Mais je ne peux pas rester insensible aux insultes proférées à l'encontre...Kanizat n'avait pas le droit d'intervenir sur le dossier des Cœlacanthes
Kanizat n'avait pas le droit d'intervenir sur le dossier des Cœlacanthes
Comme tous les comoriens, j'étais stupéfié par l'injustice infligée au peuple
comorien par la CAF.
Mais je ne peux pas rester insensible aux insultes proférées à l'encontre de
la vice-présidente de la confédération africaine de football.
Selon le statut de la CAF ( article 22- 16 ), cette dame n'avait le droit ni
de siéger ni de de prendre part aux discussions d'un litige qui concerne son
pays, les Comores:
" Les membres du Comité Exécutif, du Comité d’Urgence, des Organes
Juridictionnels, des organes de conformité ou d’une Commission permanente ne
peuvent ni siéger ni prendre part aux discussions lorsque l’instance à
laquelle ils appartiennent examine un litige concernant leur propre
association nationale, un club, un officiel ou un joueur de
celle-ci " Art 22_16.
Je comprends la frustration des uns et des autres mais aller jusqu'à insulter
une personnalité comorienne qui représentait une institution continentale pour
la simple raison qu'elle est restée professionnelle, c'est très est injuste.
On devrait plutôt demander des comptes à la fédération comorienne de football
ou encore le ministre des sports qui a d'ailleurs passer des nuits dans des
hôtels luxueux au Cameroun au frais de l'argent du contribuable sans pour
autant mener une action en faveur de notre équipe.
Capture d'écran de l'article :
Par Mbae Ali
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