« Comores, un pays en état de délabrement total » Où chacun joue sa partition, il n'y a pas l'uniformité d'un État. Même très éloigné du régime, il es
Où chacun joue sa partition, il n'y a pas l'uniformité d'un État. Même très éloigné du régime, il est toujours difficile de se rendre compte qu'on a été à un moment de son existence, pris pour une poire encore que la poire est comestible.
Dégager autant d'énergie en croyant que ces malheureux que tu croises à longueur d'années et qui font la peine tout simplement, vont enfin trouvé un sort allégé des souffrances quotidiennes.
Des Hommes pensant enfin retrouver un homme aux ambitions démesurées par la démesure de ses ambitions, hélas cela ne fût qu'une illusion.
L'institution Républicaine est à terre, jamais dans l'histoire de ce « maudit » pays telle pagaille a régné et, pourtant des médiocres présidents, mon Dieu qu'on en a eut mais celui ci excelle.
Que s'est donc t'il passé entre Azali passé et l'actuel ?
Nous sommes tous pleins de peine pour la peine qu'on s'est donnée. Mais valait t'il vraiment la peine ?
D'abord un régime face à la rue à défaut d'opposition, celles-ci s'est auto-détruite, selon le bord du minable concerné.
Une administration à volo par l'expression administrative du fond et de la forme, quelle dégage, il y a peu à être fier.
Bref un pays en état de délabrement total.
Bien venu au leader Said Mohamed fêtant son entrée au sein du pouvoir en fafare, l'exemple type d'une classe politique à vite chasser, le pays court un danger, attention !
Azali n'a plus grand chose à faire, rabaisser la politique à ce point, n'honore ni le pays ni la fonction dont le peuple a confié au président de la République.
Par Daoud Halifa
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