ENCORE UNE FOIS, ILS ONT BRILLÉ PAR L'INÉLÉGANCE Ils ont choisi comme méthodes et pratiques d'usage, les injures, l'intimidatio...
Ils ont choisi comme méthodes et pratiques d'usage, les injures, l'intimidation et la bassesse. Or ces pratiques ne vont aucunement servir, ni aux auteurs de l'ignomnie, encore jamais à la nationqu'ils prétendent représenter.
Ils, ce sont ces jeunes gens qui, constitués d'une poignée de mains de la Diaspora comorinne s'estiment sûrs d'eux-mêmes et convaincus d'être sur le droit chemin faisant front au régime d'Azali Assoumani.
Ils dorment très peu la nuit et attendent les levées du jour pour manifester leur hostilité et montrer combien ils marchent droit dans leurs bottes. Et pourtant, leur action, leurs agissements quotidiens n'honorent ni leurs personnalités ni le peuple qu'ils prétendent défendre.
Ce dimanche 16 mai 2021, ils ont encore brillé par leur inélégance, en s'emprenant, à Paris, encore une fois à Saïd Ali, un des proches du Président de la République.
Cet acte est une atteinte, d'abord à la dignité et à la singularité de la personne en question et enfreint tout de même aux logiques élémentaires légales propre aux libertés fondamentales. Ces hommes et femmes sont connus, repérables car ils ne se voilent pas. Il faut les appréhender et les traduire en justice.
Il faut leur rappeler que l'Histoire politique récente de l'Union des Comores continue à s'écrire et à s'enrichir grâce aux empreintes des uns et des autres. Des empreintes mais marquées par une volonté de construire ce pays et non la curiosité de vouloir chasser l'autre pour lui reprendre la place.
N'avoir en tête que le seul mot d'ordre, "Azali n'est pas notre président" est une vieille philosophie dépourvue, à la fois de pertinence politique stratégique et de persée intellectuelle.
Ces gens continuent à croire à l'Opposition comorienne qui fait semblant d'ignorer le parcourt institutionnel que le pays a fait, depuis un certain 30 juillet 2018 jusqu'aux élections de 2019. Certains comprennent bien mais continuent de se vendre des rêves et par ces fausses convictions, ils manipulent l'opinion pour arriver à leur fin et assouvir leur faim.
En continuant à se vendre ce genre de rêves, ils se ridiculisent d'abord avant de le faire contre tout un peuple. Sinon, comment continuer à faire appel à une communauté internationale, la même qui a reconnu et validé le processus ayannt légitimé et légalisé le pouvoir actuel ? De quelle communauté internationale s'adressent-ils, à un moment où Azali Assoumani est hissé au plus haut sommet de l'Organisation continentale (UA) en tant que 2ème Vice-président, après le Sénégal et devant l'Egypte ? Qu'est-ce qu'ils n'ont pas fait pour boycotter la Conférence des donneurs de décembre 2020 à Paris ? Qui a en a eu gain de cause, cette année-là ?
En réalité, ces gens ont pris la mauvaise direction depuis, et ils continuent un parcourt qu'ils reconnaissent longs, fermé, hélas par l'impasse qu'ils se sont créée eux-mêmes, ne sachant plus comment le contourner.
C'est simple. Monsieur le Président a toujours été clément vis avis de celles et ceux qui lui ont tourné le dos et qui l'ignomnient quotidiennement. Ressaisissez-vous alors, en revenant à la raison, ne serait-ce que jusqu'en 2024 pour enfin pouvoir rebattre les cartes politiques, cela pour l'intérêt de la nation, chers patriotes.
Par Abdoulatuf Bacar
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