Le Monologue aux Allures de la Fin du Règne ou du Début du Sacre d'Azali en Maréchal et même Empereur des Comores
Le Monologue aux Allures de la Fin du Règne ou du Début du Sacre d'Azali en Maréchal et même Empereur des Comores
Déficit d'autorité dans une Dictature de pacotilles :
L'immobilisme, l'absence
d'une vision, le manque criant de projection et de prévision si ce n'est de rester illégalement et longtemps au pouvoir, en passant par des villageois qui bravent l'interdit et les restrictions des festivités de mariage pour cause de pandémie, à des notables qui prennent le flambeau en imposant leur loi sur la vaccination anti-Covid, au désordre et enfin au chao
ainsi qu'à l'opacité totale dans la gestion des Affaires de l'État et particulièrement dans les situations de crise née de catastrophes naturelles ou sanitaires nécessitant le maniement de l'argent provenant des donateurs bi et multilatéraux, nous osons crier : "Honte à ce régime sanguinaire sans foi ni loi".
Son Cynisme et sa récidive :
Et le tout couronné par la Dictature de pacotilles du colonel Azali qui s'était toujours opposé aux intérêts du peuple comorien. Deux faits majeurs qu'il faut retenir dans la gestion calamiteuse de ce régime tyrannique : la tromperie et la malhonnêteté couplée à l'absence d'autorité.
Azali, un adepte du mensonge, de la tromperie et du cynisme récidive malgré lui avec son appel à un monologue baptisé "dialogue de sourds" tel que ça lui avait bien réussi dans ses "pitoyables assises nationales de 2018".
En Désunion des Comores :
Si le vrai IMAM AZALI se comportait de la sorte le monde aurait été effondré. En revanche, chez nous en "désunion des Comores", personne ou peut de gens dans son entourage sont sensibles à de tels incessants dérapages d'un autre âge, l'appât du gain oblige. Et honte à eux ! C'est le premier aspect.
Le second aspect, comment un homme peut-il s'accrocher au pouvoir et ce de manière illégale et illégitime alors qu'il ne contrôle rien si ce n'est de réprimer et terroriser son peuple, lequel peuple lui résiste tant bien que mal en affichant une quasi hostilité à la venue du Dictateur dans les villes et villages et pire encore dans les mosquées et les funérailles? Comme dit l'adage du Comorien, "mieux vaut quitter la table au bon moment, même si le repas fut copieux". An-ybu!
La prochaine épisode : Empereur ou Maréchal
Que l'on s'en souvienne, chez certains dictateurs, des militaires d'ailleurs arrivés au pouvoir par le biais d'un ou plusieurs putsch (s) à l'instar du colonel Azali, ce qu'on attend comme prochaine Épisode de la série des coups d'État de ce même homme, "qu'il s'autoproclame Empereur des Comores ou Maréchal" tel que l'a fait son mentor oncle Jean Bedel BOCASSA en Centrafrique dans les années 70 et son ancien et défunt ami le Tchadien Idriss Débi qui s'est érigé Maréchal 50 ans!après BOCASSA. Et tous les deux, BOCASSA et DEBI ont dérapé tout juste en fin de règne. Mais, avec ce que nous vivons dans notre pays, ne s'agit-il pas de la fin du règne et du film à palabre tourné depuis le 26 mai 2016 à nos jours par les bandits de la CRC?
Un sérieux Chef de Bande :
Sans concession aucune, le Rôle joué par le colonel Dictateur ne se limiterait pas à un chef de bande et usurpateur de la fonction présidentielle ; le nouveau scénario qui se dessine à travers le monologue qui se profile et qui aura tous les maux du monde à prendre des allures d'un dialogue digne de ce nom - puisque l'Opposition, la vraie et sans exception n'y participera pas - les Comoriens risquent d'assister impuissants au sacre du colonel dictateur qui n'hésitera pas à s'autoproclamer "Maréchal ou Empereur des Comores".
A ce moment-là, KAYRI HUFA.
Hassani Abdou
HaYba FM la Radio Moronienne du Monde
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