Ils ont encore rompu le silence avec une diatribe philippique contre le vaccin chinois auquel la république populaire de chine a magnifié pa...
Ils ont encore rompu le silence avec une diatribe philippique contre le vaccin chinois auquel la république populaire de chine a magnifié par solidarité à la population comorienne dans sa lutte contre la covid'19.
Leur sortie tonitruante a surpris plus d'une personne, sachant qu'au plus fort de deux vagues de la pandémie qu'a connu notre pays les opposants activistes de tout acabit ont brillé par leur absence dans le débat national sanitaire. Ils étaient confinés dans les salons feutrés parisiens contemplant de loin uniquement les nombre des morts. Pire, ils étaient incapables de verser des larmes de crocodiles.
Aujourd'hui ils sont sortis de leur tanière, pour jouer les oiseaux de mauvaises augures, en voulant persuader les comoriens de ne pas accepter les vaccins chinois parce que selon eux, ils ne sont pas encore homologués par les européens. Seulement, ils ignoraient, que si notre pays a su faire face avec brio contre le coronavirus, en limitant les dégâts, c'est grâce au soutien de nos amis chinois, qui dans l'opération d'éradication du paludisme, nous a proposé des molécules s'avérant, selon les praticiens, très bénéfiques contre la covid'19.
Dans un pays où le plateau médical semble laisser à désirer, les résultats enregistrés dans la lutte contre la pandémie relèvent du miracle. Et c'est grâce à la coopération bilatérale avec la république populaire de chine, qui n'aménage aucun effort pour venir en aide à la population comorienne. Comment peut on douter un instant de la sincérité de cette amitié, datant même avant notre Indépendance. Ne sachant pas cerner l'opinion nationale face à laquelle elle se trompe chaque fois, comme le désastre infligé à l'appel de ville morte non suivi, cette fois l'opposition pèche en eau trouble et doit s'en mordre encore les doigts.
Par Ali Djaé
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