement ni de l'équitabilité. Ils sont bien conscients et responsables qu'ils ont déjà perdu les pédales mais qu'il faut toujours continuer à chanter à une émergence.
Malgré, les dépenses de grands tailles qu'ils ont exposés à la nation, mais les cris de colère, le dessaroi des politiques et les coups de force suscitent que nous reviendrons encore et encore reparler les mêmes problèmes de vie, de sécurité, de santé, d'éducation,d'infrastructures et d'énergie en 2024.
Je trouve uniquement indispensable que cette situation socio-économique difficiles qui perdure mérite d'être examiné, étudier et diagnostiquer afin que des solutions adéquates et fiables soient mises en relief en urgence en faveur du pays.
Cette vie misérable, cette famine, cette délinquance, cette criminalité, ce favoritisme, cette insuffisance de l'eau, cette carence de service de santé de bonne qualité, et cette manque d'orientation éducatif renvoient tout droit ce pays vers une explosion.
Et, à mes yeux, il serait responsable que nous nous réunissons ensemble c'est-à-dire pouvoir et opposition, militaire et gendarmes, policiers et citoyens pour que nous puissions réfléchir ensemble le devenir de cher pays, car si cette situation reste inchangée, nous n'aurons plus à reparler "d'une union des comores" dans les années à venir.
Par Ferdinand Daoud
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