Il faut compter combien de siècles pour qu’une deuxième tour de Babel Nimrud (Namrudhwah) soit construite ? Ceux qui pensent que les Comores...
Il faut compter combien de siècles pour qu’une deuxième tour de Babel Nimrud (Namrudhwah) soit construite ? Ceux qui pensent que les Comores sont un minuscule pays, doivent ajuster leurs consciences. Malgré sa modicité, après la tour du roi Nimrud dans la Mésopotamie, Nimrud le bourreau de « Nabii Ibrahim », qui a jeté ce dernier dans le feu, aux Comores une tour pousse aussi.
Si la bible a présenté Nimrud comme le premier héros après le déluge, et comme un chasseur réputé ainsi que fondateur du premier royaume et de plusieurs villes en Mésopotamie, Said Ali Chayhane est aussi un héros plusieurs centaines de siècles après. Alors, ce petit archipel héberge la tour de l’indéboulonnable Said Ali Chayhane.
Un personnage aboulique que les âmes égarées de la cité du nouveau sultan dévoreur, présentent comme le premier héros et super ministre des finances du siècle. L’ingratitude c’est de ne pas applaudir le créancier de la brigade. Ce cueilleur des dimes auprès du petit peuple. Ce chasseur des mannes de l’Etat réputé et propriétaire de la première tour de trois étages au pays du sultan dévoreur.
Ce jeune contrôleur de douane, qui est fini par être nommé par décret, après « ce qu’on ne sait pas », brille de singularité. La traversée d’Azali 1, on n’en parle pas. Même si c'est là où tout a commencé. Donc on est ici et maintenant. Ce messager de la souffrance du peuple quitte même à être un des responsables de certains scènes dramatiques, doit servir de leçon.
« Le milliardaire par le sang de la population »
Donc il doit figurer dans des manuels scolaires pour que les enfants comoriens apprennent, comme les enfants français apprennent Maurice Papon et Laval. Même si payé moins que le directeur général de la douane comorienne, Said Ali Chayhane, un jeune milliardaire sans héritage ni labeur ni même boni de loto, est l’un des heureux de la Brigade au pouvoir. Il fait la pluie et le beau temps en faisant saigner le peuple miséreux.
Cet homme à diverse intrigues… dont certaines sont spectaculaires, sait bien que l’argent n’aime pas le bruit. C’était en décembre 2019, lors de l’EPAD à Paris, lorsque ce ministre et son chef colonel Azali ont construit un château en Espagne aux comoriens. Il confirmait donc avoir atteint l’objectif, dont plus de 4 milliards, alors qu’ils ont prévu 4 milliards piles. Et ce jour, le fond propre crié à toute voix, se lave à la BAD.
C'est là où ils se penchent pour se remplir les poches sous prétexte, dette pour faire sortir le pays du gouffre dans lequel, ils l'ont plongé. Ce ministre qui fait la pluie et le beau temps dans son clan et fait la soif et la sombre chez les comoriens.
Et le plus grand souci, c’est la finition de la tour de Chayhane, comparable à celle de Nimrud. Comme n’ont-ils Dieu que l’argent, des tests PCR se vendent très cher mais très cher à une population qui se repose sur une précarité totale. Se nourrit-il comme les siens avec les amandes liées au Covid-19, alors qu’en vrai, ils ne se soucient de rien.
« Un responsable de drame »
Créateurs de gisement de fortune sur le dos du comorien. Toujours pour la collecte de manne, les comoriens de l’extérieur sont essorés par le ministre des finances de la brigade CRC et compagnie et le directeur de douane. Exemple la douane, passage obligé de ces comoriens exilés forcés, fabrique leurs misères et leurs souffrances… estampillées Chayhane.
Exemple, une voiture achetée à 1000 €, te revient à 3000€, de la France aux Comores sans le prix d’achat. Donc en tout 4000€… sans compter les petites miettes qui tombent dans les poches des petits employés de douane par ci, par là. Par la sueur du peuple, Chayhane, est milliardaire avant le partage des dividendes du pétrole. Pas que la pécune. Des responsabilités d’autres formes lui sont aussi sur le dos.
Comme l’assassinat de Hamada Gazon et la mutilation des dizaines d’enfants ikoniens, tous mitraillés le 9 décembre 2019, parmi lesquels des handicapés à vie. Ce ministre de la brigade, fait partie des responsables de ce drame, et bien au premier plan. Mais aussi une question sans réponse surgit.
Le feu Nakidine Hassane qui était à son service pendant bon moment est mort. Et ni enquête, ni chercher à connaitre quel genre de médicament, ni de traitement... ce jaune a été prescrit… mais comme si de rien n’était… moment où dans la légalité, cet employeur de Nakidine Hassane prendrait ce décès comme sien, car des hypothèses pourraient tombées. Sinon, l’essentiel est que la tour de Babel comorienne soit achevée pour que depuis le ciel, il regarde le peuple du haut.
Said Yassine Said Ahmed
COMORESplus
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