Parti des Comores le 30 octobre, Azali Assoumani a multiplié...Azali : « Il est temps pour les Comores de revenir sur la scène internationale »
En visite à Paris, après avoir fait étape à Glasgow et Dubaï, le président Azali Assoumani veut convaincre les investisseurs de revenir dans son pays, lequel a plutôt bien résisté à la crise économique engendrée par la pandémie de Covid-19.
Parti des Comores le 30 octobre, Azali Assoumani a multiplié les escales. Il s’est d’abord rendu à Glasgow pour assister à la COP26, puis à Dubaï, où il a pu admirer le stand des Comores à l’exposition universelle, avant d’arriver à Paris le 11 novembre, où se tenait le Forum sur la paix. Autant d’opportunités pour le chef de l’État de mettre en avant son pays auprès des investisseurs internationaux, avec l’espoir de relancer un processus de développement passablement grippé depuis l’irruption du Covid-19.
Avant de repartir pour Moroni, Azali Assoumani a accepté de recevoir Jeune Afrique dans sa suite de l’hôtel Westminster, à Paris, pour revenir sur les principaux dossiers qui font l’actualité de son pays, du dernier remaniement ministériel à la relance économique de l’archipel, sans oublier la qualification historique de l’équipe nationale de football pour la CAN 2022.
Jeune Afrique : Pour la première fois depuis le début de la pandémie, vous quittez votre pays deux semaines pour participer à plusieurs grands rendez-vous internationaux. C’est le moment de redonner un peu de visibilité aux Comores ?
Azali Assoumani : Tout à fait. L’arrivée du Covid-19 a brisé notre dynamique. Nous sortons d’une période difficile, mais toutes les conditions sont aujourd’hui réunies pour que notre pays puisse reprendre sa marche en avant. Il est temps aujourd’hui pour les Comores de revenir sur la scène internationale pour montrer ses potentialités. L’exposition universelle de Dubaï, que je viens de visiter, constitue à cet égard une vitrine parfaite de ce que nous avons à proposer économiquement et culturellement.
Dubaï est également un bon endroit pour trouver des investisseurs internationaux…LIRE la suite sur JeuneAfrique
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