Le défunt Ahmed Abdallah Abdéremane no.Comores : Commémoration des 47ans de l’indépendance de la misère humaine, de la souffrance et de l’incompétence
Comores : Commémoration des 47ans de l’indépendance de la misère humaine, de la souffrance et de l’incompétence
Il me semble utile de faire le point de manière succincte sur le bilan global des 47 ans de l’indépendance des trois îles des Comores.
Pour aller vite en besogne, il est très important de noter que la gestion de cette indépendance est calamiteuse et illustre de toute évidence les incompétences de toutes les classes politiques de gérer une nation solide et d’instaurer un Etat de droit capable de répondre aux aspirations des Comoriens.
Le défunt Ahmed Abdallah Abdéremane nous a légué un héritage de souffrance, des adversités sociales, des désespoirs, en bref, des merdes totales.
Voici la liste exhaustive montrant que cette indépendance a connu un fiasco cuisant et a enrichi certains dirigeants déloyaux au détriment du peuple démunie :
- Une pauvreté extrême de la population et des jeunesses désespérées et abandonnées
- 47 ans d’incapacité de stabiliser et gérer la moindre de chose le courant électrique
- Une inexistence des hôpitaux, et manque des infrastructures adaptées
- Un pays corrompu et une légitimité de détournements de biens publics par les autorités
- Manque de création des entreprises pour répondre aux besoins des jeunesses en état de détresse.
- Des pratiques de favoritismes dans tous les domaines et des inégalités sociales.
- Une création de l’Université des Comores, sans plan d’action pour les futurs diplômés
- Une immigration massive vers Mayotte à la recherche d’une vie meilleure,
- Des vols récurrents de biens de l’Etat sans poursuite des voyous et ni procédure judiciaire,
- Une impartialité de la Justice et des de juges vassalisés par de l’exécutif,
- Des compétences reléguées au second plan au profit de groupes sociaux, des régions, et fils de papa,
- L’esprit de nationalisme et patriotisme est banni par Ahmed Abdallah Abderemane
- L’indépendance de la merde pour les comoriens.
BACAR Azihar Abdou, Marseille
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